L'agent de sûreté de l'aéroport de Nice, soupçonné par la préfecture de radicalisme islamique, a obtenu gain de cause devant le tribunal administratif.
Oui ! assure l'OCDE. Dans un rapport, l'organisation internationale pointe des faiblesses dans la prévention d'un tel scénario, qui affecterait jusqu'à 5 millions de personnes.
Les bombes visaient expressément les forces de l'ordre. Ces attaques se sont multipliées depuis que l'armée a destitué le président islamiste Mohamed Morsi le 3 juillet.