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La différence entre dentiste et orthodontiste ?

mardi 11 octobre 2016 à 11:34
L'on emploi très souvent le terme de ' dentiste ', de plus en plus souvent celui de ' orthodontiste ', mais il existe bel et bien une réelle différence entre les deux, différence de diplôme, de qualification, de domaine d'intervention dont il faut être bien conscient.En ce qui concerne les soins des dents, les termes les plus courants sont certes, dentiste et orthodontiste, mais l'on évoque également des mots comme ' stomatologue ' ou autre ' chirurgien dentiste ', voire même encore ' prothésiste dentaire '.
Des mots qui se ressemblent beaucoup dans la mémoire collective, mais qui ont en réalité une signification bien différente dans la pratique des différents secteurs de santé actuels.
Essayons donc, au moins pour les deux premiers de bien mettre les choses au point, de supprimer toute confusion possible.

Qu'est qu'un dentiste ?

- les études et les diplômes pour devenir dentiste.
Le cursus pour devenir dentiste est la voie la plus connue. Après le BAC, une année de 'médecine', la PACES, constitue le premier " tronc commun " qui ouvre ensuite les porte vers une formation en dentisterie, mise en  place sur 3 cycles, qui peut durer, selon les divers parcours entre trois et cinq ans.
Les étudiants ayant réussi le concours de l'internat en odontologie effectuent un troisième cycle ' long ', plus destiné à ceux qui visent, ensuite une spécialisation, alors qu'il existe également la possibilité d'un troisième ' court '.
Une fois la totalité de cette formation terminée est alors délivré le diplôme de " docteur en chirurgie dentaire " qui permet alors d'exercer le métier de " dentiste " ou encore de " chirurgien dentiste ".
Les cours théoriques sont pratiqués d'années en années en alternance avec des stages en situation.
- Que fait le dentiste ?
Le Docteur en chirurgie dentaire, ou encore donc plus simplement le dentiste, est donc finalement le médecin ' généraliste ' pour tout ce qui concerne les dents. Il soigne, diagnostique toutes les diverses maladies de la bouche, depuis les dents aux mâchoires, en passant par les gencives. Dans la grande majorité des cas, il soigne les caries, les abcès dentaires, les parodontoses, il effectue également le détartrage des dents ou leur blanchiment.
dentisterie
dentisterie : un métier vieux comme le Monde !
C'est un médecin qui peut donc aussi utiliser du matériel chirurgical et du matériel radiologique, un médecin, qui comme tous ses confrères, se doit de suivre un code de déontologie est d'être inscrit au Conseil National de l'Ordre des Chirurgiens-Dentistes.
C'est également lui qui, dans des cas plus extrêmes ou spécifiques saura vous conseiller, vous diriger vers l'un de ses confrères pratiquant une spécialité bien précise. Il peut donc , selon les cas, vous proposer une gamme de soins et traitements dentaires entièrement personnalisés selon vos besoins personnels, et selon votre budget ... :)
- Où trouver un dentiste ?
La très grande majorité des chirurgiens-dentiste exercent leur métier en tant que ' profession libérale ' dans leur cabinet; certains exercent cependant dans des centres de soins dentaires, dans des hôpitaux ou en tant que ' médecin conseil ' pour la Sécurité Sociale.

Qu'est qu'un orthodontiste ?

- les études et les diplômes pour devenir orthodontiste.
Un orthodontiste est un chirurgien-dentiste qui, en continuant ses études, s'est spécialisé dans des domaines plus précis en dentisterie.
Là nous sommes bel et bien dans un minimum d'études niveau " BAC + 5 "! Comptez plutôt six ans pour l'obtention réelle du diplôme en chirurgie dentaire avec une spécialisation en orthodontie qui, elle, dure trois ans.
Les orthodontistes sont, alors, titulaires du Diplôme d’Études Spécialisées en Orthopédie Dentofaciale.
- Que fait l'orthodontiste ?
L'orthodontiste est donc le ' dentiste ' qui, le plus généralement se chargera de toutes les rectifications au niveau de l'implantation dentaire. Il peut faire bien d'autres choses pour lesquelles il est qualifié, mais dans la pratique courante, on le connait surtout pour cela.
Il soigne désormais les grands comme les petits, les dents de lait comme les dents définitives, principalement dans un but esthétique ou de réparation.
appareil dentaire
appareil dentaire : la préparation .
Les fameuses " bagues " visibles sur les dents des ados sont étroitement liées au terme ' orthodontiste ', mais il dispose désormais de bien d'autres techniques, et moyens, plus récents et plus modernes ...
- Où trouver un orthodontiste ?
Comme pour leurs collègues " dentistes ", les " orthodontistes " exercent de manière libérale dans leur Cabinet, parfois en milieu hospitalier, en centre de soins, en centre médiaux-sociaux également.

Normalement, arrivés là, vous devriez maintenant, (presque) tout savoir sur un " dentiste " et un " orthodontiste ", et donc savoir à qui faire appel; dans la généralité, consulter son chirurgien-dentiste est souvent la pratique la plus courante, la 'base', pour avoir les bons conseils, la bonne orientation. Si ce n'est pas encore le cas, vous pouvez laisser une question, ici même ...
Souriez donc ... :)
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Simonide préservé par les Dieux

samedi 8 octobre 2016 à 17:53
Simonide préservé par les Dieux, quatorzième Fable de Jean de La Fontaine, extraite du Livre I, a édité édité en 1668 pour la première fois. Il ne faut pas confondre cette fable avec sa source d'inspiration issue de Phèdre (IV, 24) et contant un épisode mythique de la vie du poète lyrique grec Simonide de Céos ...Simonide préservé par les Dieux
Simonide préservé par les Dieux : gravure d'époque de G. Doré ( archives numériques de la BNF ).

Le Texte de la Fable.

On ne peut trop louer trois sortes de personnes ;
Les Dieux, sa Maîtresse, et son Roi.
Malherbe le disait : j’y souscris quant à moi :
Ce sont maximes toujours bonnes.
La louange chatouille, et gagne les esprits.
Les faveurs d’une belle en sont souvent le prix.
Voyons comme les Dieux l’ont quelquefois payée.
Simonide avait entrepris
L’éloge d’un Athlète ; et la chose essayée,
Il trouva son sujet plein de récits tout nus.
Les parents de l’Athlète étaient gens inconnus,
Son père un bon Bourgeois ; lui sans autre mérite ;
Matière infertile et petite.
Le Poète d’abord parla de son Héros.
Après en avoir dit ce qu’il en pouvait dire ;
Il se jette à côté ; se met sur le propos
De Castor et Pollux ; ne manque pas d’écrire
Que leur exemple était aux lutteurs glorieux ;
Élève leurs combats, spécifiant les lieux
Où ces frères s’étaient signalés davantage.
Enfin l’éloge de ces Dieux
Faisait les deux tiers de l’ouvrage.
L’Athlète avait promis d’en payer un talent :
Mais quand il le vit, le galant
N’en donna que le tiers, et dit fort franchement
Que Castor et Pollux acquitassent le reste.
Faites-vous contenter par ce couple céleste.
Je vous veux traiter cependant.
Venez souper chez moi, nous ferons bonne vie.
Les conviés sont gens choisis,
Mes parents, mes meilleurs amis.
Soyez donc de la compagnie.
Simonide promit. Peut-être qu’il eut peur
De perdre, outre son dû, le gré de sa louange.
Il vient, l’on festine, l’on mange.
Chacun étant en belle humeur,
Un domestique accourt, l’avertit qu’à la porte
Deux hommes demandaient à le voir promptement.
Il sort de table, et la cohorte
N’en perd pas un seul coup de dent.
Ces deux hommes étaient les gémeaux de l’éloge.
Tous deux lui rendent grâce, et pour prix de ses vers
Ils l’avertissent qu’il déloge,
Et que cette maison va tomber à l’envers.
La prédiction fut vraie ;
Un pilier manque ; et le plafond
Ne trouvant plus rien qui l’étaie,
Tombe sur le festin, brise plats et flacons,
N’en fait pas moins aux Échansons.
Ce ne fut pas le pis ; car pour rendre complète
La vengeance due au Poète,
Une poutre cassa les jambes à l’Athlète,
Et renvoya les conviés
Pour la plupart estropiés.
La renommée eut soin de publier l’affaire.
Chacun cria miracle ; on doubla le salaire
Que méritaient les vers d’un homme aimé des Dieux.
Il n’était fils de bonne mère
Qui les payant à qui mieux mieux,
Pour ses ancêtres n’en fît faire.
Je reviens à mon texte, et dis premièrement
Qu’on ne saurait manquer de louer largement
Les Dieux et leurs pareils : de plus, que Melpomène
Souvent, sans déroger, trafique de sa peine :
Enfin qu’on doit tenir notre art en quelque prix.
Les Grands se font honneur dès lors qu’ils nous font grâce.
Jadis l’Olympe et le Parnasse
Étaient frères et bons amis
Illustration de la Fable de Jean de La Fontaine
Illustration de la Fable de Jean de La Fontaine : Simonide préservé par les Dieux .

Et cette Fable aurait pour morale :

Comme toutes les Fables de La Fontaine, une morale, une maxime, un proverbe même peut en être tiré, et ici pour ce " Simonine préservé par les dieux ", l'on peut en faire ressortir que:
- L'on ne peut louer que trop trois sortes de personnes : les dieux, sa maîtresse et son roi ...
- La louange chatouille, et gagne les esprits : les faveurs d’une Belle en sont souvent le prix ...
- Malherbe le disait ; j’y souscris quant à moi : ce sont Maximes toujours bonnes ...
Et, vous aussi, vous pouvez en tirer votre propre " morale " ...:)
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Simonide préservé par les Dieux

samedi 8 octobre 2016 à 17:53
Simonide préservé par les Dieux, quatorzième Fable de Jean de La Fontaine, extraite du Livre I, a édité édité en 1668 pour la première fois. Il ne faut pas confondre cette fable avec sa source d'inspiration issue de Phèdre (IV, 24) et contant un épisode mythique de la vie du poète lyrique grec Simonide de Céos ...Simonide préservé par les Dieux
Simonide préservé par les Dieux : gravure d'époque de G. Doré ( archives numériques de la BNF ).

Le Texte de la Fable.

On ne peut trop louer trois sortes de personnes ;
Les Dieux, sa Maîtresse, et son Roi.
Malherbe le disait : j’y souscris quant à moi :
Ce sont maximes toujours bonnes.
La louange chatouille, et gagne les esprits.
Les faveurs d’une belle en sont souvent le prix.
Voyons comme les Dieux l’ont quelquefois payée.
Simonide avait entrepris
L’éloge d’un Athlète ; et la chose essayée,
Il trouva son sujet plein de récits tout nus.
Les parents de l’Athlète étaient gens inconnus,
Son père un bon Bourgeois ; lui sans autre mérite ;
Matière infertile et petite.
Le Poète d’abord parla de son Héros.
Après en avoir dit ce qu’il en pouvait dire ;
Il se jette à côté ; se met sur le propos
De Castor et Pollux ; ne manque pas d’écrire
Que leur exemple était aux lutteurs glorieux ;
Élève leurs combats, spécifiant les lieux
Où ces frères s’étaient signalés davantage.
Enfin l’éloge de ces Dieux
Faisait les deux tiers de l’ouvrage.
L’Athlète avait promis d’en payer un talent :
Mais quand il le vit, le galant
N’en donna que le tiers, et dit fort franchement
Que Castor et Pollux acquitassent le reste.
Faites-vous contenter par ce couple céleste.
Je vous veux traiter cependant.
Venez souper chez moi, nous ferons bonne vie.
Les conviés sont gens choisis,
Mes parents, mes meilleurs amis.
Soyez donc de la compagnie.
Simonide promit. Peut-être qu’il eut peur
De perdre, outre son dû, le gré de sa louange.
Il vient, l’on festine, l’on mange.
Chacun étant en belle humeur,
Un domestique accourt, l’avertit qu’à la porte
Deux hommes demandaient à le voir promptement.
Il sort de table, et la cohorte
N’en perd pas un seul coup de dent.
Ces deux hommes étaient les gémeaux de l’éloge.
Tous deux lui rendent grâce, et pour prix de ses vers
Ils l’avertissent qu’il déloge,
Et que cette maison va tomber à l’envers.
La prédiction fut vraie ;
Un pilier manque ; et le plafond
Ne trouvant plus rien qui l’étaie,
Tombe sur le festin, brise plats et flacons,
N’en fait pas moins aux Échansons.
Ce ne fut pas le pis ; car pour rendre complète
La vengeance due au Poète,
Une poutre cassa les jambes à l’Athlète,
Et renvoya les conviés
Pour la plupart estropiés.
La renommée eut soin de publier l’affaire.
Chacun cria miracle ; on doubla le salaire
Que méritaient les vers d’un homme aimé des Dieux.
Il n’était fils de bonne mère
Qui les payant à qui mieux mieux,
Pour ses ancêtres n’en fît faire.
Je reviens à mon texte, et dis premièrement
Qu’on ne saurait manquer de louer largement
Les Dieux et leurs pareils : de plus, que Melpomène
Souvent, sans déroger, trafique de sa peine :
Enfin qu’on doit tenir notre art en quelque prix.
Les Grands se font honneur dès lors qu’ils nous font grâce.
Jadis l’Olympe et le Parnasse
Étaient frères et bons amis
Illustration de la Fable de Jean de La Fontaine
Illustration de la Fable de Jean de La Fontaine : Simonide préservé par les Dieux .

Et cette Fable aurait pour morale :

Comme toutes les Fables de La Fontaine, une morale, une maxime, un proverbe même peut en être tiré, et ici pour ce " Simonine préservé par les dieux ", l'on peut en faire ressortir que:
- L'on ne peut louer que trop trois sortes de personnes : les dieux, sa maîtresse et son roi ...
- La louange chatouille, et gagne les esprits : les faveurs d’une Belle en sont souvent le prix ...
- Malherbe le disait ; j’y souscris quant à moi : ce sont Maximes toujours bonnes ...
Et, vous aussi, vous pouvez en tirer votre propre " morale " ...:)
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Simonide préservé par les Dieux

samedi 8 octobre 2016 à 17:53
Simonide préservé par les Dieux, quatorzième Fable de Jean de La Fontaine, extraite du Livre I, a édité édité en 1668 pour la première fois. Il ne faut pas confondre cette fable avec sa source d'inspiration issue de Phèdre (IV, 24) et contant un épisode mythique de la vie du poète lyrique grec Simonide de Céos ...Simonide préservé par les Dieux
Simonide préservé par les Dieux : gravure d'époque de G. Doré ( archives numériques de la BNF ).

Le Texte de la Fable.

On ne peut trop louer trois sortes de personnes ;
Les Dieux, sa Maîtresse, et son Roi.
Malherbe le disait : j’y souscris quant à moi :
Ce sont maximes toujours bonnes.
La louange chatouille, et gagne les esprits.
Les faveurs d’une belle en sont souvent le prix.
Voyons comme les Dieux l’ont quelquefois payée.
Simonide avait entrepris
L’éloge d’un Athlète ; et la chose essayée,
Il trouva son sujet plein de récits tout nus.
Les parents de l’Athlète étaient gens inconnus,
Son père un bon Bourgeois ; lui sans autre mérite ;
Matière infertile et petite.
Le Poète d’abord parla de son Héros.
Après en avoir dit ce qu’il en pouvait dire ;
Il se jette à côté ; se met sur le propos
De Castor et Pollux ; ne manque pas d’écrire
Que leur exemple était aux lutteurs glorieux ;
Élève leurs combats, spécifiant les lieux
Où ces frères s’étaient signalés davantage.
Enfin l’éloge de ces Dieux
Faisait les deux tiers de l’ouvrage.
L’Athlète avait promis d’en payer un talent :
Mais quand il le vit, le galant
N’en donna que le tiers, et dit fort franchement
Que Castor et Pollux acquitassent le reste.
Faites-vous contenter par ce couple céleste.
Je vous veux traiter cependant.
Venez souper chez moi, nous ferons bonne vie.
Les conviés sont gens choisis,
Mes parents, mes meilleurs amis.
Soyez donc de la compagnie.
Simonide promit. Peut-être qu’il eut peur
De perdre, outre son dû, le gré de sa louange.
Il vient, l’on festine, l’on mange.
Chacun étant en belle humeur,
Un domestique accourt, l’avertit qu’à la porte
Deux hommes demandaient à le voir promptement.
Il sort de table, et la cohorte
N’en perd pas un seul coup de dent.
Ces deux hommes étaient les gémeaux de l’éloge.
Tous deux lui rendent grâce, et pour prix de ses vers
Ils l’avertissent qu’il déloge,
Et que cette maison va tomber à l’envers.
La prédiction fut vraie ;
Un pilier manque ; et le plafond
Ne trouvant plus rien qui l’étaie,
Tombe sur le festin, brise plats et flacons,
N’en fait pas moins aux Échansons.
Ce ne fut pas le pis ; car pour rendre complète
La vengeance due au Poète,
Une poutre cassa les jambes à l’Athlète,
Et renvoya les conviés
Pour la plupart estropiés.
La renommée eut soin de publier l’affaire.
Chacun cria miracle ; on doubla le salaire
Que méritaient les vers d’un homme aimé des Dieux.
Il n’était fils de bonne mère
Qui les payant à qui mieux mieux,
Pour ses ancêtres n’en fît faire.
Je reviens à mon texte, et dis premièrement
Qu’on ne saurait manquer de louer largement
Les Dieux et leurs pareils : de plus, que Melpomène
Souvent, sans déroger, trafique de sa peine :
Enfin qu’on doit tenir notre art en quelque prix.
Les Grands se font honneur dès lors qu’ils nous font grâce.
Jadis l’Olympe et le Parnasse
Étaient frères et bons amis
Illustration de la Fable de Jean de La Fontaine
Illustration de la Fable de Jean de La Fontaine : Simonide préservé par les Dieux .

Et cette Fable aurait pour morale :

Comme toutes les Fables de La Fontaine, une morale, une maxime, un proverbe même peut en être tiré, et ici pour ce " Simonine préservé par les dieux ", l'on peut en faire ressortir que:
- L'on ne peut louer que trop trois sortes de personnes : les dieux, sa maîtresse et son roi ...
- La louange chatouille, et gagne les esprits : les faveurs d’une Belle en sont souvent le prix ...
- Malherbe le disait ; j’y souscris quant à moi : ce sont Maximes toujours bonnes ...
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Quel est le bon moment pour partir à New York ?

samedi 8 octobre 2016 à 17:18
Si vous avez toujours voulu visiter New York et que vous êtes prêt à vous lancer, il vous faudra avant tout déterminer la meilleure saison pour y aller ainsi que le budget que vous allez allouer à cette escapade.Quel que soit le moment choisi, New York est une ville unique, non seulement par les monuments qu’on peut y découvrir, mais aussi par la richesse culturelle et l’aventure que cela représente. Voici nos conseils pour un voyage dans la grosse pomme réussi.

Bien choisir la saison pour un voyage à New York.

Les saisons où il est envisageable et conseillé de partir pour New York sont le printemps, l’été et l’automne, à moins que vous ne vouliez vivre un hiver New-Yorkais. En fait, c’est à partir du printemps (d’Avril à Juin) que les températures sont correctes, et où les billets d’avions sont les moins chers. Vous pouvez donc en profiter pour explorer Central Park et aussi les grands bâtiments à pieds ou encore aller voir un match de baseball ou de basket.
Si vous comptez partir en été (Juillet à Septembre), cette période est celle où il y a le plus de touristes à New York , et ça correspondra donc à la saison où tout est un peu plus cher. Il se peut qu’il fasse très chaud, mais vous pourrez en profiter pleinement pour aller à la découverte de la statue de la Liberté, aller en croisière à Manhattan ou encore visiter les musées de la ville.
un voyage à New York
un voyage à New York : la Mégalopole !
L’automne est aussi une période propice pour visiter New York parce que c’est une période pendant lesquelles les prix sont plus bas que pendant l’été, mais aussi parce que c’est une bonne période pour visiter les musées et autres bâtiments célèbres. Pendant cette période, vous pouvez également en profiter pour voir le changement de couleur de la végétation dans Central Park. Toutefois, cette période est assez courte et l’hiver commence à se manifester en décembre.

Bien planifier son voyage à New York.

Une bonne planification de votre voyage à New York vous permettra d’économiser de l’argent, quelle que soit la période choisie et les activités que vous comptez faire.
Il est conseillé de réserver un vol 3 à 4 mois à l’avance si vous comptez partir en été, et un peu moins pour les autres saisons. Et pour réserver un billet, vous pouvez utiliser de nombreux comparateurs de vols sur le marché qui trouveront pour vous les meilleures formules qui conviendront à votre budget.
En ce qui concerne l’hébergement, il y a là aussi différents choix possibles, que ce soit en optant pour les hôtels classiques, ou en choisissant la location de particuliers via Airbnb ou autres, ou encore en choisissant des auberges de jeunesse, pour ceux qui ont un budget assez limité.
Il vous faudra également prévoir la nourriture et les frais de déplacement pendant votre voyage, et différents sites web peuvent vous assister pour ça, selon la durée de votre séjour.
Taxis à New York
Taxis à New York : le moyen incontournable pour se déplacer .
Pour les formalités administratives, il vous faudra un passeport biométrique à jour et remplir une demande ESTA (l’équivalent du visa court séjour) en ligne. Cette demande consiste à répondre à un formulaire contenant divers questions motivant le séjour aux États-Unis et indiquant la durée et le lieu du séjour. Cette procédure est plus ou moins simple et il ne faut que quelques heures pour se le voir accorder.
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