La panique gagne les survivants qui craignent de mourir de faim et de soif. Ils tentent de quitter, souvent sans succès, la zone sinistrée de Tacloban.
Depuis le fiasco de gestion des catastrophes à Haïti et en Indonésie, les acteurs de l'humanitaire ont appris de leurs erreurs, sont beaucoup plus prudents et mieux coordonnés.