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source: Maniac Geek

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Premiers pas dans le CSS 3 et le Responsive Design

samedi 8 septembre 2012 à 09:39

 

Le CSS 3 est l’avenir du web design à ce qu’on dit et même si la plupart des navigateurs supportent de nombreuses fonctions, on remarque qu’il reste encore beaucoup à faire sur la normalisation du truc. Le CSS 3 permet de créer de beaux effets sans utiliser d’images. Ainsi, on peut créer des ombrages sur le texte, sur des blocs (DIV), jouer sur l’opacité d’un élément (très utile) sans oublier des images d’arrière-plan multiples sur un seul bloc. Et on peut aussi créer des dégradés uniquement avec le CSS 3. Pour cette dernière option, il y a un tel bordel dans les normes des différents navigateurs qu’on se croirait revenu au temps d’Internet Explorer 6 et de Netscape ! Pour faire court, il faut coder les styles CSS 3 pour le dégradé pour chaque navigateur sinon c’est la merde.

background: linear-gradient(to bottom, #000, #666);

Le code ci-dessus est la norme du W3C pour un simple dégradé linéaire qui va du noir jusqu’au gris foncé. Assez simple hein ! Mais si vous codez ce truc et que vous le lancez sur n’importe quel navigateur, cela ne fonctionnera pas que ce soit pour Chrome, Firefox, Opera et ce n’est même pas la peine de parler d’Internet Explorer. Pour Firefox, on doit utiliser le code suivant :

background: -moz-linear-gradient(top, #000, #666);

Pour Opera, ce sera le code :

background: -o-linear-gradient(top, #000, #666);

Et pour Chrome, on va utiliser :

background: -webkit-linear-gradient(top, #000, #666);

ou

background: -moz-gradient(top, #000, #666);

Et enfin pour Internet Explorer :

background: -ms-linear-gradient(top, #000, #666);

Mais comme Internet Explorer est le truc inventé par Microsoft pour uniquement faire chier tous les webmesters de cette planète, son code fonctionne uniquement pour IE 10 et supérieur et pour IE 9, on doit faire :

filter: progid:DXImageTransform.Microsoft.gradient( startColorstr='#000000, endColorstr='#666666',GradientType=0 );

Non mais vous avez vu ce code de merde de Microsoft et le pire est qu’IE 8 ne supporte pas une grande partie des styles CSS 3. Mais IE 8 est le navigateur préféré pour Windows XP (impossible d’installer IE 9 dans ce dernier) et donc, les utilisateurs de XP vont rester très en arrière par rapport aux standards du web alors qu’ils sont encore très nombreux.

Mais au delà de ça, je déteste ces pratiques de ces développeurs qui créent leurs propres standards dans leurs coins ce qui complique énormément la tâche aux designers. Le CSS 3 est censé nous faciliter la vie, mais cet exemple nous prouve au contraire que le dégradé est bien plus facile avec des images. Heureusement, ce mic mac de codes est assez rare. Mais le détail qui tue dans cette histoire de dégradé avec le CSS 3 et qu’aucun navigateur ne supporte le code selon le W3C et c’est vraiment se foutre du monde !

Mais le CSS 3 n’est pas uniquement utilisé pour faire beaux designs, car c’est dans le Responsive Design qu’il montre un potentiel phénoménal. L’approche du Responsive Design est de créer des pages web pour qu’ils s’adaptent automatiquement selon la résolution du terminal que ce soit pour un PC ou un smartphone. Le processus se fait par l’intermédiaire de feuilles de style ce qui offre une grande souplesse. On utilise l’option meta avec l’attribut media tel que l’exemple ci-dessous :

<link rel="stylesheet" media="screen and (max-width:480px)" href="mobile.css" type="text/css" />

Ce code fait un test sur la résolution du terminal et s’il dépasse les 480 pixels alors il utilise la feuille de style mobile.css (qui doit dans le même répertoire que la page dans cet exemple). Cette résolution de 480px est adaptée pour les smartphones tels que l’iPhone ou le Blackberry, mais on peut indiquer toutes les résolutions possibles tels que 240px pour les petits téléphones. Ainsi, on n’a pas besoin de créer des versions mobiles pour le site, car on optimise directement le contenu avec le CSS. Par ailleurs, cette méthode n’utilise pas du JavaScript ce qui allège considérablement la page. Mais l’inconvénient est la redondance du code, car on sera obligé de coder à plusieurs reprises les mêmes styles en les modifiant légèrement. Le Responsive Design utilise uniquement des unités de mesures fluides tels que le pourcentage ou l’em (pour les versions mobiles du site). En bref, le Responsive Design vous permet de créer un site standard très riche en images et en animations et proposer une version très légère dès que la résolution est inférieure à certains seuils. On parle surtout du Responsive Design pour les petits terminaux, mais on peut aussi faire le contraire en proposant des pages pour de hautes résolutions telles que celles qui dépassent les 1500 pixels ou même un format tel que le 16/9. Les possibilités sont infinies, mais espérons juste que les navigateurs ne vont pas aussi foutre le bordel avec leur codes propriétaires.

Note : Mon exemple sur les médias queries CSS 3 n’est pas exclusif. Si vous voulez, vous pouvez mettre directement l’attribut media dans votre feuille de style principal avec @media screen (option) {votre code css}, mais cela rallonge considérablement la page et c’est difficile de modifier par la suite. En créant des pages séparées, c’est beaucoup simple de travailler séparément sur chaque format.

Pour plus d’informations sur le Responsive Design, je vous invite à lire les articles ci-dessous :


Nous sommes des chiens avec une grande laisse

mardi 4 septembre 2012 à 14:16

 

Dans une immense cour bordés d’arbres et de belles plantes en tout genre, un chien gambade gaiement. Il peut aller où il veut et quand il veut. Il pense qu’il est totalement libre. Un jour, ses maitres partent en voiture et quand la porte s’ouvre, il voit qu’il y a une immense forêt qui entoure la cour. Il y a bien plus d’arbres, de plantes et de fleurs qu’il n’y en aura jamais dans sa cour. Pensant qu’il est totalement libre, il se précipite vers la sortie quand une douleur brutale le prend à la gorge. C’est là qu’il voit la laisse en acier qui fait de lui un prisonnier. Quand il se rend compte qu’on l’a pris pour un con toute sa vie, le chien a deux choix, soit il se fait violence en se disant que peu de liberté vaut mieux que rien du tout, soit il se dit qu’il veut à tout prix sortir de la cour.

repression

 

Le monde reprendra son cours s’il choisit la première solution, mais s’il choisit la seconde, alors il devra aboyer pour se faire entendre. D’abord, ce sera des gémissements, puis des hurlements à la mort. Finalement, quand il verra que rien ne fonctionne, il va tenter de mordre un des enfants du maitre pour enfin attirer son attention. Cette fois, le maitre le détachera pour le mettre dans sa voiture et le chien pensera qu’il a obtenu ce qu’il voulait. Mais la balade le conduira simplement dans une clinique vétérinaire où un mec en blouse blanche va le piquer.

Si vous ne l’avez pas encore compris, l’internaute ou même le citoyen est le chien dans le monde actuel. Il pense qu’il peut dire et faire tout ce qu’il pense. Il pense qu’il est libre avec l’Internet. Il poste sur des blogs, des forums en se croyant comme un de ceux qui changent le monde. Mais s’il arrive à gratter la surface et à voir derrière la cour, il se rendra qu’il est surveillé en permanence. Etre totalement anonyme ou totalement libre est une utopie. Aujourd’hui, c’est l’affaire du piratage de 12 millions de compte appartenant à des utilisateurs d’Apple que les Anonymous ont piqués chez le FBI. Les fans d’Apple qui ont autant de jugeotte que les adeptes d’une secte se déchainent contre les pirates. Ils sont comme l’idiot qui regarde le doigt quand on lui montre la lune, car la véritable question est qu’est-ce que le FBI foutait avec ce type de données. Et si c’est possible avec des informations provenant d’Apple, pourquoi ce ne sera pas la même chose avec d’autres systèmes ?

L’une des avocates de Julian Assange s’est vue interdite de vol, car elle était dans la liste noire des autorités américaines. Son crime n’était pas de s’être entrainé dans un camp de terroristes en Afghanistan ou d’avoir encastré un avion dans un immeuble, mais juste le fait qu’elle avait prise la défense du fondateur de Wikileaks. Les gouvernements oublient rapidement la loi Miranda qui stipule que même le pire des criminels a droit à un avocat. On peut nous traiter de paranoiaques ou de théoriciens du complot qui croient à une surveillance globale, mais les faits sont là. Chaque jour, on lit des dérives de gouvernements démocratiques. En fin de compte, on nous assène une pseudo liberté, mais uniquement dans les limites acceptables dans notre société. On nous dit de prendre autant de plaisir qu’on veut dans la cour, mais gare à nous si nous cherchons à sortir sous peine d’une visite chez le vétérinaire.

Mais on peut se demander pourquoi une telle cabale contre Julian Assange ? Après tout, il n’a publié que des cables diplomatiques et non les emplacements secrets de missiles ou d’autres documents ultra-confidentiels. Mais le fait est que ces documents ont permis en partie de comprendre comment les gouvernements fonctionnent réellement. Cette initiative a désacralisée le gouvernement ce qui implique qu’on ne le respecte plus comme la parole d’Evangile et qu’on lui demandera des comptes pour tout. La puissance d’un gouvernement réside dans sa capacité à jouer parfaitement au Docteur Jekyll et My Hyde. Pour Mr et Mme Michu, c’est le gouvernement qui le protège des méchants, mais ce même gouvernement pactise avec ces mêmes méchants pour être tranquille.

L’esclave dans les chaînes est libre ; cela veut dire que le sens même de ses chaînes lui apparaîtra à la lumière de la fin qu’il aura choisie : rester esclave ou risquer le pis pour s’affranchir.

Jean Paul Sartre


Les blogueurs esclaves des marques (affaire Samsung)

lundi 3 septembre 2012 à 06:30

 

On a déjà lu des histoires similaires avec les Jeux Olympiques 2012 où des blogueurs qui avaient gagnés des voyages gratuits ont étés harcelés par les marques pour qu’ils fassent exclusivement la promotion de leurs produits sinon ça allait chier… Cette fois, c’est Samsung qui est au centre d’une polémique rapporté par un article de The Next Web. Plusieurs blogueurs en Inde ont gagnés un voyage gratuit pour un évènement sur les nouveautés mobiles à Berlin. Pendant la préparation, les blogueurs ont étés assez clairs sur leur indépendance et qu’ils n’étaient pas des ambassadeurs de la marque. Samsung a fait semblant d’accepter leurs conditions, mais leur a fait du chantage une fois arrivés sur place en menaçant d’annuler leurs billets de retour s’ils ne faisaient pas uniquement la promotion exclusive de la marque et s’ils ne portaient pas des uniformes estampillés Samsung.

Des blogueurs français ont été aussi victimes de ce type de pratique. On leur a fait gagner un voyage pour les JO 2012, mais c’était en échange d’un travail proche de l’esclavagisme pour produire du contenu. Contrairement au web francophone qui en a parlé juste pendant quelques jours, l’histoire de Samsung et des blogueurs indiens est déjà sur les principaux sites. Samsung n’avait vraiment pas besoin de ça après sa défaite contre Apple. En fait, les commentateurs sur The Next Web hésitent maintenant à acheter des produits Samsung. Un beau Bad Buzz et effet Streisand !

Au délà de cette affaire, on doit vraiment se poser des questions sur ces programmes de voyages gratuits par les marques. Quand vous lisez certains articles de blogueurs quand ils gagnent et racontent ces programmes, vous avez l’impression que c’est des voyages de rêve, mais ce type d’affaires nous montre tout le contraire. Mais je pense qu’aucune marque ne va dépenser des milliers d’euros en billets d’avion et hébergement s’ils n’obtiennent rien en retour. L’objectivité ? C’est une blague dans le monde actuel ! Ces blogueurs sont surtout des naifs pour avoir cru qu’une marque qui leur offre des trucs gratuits allait leur permettre d’être indépendant dans leur couverture médiatique. Par ailleurs, Samsung a bien choisi ces cibles puisque ces blogueurs n’avaient pas d’argent pour rentrer au cas où ils refuseraient les conditions du contrat. Le cout de ce type de voyage tourne aux alentours de 3000 euros et peu de blogueurs possèdent cette somme dans leur compte en banque.

Si on doit se méfier des voyages gratuits, on doit aussi se poser des questions sur les tests de produits genre : Super ! La méga cool marque m’a envoyé son dernier produit que je me suis empressé de tester et il est vraiment d’enfer !!! Je parie que l’utilisation du produit gratuit exige un contenu qui est exclusivement promotionnel sans aucun test sur sa vraie fiabilité et performance. Pendant mes premiers pas sur le blogging, j’avais mentionné que les blogueurs sont devenus des produits pour les marques, mais je me trompais, car ce ne sont que des outils de promotion pour les marques.


TF1 et JPP, des histoires simples pour des personnes simples

samedi 1 septembre 2012 à 06:12

 

Il y a quelques années, lorsque j’avalais toutes les couleuvres des médias et que je dormais encore dans la Matrix, j’avais l’habitude de regarder TF1. Hérésie ! me diront certains, mais le fait est que cette chaine a façonné l’esprit de la grande masse et pas uniquement en France, mais à travers le monde. Mais même quand j’étais conditionné à croire les mensonges de tous les médias, TF1 poussait le bouchon trop loin. Ensuite, je me suis réveillé et je n’ai jamais plus regardé un seul journal télévisé. Quelques mois plus tard, je tombe sur le journal de 13 heures présenté par Jean Pierre Pernaud. Et même si début, les reportages m’ont fait sourire, je l’ai regardé de nouveau le jour suivant et encore le jour d’après.

Et je me suis posé des questions pourquoi je bloquait devant une telle émission alors qu’elle n’a rien à voir avec la réalité. Mais le fait est que ce journal de 13 heures n’est pas un journal, mais plutôt une sorte de succession de petits documentaires dont la caractéristique est une histoire simple. Il montre des gens normaux avec des problèmes normaux dans des petits coins de pays qui s’en foutent complètement de ce qui se passe dans le reste du monde. Nous, les internautes de la New Generation, avons tendance à dramatiser les choses et à croire que nous sommes importants. L’un de ces reportages montrait une vieille dame qui a perdu son emploi de sonner les cloches.

Eh oui, chaque jour, cette femme sonnait la cloche de son village et elle a été ensuite remplacée par un interrupteur. Dans une autre émission qui étudie les médias, ce reportage est devenu le symbole de la risée du JT de 13h de TF1, mais en fin de compte, c’est ce que nous recherchons. Au bout d’un certain temps, les nouvelles du monde nous submergent tellement même si nous tentons de les filtrer et on a besoin d’une petite déconnexion même si cette dernière se base sur le mensonge. Ce sont des histoires sur lesquelles nous pouvons nous identifier loin des chiffres compliqués, des grands discours et comment les citoyens changent le monde même si la plupart lanceront une partie de WoW quand ils lisent un article sur l’activisme en ligne…

Ce qui nous amène à une nouvelle tendance du blogging qui est le blogging positif. De nombreux pensent que nous devrions consacrer une partie du blog aux bonnes nouvelles. Et qu’il y a toujours quelque chose de positif. Mais à force de dédramatiser les choses, nous risquons de devenir comme ces médias qui mentent pour contenter tout le monde. Dire les bonnes nouvelles, c’est bien, mais éveiller les consciences est mieux même si c’est une tâche ingrate, car on va vous étiquetter comme le corbeau de tempête qui annonce toujours le malheur.

Mais j’ai testé cette technique d’histoire simple (à la limite de la débilité) et il a plus de succès que tous les longs articles complexes et profonds que j’ai mis des mois à écrire. Il y a de quoi réfléchir…


Trouver de l’inspiration avec les affinités aléatoires

mercredi 29 août 2012 à 11:23

 

Un article très intéressant sur SEOmoz aborde une nouvelle technique pour trouver des idées et des relations entre des thématiques. Le concept s’appelle l’affilinité aléatoire et cela consiste principalement à trouver des relations entre des sujets qui débouchent sur des idées éloignées du sujet principal. Ainsi, il prend l’exemple du sujet de cyclisme. Si vous êtes un cycliste amateur, vous allez sans doute regarder des émissions de sports extrêmes, vous utilisez sans doute des crèmes solaires pour vous protéger pendant vos balades et vous possédez surement un PC ou une tablette. Donc, l’affinité aléatoire a découvert plusieurs sujets très différents, mais qui gravitent autour de l’intérêt de la personne plutôt que sur l’entourage technique du sujet. On ne doit pas confondre l’affinité aléatoire avec la recherche sémantique. Par exemple, si je dis la ville de Paris, les résultats sémantiques produiront la Tour Eiffel, Notre Dame de Paris, etc. Mais cela reste du niveau technique.

Dans l’affinité aléatoire, on se concentre sur la personne et ce qui l’intéresse alors que nous avons tendance à faire l’inverse. Nous créons nos sites et blogs en étendant la thématique d’un point de vue sémantique ou proche. Si vous parlez de téléphone portable sur votre site, alors vos déclinaisons concerneront les différentes marques sur le marché, les accessoires et peut-être les tablettes tactiles, mais vous allez négliger le principal acteur de votre site, à savoir, le visiteur. Cela s’apparente à du Real Marketing où les vendeurs s’intéressent aux acheteurs plutôt que le produit. Le meilleur vendeur est celui qui connait le mieux son audience et non les caractéristiques technique du produit.

Parmi les solutions pour trouver des idées d’affinités aléatoires, on a d’abord… le cerveau. Ben oui ! Ce type de technique est impossible à automatiser même avec des algorithmes très puissants. Etudiez votre thématique et ensuite étudiez votre lectorat. Essayez de vous mettre à sa place pour trouver les centres d’intérêt qui gravitent tout autour. Ensuite, l’article mentionne les publicités Facebook que je vais zapper puisque je ne suis pas sur le réseau. Mais Amazon et d’autres sites similaires sont aussi une source de précieuses données. Amazon a révolutionné le commerce en ligne avec son fameux module de produits similaires. En affichant un produit, vous découvrirez aussi ce qui a intéressé l’acheteur et on est parfois étonné du résultat. Google Suggest est aussi intéressant, mais je l’utilisais déjà bien avant l’article. Je pense que je vais utiliser cette technique pour certains de mes blogs pour voir si cela donne quelque chose.

Mais pour que l’affinité aléatoire fonctionne, il faut que le site ou le blog ait une base fidèle de visiteurs. Si un nouveau visiteur arrive sur le site et voit que vous avez publié des articles sur le cyclisme, une crème de protection et des promotions pour des émissions sportives, vous risquez de passer pour un parfait abruti. Mais si c’est un visiteur fidèle, vos articles seront sur son radar et lorsqu’il s’intéressera à un des sujets proches, il va se souvenir de votre article. Il va de soi que le trafic ne sera pas important avec cette technique, mais cela permet d’exploiter la longue traine.