Moscou a donné l’asile au lanceur d’alerte américain en lui faisant promettre de ne plus nuire aux Etats-Unis. Mais le Kremlin l’utilise dans sa guerre secrète contre Washington.
Le Conseil national syrien, le groupe le plus important de l'opposition, ne participera pas à la conférence Genève-2, et menace de se retirer de la coalition anti-régime.