En lice pour la présidence du Parti radical qui se jouera en juin et qui l'oppose à Laurent Hénart, l'ex-secrétaire d'Etat peaufine sa "candidature de terrain". Comme à Toulouse.
Il encourt cinq ans de prison pour avoir fait enlever son ennemi juré afin de le livrer à la justice française pour sa responsabilité dans la mort en 1982 de Kalinka Bamberski, sa fille.