Pendant les longues heures que je passe devant mon ordinateur, connecté à Internet, je découvre pas mal de nouveaux logiciels que je ne connaissais pas. Certains parmi eux je les ignore tout simplement, car leurs équivalents que j’utilise satisfont mes besoins. Par exemple, même si j’apprécie Midori, je me vois mal l’utiliser au quotidien et délaisser Firefox, idem pour Hotot, Vim… etc. Cependant, il existe une catégorie de logiciels que je ne peux guère ignorer et que je garde toujours dans un coin au chaud. Les logiciels de récupération des données effacées ou perdues en font partie.

Le dernier en date que j’ai découvert est Safecopy. Je ne l’ai pas encore essayé, mais connaissant ma maladresse, ça ne va pas tarder. Sur le site Safecopy, on peut lire que ce dernier et contrairement aux autres programmes, comme Testdisk, dd ou Scalpel par exemple, qui eux vont arrêter leurs tentatives de récupération des données perdues dès qu’ils rencontreront des erreurs i/o, Safecopy ne lâchera pas prise facilement et essaiera de récupérer le plus possible de données :

Comme je ne l’ai pas encore testé, je ne peux pas donc trop m’avancer dans les commandes qu’il faut utiliser. Cela dit, vous trouverez plein d’info sur le site du projet

 

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Il y a quelques jours, je suis tombé sur une news qui annonçait la décision du ministère de l’intérieure, d’installer dans plusieurs villes marocaines des caméras de surveillances. Une décision justifiée, selon le ministère, par la croissance de la criminalité dans nos villes. Dit comme ça, et avec un argument pareil, difficile de se dresser contre ce projet. Et pourtant, quelques secondes après avoir fini la lecture de l’article, je n’ai pas pu m’empêcher de soulever plusieurs points inquiétants.

Même dans les démocraties occidentales, où ne badine pas avec les droits de l’homme et la vie privée des gens, la vidéo-surveillance ne fait pas l’unanimité, du fait que de nombreuses questions posent toujours problème : protection des données collectées, usage fait de ces données, qui a accès à ces images/vidéos… etc.

Or, dans un Maroc où les manifestants sont filmés par les flics, arrêtés et violés et emprisonnés, peuvent-ils nous garantir que les vidéos et images issues des caméras de surveillances se seront pas utilisées à des fins qui ne sont pas les leurs ? ou qu’elles ne seront pas croisées avec d’autres données pour constituer/améliorer les fichiers des policiers ? Dans un Maroc où on traque les internautes avec le deep packet inspection, peut-on être sûr que la vidéo-surveillance ne sera pas utilisé pour traquer la population IRL cette fois-ci ? Permettez-moi d’en douter.

Mais ce n’est pas tout, il est de notoriété publique que la sécurité de serveurs et sites web des administrations et ministères marocains laisse à désirer. Le plus noob des scripts kiddies peut leurs causer des graves dégâts. Je me pose donc des questions quant à la sécurité des données collectées, seront-elles chiffrées ? Combien de temps seront-elles gardées ? Est-ce que dans un souci de transparence, l’accès aux vidéos et images enregistré sera accordé aux personnes qui ont été filmé ? Quel sera le rôle de la Commission Nationale de contrôle de la protection des Données à caractère Personnel (CNDP) ?

Voilà ce sont quelques questions que je me suis posé, et à qui je ne trouve toujours pas de réponse.

crédit image

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À chaque fois qu’un quelconque classement est publié, le Maroc brille par son attachement à occuper les dernières places, c’est presque devenu une règle. Par exemple, dans le rapport 2012 de l’ONU sur le e-gouvernement, le plus beau pays au monde est classé 120ème sur 193 pays.

Dans un autre classement publié par la World Wide Web Foundation, le Maroc ne déroge pas à cette règle qu’il s’est auto-imposé. En effet, le Maroc occupe la 50ème place. Ne soyez pas trop contents, ce rapport recense 61 pays développés ou en voie de développement.

Le Web Index mesure la croissance du Web, son utilité et son impact sur les personnes et les pays.

Ce que je trouve amusant  dans ce classement, c’est de voir certains pays qui sont l’habituelle cible du mépris des marocains devant le Maroc. Comme quoi…

source et classement complet

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Parfois vous installez un thème GTK qu’il vous plaît et tout, cependant vous souhaitez quand même le modifier, le personnaliser un chouia. Mais voilà, vous n’avez jamais touché un thème GTK et vous avez peur de s’y aventurer. Si c’est votre cas alors je vous suggère d’essayer GTK Theme Config, même s’il est certain -dû à son jeune âge- qu’il ne va pas fonctionner avec tous les thèmes.

GTK Theme Config permet d’effectuer quelques modifications de son thème, comme changer la couleur du panneau (ceux de Gnome, XFCE et unity), modifier la couleur des menus et de leurs fonds. Pour l’installer sous Ubuntu, il suffit d’ajouter ce ppa :

sudo add-apt-repository ppa:shimmerproject/ppa
sudo apt-get update
sudo apt-get install gtk-theme-config

Les utilisateurs des autres distributions peuvent télécharger la source disponible sur cette page.

source

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Comme d’habitude, il est plus de 3 heure du mat et je n’ai toujours pas sommeil, et comme toujours je vais en profiter pour rédiger un billet, sauf que je n’ai pas un sujet précis qui me revient. Ah mais tiens, et si je publierais la liste des extensions Gnome Shell que j’utilise pour faire de ce dernier un bureau de travail convenable ?

• Deepin Enhanced Dock : comme son nom le laisse suggérer, cette extension, cette extension est développé par le projet Deepin (une distro chinoise). Elle ajoute un dock au panneau supérieur, très pratique si on veut se débarrasser de quelques mouvements inutiles avec la souris ;
• Deepin hide Dash :  avec l’extension ci-dessus installé, le dash n’est plus vraiment utile, celle-ci permet de le caché ;
• Remove accessibility : ben oui, sauf si vous souffrez d’un handicap, ce bouton ne vous est d’aucune utilité ;
• Hide username : celle-ci remplacera votre pseudo/nom affiché le panneau par une toute petite icône. Cela permet de gagner un peu d’espace ;
• Deepin enhanced Alt-Tav switcher : elle permet de se déplacer facilement entre les fenêtres et les espaces de travail ;
• Steal my focus : donne le focus automatiquement à la nouvelle fenêtre ouverte en supprimant les notifications inutiles ;
• Window overlay icons : Cette extension ajoute une icône aux aperçus des applications dans la vue activités (bon j’avoue, elle est useless) ;
• Windows Navigator : une extension pour les mordus des raccourcis clavier (dont je fais partie), elle permet de sélectionner une fenêtre parmi ceux qui sont ouvertes, depuis la vue “activités”, en appuyant sur la touche ALT plus le nombre attribué à la fenêtre ;
• CPU Temperature indicator : utile pour garder un œil sur la température du CPU ;
• Removable Drive Menu : ajoute dans le panneau un menu qui s’affiche quand un média amovible est connecté ;
• Alternative shutdown menu : cette extension corrige un  des plus célèbres “fails” de Gnome 3 ;
• No click navigation : une autre extension que nous vienne du projet Deepin, celle-ci permet de se déplacer entre les onglets “fenêtres, application”, juste en les survolant sans avoir à cliquer dessus ;
• Media player indicator : permet de contrôler une application MPRIS2 directement depuis un menu, qui s’ajoutera dans le panneau principal si cette application est lancée ;
• Extension user theme : bon, celle-là pas besoin de vous la présenter, je crois que tous le monde la connaisse.

Si je voulais troller Gnome, je dirais qu’il en faut des extensions pour en faire un D.E utilisable.. :p

P.S : Si vous êtes intéressés par ces extensions et pour vous épargnez d’aller les chercher une à une, j‘ai fait cette archive que vous pouvez télécharger.

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