Brahim, Salah, Mohamed. L'un s'est fait sauter boulevard Voltaire, l'autre est toujours en fuite, le troisième nie avoir été au courant des projets meurtriers de ses frères.
Aller-retours en Syrie incognito, manque de coordination des services de renseignement... C'est une chaîne de dysfonctionnements qui semble avoir permis les attentats de vendredi dernier.
"Plus il y a d'informations, plus il y a de rumeurs", note Pascal Froissart, enseignant-chercheur à l'université Paris-8, qui relève toutefois que "globalement, il n'y a pas eu de couac". Interview.