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Le guide « Autodéfense courriel » disponible en français

lundi 30 juin 2014 à 11:14

Extrait de l'infographie Autodéfense courriel

Paris, le 30 juin 2014. Communiqué de presse.

L'April et Framasoft ont le plaisir d'annoncer la mise en ligne de la version française du guide « Autodéfense courriel » de la Fondation pour le Logiciel Libre. Cette dernière vient en effet d'annoncer la mise en ligne de traductions de son guide « Email Self-Defense » dont la version française a été assurée par l'April et Framasoft1. Le guide est désormais disponible en 7 langues en attendant d'autres traductions.

L'objectif du guide est de montrer à tout le monde que dans un monde de surveillance généralisée le chiffrement des courriels est nécessaire et accessible. Comme le disait récemment Edward Snowden « adopter le chiffrement est la première mesure efficace que tout le monde peut prendre pour mettre fin à la surveillance de masse ».

Le guide de la Fondation pour le Logiciel Libre est disponible en :

Outre le guide, une infographie est également disponible.

« Les traductions de ce guide le rendent accessible aux lecteurs non-anglophones. Cet effort a été possible par la mobilisation de bénévoles de l'April et de Framasoft pour la version française, nous les remercions chaleureusement » a déclaré Frédéric Couchet, délégué général de l'April.

« Pour les personnes qui se sentiraient perdues dans ce monde de la cryptographie il existe les Cafés Vie Privée qui permettent de passer un après-midi à causer et pratiquer la cryptographie » a ajouté Nicolas "Aeris" Vinot, administrateur de l'April et un des animateurs de Cafés Vie Privée.

Brevets logiciels : recadrage historique de la Cour Suprême des États-Unis

vendredi 20 juin 2014 à 10:39

Paris, le 20 juin 2014. Communiqué de presse.

Le 19 juin 2014, la Cour suprême des États-Unis a enfin posé des limites à la brevetabilité des logiciels. Dans une décision unanime les juges ont rejeté les brevets mis en cause dans l'affaire Alice v. CLS Bank. Tout comme la Free Software Foundation, l'April se réjouit de cette décision qui, si elle concerne les États-Unis uniquement, est un signal fort contre les brevets logiciels. Elle souligne également que cette décision de la Cour Suprême expose l'importance de pouvoir recourir à une juridiction généraliste et indépendante sur la question des brevets, pour limiter les dérives des cours spécialisées - et redoute l'absence d'une telle protection dans le cadre du futur brevet unitaire européen.

Si la décision ne mentionne pas explicitement les brevets logiciels1, elle réduit le champ de la brevetabilité, en affirmant que le fait qu'une idée abstraite soit appliquée par le biais d'un ordinateur ne suffit pas à la rendre brevetable. Cela tord le cou à une interprétation trop extensive par la cour spécialisée sur les brevets (appelée Cour of Appeal of the Federal Circuit, CAFC) aux États-Unis d'une ancienne décision de la Cour Suprême, Diamond v. Diehr, qui considérait qu'une invention était brevetable dès qu'elle était implémentée par ordinateur2.

« Cette décision est une excellente nouvelle pour l'informatique en général et pour le logiciel libre en particulier », explique Jeanne Tadeusz, responsable des affaires publiques de l'April. « Cela réactive le principe fondamental selon lequel les idées sont de libre parcours, c'est-à-dire que c'est leur application matérielle qui est encadrée par le droit. Le simple fait de la mettre en place par ordinateur ne suffit pas à la rendre brevetable.»

Si cela n'interdit pas explicitement tous les brevets logiciels, cela permet au moins de les circonscrire. L'April se réjouit donc de la décision, mais souligne aussi l'importance d'avoir une juridiction suprême généraliste, qui ne soit pas incluse dans un microcosme des brevets. En effet, les cours spécialisées avaient toutes validé ce type de brevets logiciels ; seule la cour suprême les réfute. La mise en parallèle de ce système avec celui proposé par le brevet unitaire européen souligne les dangers de ce dernier : avec uniquement des juridictions spécialisées, peuplées de spécialistes des brevets, le futur système européen risque fort de ne pas permettre de tels recadrages.

« Les vannes des brevets logiciels ont été ouvertes aux US parce que la CAFC a interprété Diamond v Diehr comme permettant la brevetabilité d'un procédé mis en œuvre par ordinateur, parce qu'il implique un ordinateur » explique Gérald Sédrati-Dinet, spécialiste des brevets pour l'April. « La cour suprême dit ici que cette interprétation est fausse. Quand la juridiction unifiée des brevets européenne entérinera qu'un logiciel est brevetable parce qu'il est technique, certains logiciels devront être considérés comme techniques et d'autres au contraire “en tant que tels”. Et aucune Cour suprême ne pourra corriger cela en réaffirmant l'évidence : un logiciel est un logiciel, point barre. Il n'y a pas de distinction à faire entre des logiciels techniques et d'autres qui ne le seraient pas. »

« La mobilisation contre les brevets logiciels continue », conclut Frédéric Couchet, délégué général de l'April. « Cette décision est une bonne nouvelle, mais une réforme du système des brevets n'est pas suffisante. Il est nécessaire d'obtenir l'interdiction pure et simple des brevets logiciels, qui sont un grave danger notamment pour la liberté de programmer ».

L'April continuera le travail qu'elle mène depuis près de 15 ans contre les dangers du brevet logiciel et contre la confiscation du savoir par quelques grands monopoles, et a besoin du soutien et de la participation de toute personne, de toute organisation opposée aux brevets logiciels.

Citation de la décision de la cour suprême, détaillant le danger des brevets logiciels :

We must distinguish between patents that claim the “buildin[g] block[s]” of human ingenuity and those that integrate the building blocks into something more, thereby “transform[ing]” them into a patent-eligible invention. The former “would risk disproportionately tying up the use of the underlying” ideas, and are therefore ineligible for patent protection. The latter pose no comparable risk of pre-emption, and therefore remain eligible for the monopoly granted under our patent laws.

Nous devons faire la distinction entre les brevets qui revendiquent les « briques de base » de l'ingéniosité humaine et ceux qui intègrent ces briques de base dans quelque chose qui va au-delà, les « transformant » de ce fait en une invention susceptible d'être brevetée. Les premiers « risqueraient d'assujettir de manière disproportionnée l'utilisation des idées sous-jacentes », et sont par conséquent inéligible à une protection par un brevet. Les derniers ne pose aucun risque comparable de préemption et dès lors demeurent éligibles pour le monopole qu'octroie notre droit des brevets. (Traduction par nos soins)

À propos de l'April

Pionnière du logiciel libre en France, l'April est depuis 1996 un acteur majeur de la démocratisation et de la diffusion du Logiciel Libre et des standards ouverts auprès du grand public, des professionnels et des institutions dans l'espace francophone. Elle veille aussi, à l'ère du numérique, à sensibiliser l'opinion sur les dangers d'une appropriation exclusive de l'information et du savoir par des intérêts privés.

L'association est constituée de plus de 3 600 membres utilisateurs et producteurs de logiciels libres.

Pour plus d'informations, vous pouvez vous rendre sur le site Web à l'adresse suivante : http://www.april.org/, nous contacter par téléphone au +33 1 78 76 92 80 ou par notre formulaire de contact.

Contacts presse :

Gérald Sédrati-Dinet, conseiller bénévole sur les brevets, gibus@unitary-patent.eu +33 6 60 56 36 45
Frédéric Couchet, délégué général, fcouchet@april.org +33 6 60 68 89 31
Jeanne Tadeusz, responsable affaires publiques, jtadeusz@april.org +33 1 78 76 92 82

Brevets logiciels : recadrage historique de la Cour Suprême des États-Unis

vendredi 20 juin 2014 à 10:39

Paris, le 20 juin 2014. Communiqué de presse.

Le 19 juin 2014, la Cour suprême des États-Unis a enfin posé des limites à la brevetabilité des logiciels. Dans une décision unanime les juges ont rejeté les brevets mis en cause dans l'affaire Alice v. CLS Bank. Tout comme la Free Software Foundation, l'April se réjouit de cette décision qui, si elle concerne les États-Unis uniquement, est un signal fort contre les brevets logiciels. Elle souligne également que cette décision de la Cour Suprême expose l'importance de pouvoir recourir à une juridiction généraliste et indépendante sur la question des brevets, pour limiter les dérives des cours spécialisées - et redoute l'absence d'une telle protection dans le cadre du futur brevet unitaire européen.

Si la décision ne mentionne pas explicitement les brevets logiciels1, elle réduit le champ de la brevetabilité, en affirmant que le fait qu'une idée abstraite soit appliquée par le biais d'un ordinateur ne suffit pas à la rendre brevetable. Cela tord le cou à une interprétation trop extensive par la cour spécialisée sur les brevets (appelée Cour of Appeal of the Federal Circuit, CAFC) aux États-Unis d'une ancienne décision de la Cour Suprême, Diamond v. Diehr, qui considérait qu'une invention était brevetable dès qu'elle était implémentée par ordinateur2.

« Cette décision est une excellente nouvelle pour l'informatique en général et pour le logiciel libre en particulier », explique Jeanne Tadeusz, responsable des affaires publiques de l'April. « Cela réactive le principe fondamental selon lequel les idées sont de libre parcours, c'est-à-dire que c'est leur application matérielle qui est encadrée par le droit. Le simple fait de la mettre en place par ordinateur ne suffit pas à la rendre brevetable.»

Si cela n'interdit pas explicitement tous les brevets logiciels, cela permet au moins de les circonscrire. L'April se réjouit donc de la décision, mais souligne aussi l'importance d'avoir une juridiction suprême généraliste, qui ne soit pas incluse dans un microcosme des brevets. En effet, les cours spécialisées avaient toutes validé ce type de brevets logiciels ; seule la cour suprême les réfute. La mise en parallèle de ce système avec celui proposé par le brevet unitaire européen souligne les dangers de ce dernier : avec uniquement des juridictions spécialisées, peuplées de spécialistes des brevets, le futur système européen risque fort de ne pas permettre de tels recadrages.

« Les vannes des brevets logiciels ont été ouvertes aux US parce que la CAFC a interprété Diamond v Diehr comme permettant la brevetabilité d'un procédé mis en œuvre par ordinateur, parce qu'il implique un ordinateur » explique Gérald Sédrati-Dinet, spécialiste des brevets pour l'April. « La cour suprême dit ici que cette interprétation est fausse. Quand la juridiction unifiée des brevets européenne entérinera qu'un logiciel est brevetable parce qu'il est technique, certains logiciels devront être considérés comme techniques et d'autres au contraire “en tant que tels”. Et aucune Cour suprême ne pourra corriger cela en réaffirmant l'évidence : un logiciel est un logiciel, point barre. Il n'y a pas de distinction à faire entre des logiciels techniques et d'autres qui ne le seraient pas. »

« La mobilisation contre les brevets logiciels continue », conclut Frédéric Couchet, délégué général de l'April. « Cette décision est une bonne nouvelle, mais une réforme du système des brevets n'est pas suffisante. Il est nécessaire d'obtenir l'interdiction pure et simple des brevets logiciels, qui sont un grave danger notamment pour la liberté de programmer ».

L'April continuera le travail qu'elle mène depuis près de 15 ans contre les dangers du brevet logiciel et contre la confiscation du savoir par quelques grands monopoles, et a besoin du soutien et de la participation de toute personne, de toute organisation opposée aux brevets logiciels.

Citation de la décision de la cour suprême, détaillant le danger des brevets logiciels :

We must distinguish between patents that claim the “buildin[g] block[s]” of human ingenuity and those that integrate the building blocks into something more, thereby “transform[ing]” them into a patent-eligible invention. The former “would risk disproportionately tying up the use of the underlying” ideas, and are therefore ineligible for patent protection. The latter pose no comparable risk of pre-emption, and therefore remain eligible for the monopoly granted under our patent laws.

Nous devons faire la distinction entre les brevets qui revendiquent les « briques de base » de l'ingéniosité humaine et ceux qui intègrent ces briques de base dans quelque chose qui va au-delà, les « transformant » de ce fait en une invention susceptible d'être brevetée. Les premiers « risqueraient d'assujettir de manière disproportionnée l'utilisation des idées sous-jacentes », et sont par conséquent inéligible à une protection par un brevet. Les derniers ne pose aucun risque comparable de préemption et dès lors demeurent éligibles pour le monopole qu'octroie notre droit des brevets. (Traduction par nos soins)

À propos de l'April

Pionnière du logiciel libre en France, l'April est depuis 1996 un acteur majeur de la démocratisation et de la diffusion du Logiciel Libre et des standards ouverts auprès du grand public, des professionnels et des institutions dans l'espace francophone. Elle veille aussi, à l'ère du numérique, à sensibiliser l'opinion sur les dangers d'une appropriation exclusive de l'information et du savoir par des intérêts privés.

L'association est constituée de plus de 3 600 membres utilisateurs et producteurs de logiciels libres.

Pour plus d'informations, vous pouvez vous rendre sur le site Web à l'adresse suivante : http://www.april.org/, nous contacter par téléphone au +33 1 78 76 92 80 ou par notre formulaire de contact.

Contacts presse :

Gérald Sédrati-Dinet, conseiller bénévole sur les brevets, gibus@unitary-patent.eu +33 6 60 56 36 45
Frédéric Couchet, délégué général, fcouchet@april.org +33 6 60 68 89 31
Jeanne Tadeusz, responsable affaires publiques, jtadeusz@april.org +33 1 78 76 92 82

Free Software Pact : 162 signataires, au moins 33 eurodéputés ont signé le Pacte du Logiciel Libre !

mercredi 28 mai 2014 à 17:16

Paris, le 28 mai 2014. Communiqué de presse.

Selon les résultats provisoires, 33 signataires du Pacte du Logiciel Libre ont été élus au Parlement européen en mai 2014. L'April remercie chacun d'entre eux pour leur engagement en faveur du Logiciel Libre, ainsi que les volontaires pour le travail accompli pendant cette campagne.

Le 25 mai, 162 candidats de 16 pays avaient signé le Pacte du Logiciel Libre, s'engageant ainsi à promouvoir et à défendre le Logiciel Libre s'ils étaient élus au Parlement européen.

Selon les résultats provisoires, au moins 33 des nouveaux eurodéputés, venant de 7 pays, ont signé le Pacte du Logiciel Libre:

« L'April les remercie pour leur engagement en faveur du Logiciel libre », a dit Jeanne Tadeusz, responsable des affaires publiques de l'April.« Le Parlement européen est un des acteurs les plus importants aujourd'hui pour ce qui est de la protection de nos libertés, comme l'ont montré les récentes batailles autour d'ACTA, de la neutralité du net, mais aussi il y a quelques années avec les brevets logiciels. C'est pourquoi il est crucial que les eurodéputés connaissent et se préoccupent du Logiciel Libre. »

Des volontaires ont également été actifs dans la traduction du Pacte, qui est disponible en 16 langues, et le site du Free Software Pact est disponible en 5 langues. Un grand merci à tous ceux qui ont contribué à la campagne !

« Les eurodéputés récemment élus peuvent toujours signer le Pacte du Logiciel Libre », ajoute Frédéric Couchet, délégué général de l'April. « Les volontaires sont invités à contacter leurs nouveaux élus pour les sensibiliser au Logiciel Libre ».

A propos de l'initiative Free Software Pact

Depuis 2007, l’association française April sensibilise les candidats aux différentes élections concernant les questions liées au Logiciel Libre avec l’initiative Candidats.fr. L’initiative Candidats.fr a été renouvelée pour toutes les élections présidentielles, législatives et locales depuis 2007, date de la première campagne où demandait aux candidats de signer le Pacte du Logiciel Libre. En 2009 l’April, Associazione per il software libero, Hispalinux et de nombreux bénévoles ont unis leurs forces pour la première campagne Free Software Pact pour les élections européennes. En 2009, 231 candidats ont signé le pacte et 44 signataires on été élus.

Pour l'édition 2014, le Free Software Pact est une initiative de l'April, avec le soutien de Assoli, EDRI, Free Software Foundation, Free Software Foundation Europe, Hispalinux, LAKA et SOIT. Le Pacte du logiciel libre est disponible dans 16 langues de l'Union européenne, et le site de l'initiative dans 5 langues (contre 1 en 2009).

L'April est également partenaire de l'initiative WePromise.eu.

À propos de l'April

Pionnière du logiciel libre en France, l'April est depuis 1996 un acteur majeur de la démocratisation et de la diffusion du Logiciel Libre et des standards ouverts auprès du grand public, des professionnels et des institutions dans l'espace francophone. Elle veille aussi, à l'ère du numérique, à sensibiliser l'opinion sur les dangers d'une appropriation exclusive de l'information et du savoir par des intérêts privés.

L'association est constituée de plus de 3 600 membres utilisateurs et producteurs de logiciels libres.

Pour plus d'informations, vous pouvez vous rendre sur le site Web à l'adresse suivante : http://www.april.org/, nous contacter par téléphone au +33 1 78 76 92 80 ou par notre formulaire de contact.

Contacts presse :

Frédéric Couchet, délégué général, fcouchet@april.org +33 6 60 68 89 31
Jeanne Tadeusz, responsable affaires publiques, jtadeusz@april.org +33 1 78 76 92 82

Free Software Pact : 162 signataires, au moins 33 eurodéputés ont signé le Pacte du Logiciel Libre !

mercredi 28 mai 2014 à 17:16

Paris, le 28 mai 2014. Communiqué de presse.

Selon les résultats provisoires, 33 signataires du Pacte du Logiciel Libre ont été élus au Parlement européen en mai 2014. L'April remercie chacun d'entre eux pour leur engagement en faveur du Logiciel Libre, ainsi que les volontaires pour le travail accompli pendant cette campagne.

Le 25 mai, 162 candidats de 16 pays avaient signé le Pacte du Logiciel Libre, s'engageant ainsi à promouvoir et à défendre le Logiciel Libre s'ils étaient élus au Parlement européen.

Selon les résultats provisoires, au moins 33 des nouveaux eurodéputés, venant de 7 pays, ont signé le Pacte du Logiciel Libre:

« L'April les remercie pour leur engagement en faveur du Logiciel libre », a dit Jeanne Tadeusz, responsable des affaires publiques de l'April.« Le Parlement européen est un des acteurs les plus importants aujourd'hui pour ce qui est de la protection de nos libertés, comme l'ont montré les récentes batailles autour d'ACTA, de la neutralité du net, mais aussi il y a quelques années avec les brevets logiciels. C'est pourquoi il est crucial que les eurodéputés connaissent et se préoccupent du Logiciel Libre. »

Des volontaires ont également été actifs dans la traduction du Pacte, qui est disponible en 16 langues, et le site du Free Software Pact est disponible en 5 langues. Un grand merci à tous ceux qui ont contribué à la campagne !

« Les eurodéputés récemment élus peuvent toujours signer le Pacte du Logiciel Libre », ajoute Frédéric Couchet, délégué général de l'April. « Les volontaires sont invités à contacter leurs nouveaux élus pour les sensibiliser au Logiciel Libre ».

A propos de l'initiative Free Software Pact

Depuis 2007, l’association française April sensibilise les candidats aux différentes élections concernant les questions liées au Logiciel Libre avec l’initiative Candidats.fr. L’initiative Candidats.fr a été renouvelée pour toutes les élections présidentielles, législatives et locales depuis 2007, date de la première campagne où demandait aux candidats de signer le Pacte du Logiciel Libre. En 2009 l’April, Associazione per il software libero, Hispalinux et de nombreux bénévoles ont unis leurs forces pour la première campagne Free Software Pact pour les élections européennes. En 2009, 231 candidats ont signé le pacte et 44 signataires on été élus.

Pour l'édition 2014, le Free Software Pact est une initiative de l'April, avec le soutien de Assoli, EDRI, Free Software Foundation, Free Software Foundation Europe, Hispalinux, LAKA et SOIT. Le Pacte du logiciel libre est disponible dans 16 langues de l'Union européenne, et le site de l'initiative dans 5 langues (contre 1 en 2009).

L'April est également partenaire de l'initiative WePromise.eu.

À propos de l'April

Pionnière du logiciel libre en France, l'April est depuis 1996 un acteur majeur de la démocratisation et de la diffusion du Logiciel Libre et des standards ouverts auprès du grand public, des professionnels et des institutions dans l'espace francophone. Elle veille aussi, à l'ère du numérique, à sensibiliser l'opinion sur les dangers d'une appropriation exclusive de l'information et du savoir par des intérêts privés.

L'association est constituée de plus de 3 600 membres utilisateurs et producteurs de logiciels libres.

Pour plus d'informations, vous pouvez vous rendre sur le site Web à l'adresse suivante : http://www.april.org/, nous contacter par téléphone au +33 1 78 76 92 80 ou par notre formulaire de contact.

Contacts presse :

Frédéric Couchet, délégué général, fcouchet@april.org +33 6 60 68 89 31
Jeanne Tadeusz, responsable affaires publiques, jtadeusz@april.org +33 1 78 76 92 82