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La réforme scolaire

samedi 22 septembre 2012 à 07:56
Dans le milieu agricole, quand une vache est trop vieille et qu'elle ne sert à plus rien, on la "réforme", c'est à dire que l'emmène à l’abattoir. N'est-ce pas ce qu'on est en train de faire avec le système scolaire ?
Des classes surpeuplées, un système défaillant, le manque d'une vision d'avenir et un bourrage de crâne. Comment voulez vous apprendre dans ces conditions là ? Comment voulez vous être motivé pour réussir où justement ceux qui réussisent sont ceux qui rentrent dans le moule et non les autres ? Cautionnez vous un système élitiste ? Un système mettant de coté une partie de la population ? Dans un pays soi-disant démocratique ?

Comment résoudre le problème ? Mr le ministre de l'éducation, professeurs, CPE, proviseurs, bref tout ceux du système scolaire, donnez aux élèves le goût d'apprendre, apprenez à apprendre, faites découvrir de nouvelles choses et que les élèves vous en apprennent aussi. Dites-leur à quoi servent ce que nous apprenons. Adaptez vos cours à tout le monde (par exemple, les dyslexiques arrive à mieux lire si les lettres sont plus espacés. C'est pas si difficile que ça d'adapter vos cours, non ?) Apprenez à vos élèves à décrypter le monde qui les entourent. A les rendre créatifs, imaginatifs, (et pas facultatifs). Formez-les donc à devenir les femmes et les hommes de demain ! De l'audace, toujours de l'audace (comme dirai Danton) ! Le problème est que ces professeurs qui tentent de changer un peu les mentalités, ces révolutionnaires de l'éducation sont marginalisés! On respecte des codes, des barèmes, des programmes scolaires et toutes ces règles peuvent avoir l'avantage d'uniformiser et de garantir l'égalité, mais à quel prix? Quand on nous fait comprendre que, par exemple, le sujet d'invention au bac français n'est qu'un exercice sans profondeur et nullement de créativité ou d'imagination, a-t-on perdu de vue l'écriture ou ne cherche-t-on tout simplement pas à formater les cerveaux, nous obligeant à réfléchir de telle manière et à bannir toute inventivité?
Le système scolaire doit être profondément changé, sinon, ça sera tout simplement la faillite de notre monde dans un monde de barbarie. Quel régression, non ?
Et dire que ce problème n'est pas récent. Balzac n'a-t-il pas écrit, en 1836, L'éducation moderne est fatale aux enfants… Nous les bourrons de mathématiques, nous les tuons à coup de science et les usons avant le temps. ?
Qwerty

La conquête spatiale, un esprit scientifique et de paix

samedi 15 septembre 2012 à 07:53
L'homme est de par nature curieux et rêve de repousser ces limites de connaissances. Il est aussi aventurier.
Depuis le début de la conquête spatiale, il règne une ambiance militaire, conquérante. Depuis le début, avec le match Etats-Unis VS URSS à aujourd'hui, qui est plutôt basé sur des alliances, avec d'un coté l'Occident (Europe et USA qui collaborent) et l'Orient (La Russie vend une partie de ses technologies à la Chine).
Ce qui me gène, dans la conquête spatiale, c'est l'ambiance militaire, et justement cet esprit de conquête. D'après que j'ai pu lire sur la biographie de Neil Amstrong, c'est qu'il a été choisi lui pour être le premier à poser son pas, car justement, il était issu du monde civile, et symboliquement, ce fut plus une avancé scientifique que militaire. (On peut aussi critiquer le drapeau américain, mais à l'époque, ce fut logique, puis-ce que c'est eux qui finançaient. Même si le drapeau onusien était suggéré).
Je suis pour une coopération internationale des pays dans l'exploration spatiale (noter le changement de terme). Cela nous donnerait une vision commune, un but commun, qui dans un sens, favoriserai la paix terrestre. Une autre raison, beaucoup plus pratique, serai d'éviter de réinventer, reconstruire de nouvelles technologies onéreuses pour chaque camps, mais au contraire favoriser. Et comme dit dans de précédents articles, la diversité est une force, notamment sur le point de l’innovation.
Dans la conquête spatiale, un truc qui me met en rogne, et notamment du coté des américains, est une philosophie hérité de notre culture de consommation de masse : "On puise toutes les ressources de la Terre, et quand on en a fini, on se casse ailleurs". Ca me rappelle une nouvelle de Philip K. Dick, "Survey team". Les hommes, ayant exploité toutes les ressources de la Terre, vont sur Mars. Malheureusement, il ne reste que des ruines asséchées. Mais ils arrivent à trouver une trace d'une ancienne civilisation. Cette civilisation avait quitté la planete après avoir asséché toutes les ressources de celle-ci. Ils semblaient être partis sur une planète luxuriante et remplie de ressources. (spoiler) Cette planète n'était que d'autre que la Terre et les terriens les descendants des martiens.
Tout ça pour dire que l'homme devrait abandonner son esprit conquérant et militaire, et enfiler sa blouse de scientifique et de curieux. Pourquoi exporter de ce qui a de plus mal sur Terre (jalousie, haine, guerre), alors qu'on peut apporter bien mieux (son savoir-faire, sa coopération, son adaptation...) ?
Qwerty

La conquête spatiale, un esprit scientifique et de paix

samedi 15 septembre 2012 à 07:53
L'homme est de par nature curieux et rêve de repousser ces limites de connaissances. Il est aussi aventurier.
Depuis le début de la conquête spatiale, il règne une ambiance militaire, conquérante. Depuis le début, avec le match Etats-Unis VS URSS à aujourd'hui, qui est plutôt basé sur des alliances, avec d'un coté l'Occident (Europe et USA qui collaborent) et l'Orient (La Russie vend une partie de ses technologies à la Chine).
Ce qui me gène, dans la conquête spatiale, c'est l'ambiance militaire, et justement cet esprit de conquête. D'après que j'ai pu lire sur la biographie de Neil Amstrong, c'est qu'il a été choisi lui pour être le premier à poser son pas, car justement, il était issu du monde civile, et symboliquement, ce fut plus une avancé scientifique que militaire. (On peut aussi critiquer le drapeau américain, mais à l'époque, ce fut logique, puis-ce que c'est eux qui finançaient. Même si le drapeau onusien était suggéré).
Je suis pour une coopération internationale des pays dans l'exploration spatiale (noter le changement de terme). Cela nous donnerait une vision commune, un but commun, qui dans un sens, favoriserai la paix terrestre. Une autre raison, beaucoup plus pratique, serai d'éviter de réinventer, reconstruire de nouvelles technologies onéreuses pour chaque camps, mais au contraire favoriser. Et comme dit dans de précédents articles, la diversité est une force, notamment sur le point de l’innovation.
Dans la conquête spatiale, un truc qui me met en rogne, et notamment du coté des américains, est une philosophie hérité de notre culture de consommation de masse : "On puise toutes les ressources de la Terre, et quand on en a fini, on se casse ailleurs". Ca me rappelle une nouvelle de Philip K. Dick, "Survey team". Les hommes, ayant exploité toutes les ressources de la Terre, vont sur Mars. Malheureusement, il ne reste que des ruines asséchées. Mais ils arrivent à trouver une trace d'une ancienne civilisation. Cette civilisation avait quitté la planete après avoir asséché toutes les ressources de celle-ci. Ils semblaient être partis sur une planète luxuriante et remplie de ressources. (spoiler) Cette planète n'était que d'autre que la Terre et les terriens les descendants des martiens.
Tout ça pour dire que l'homme devrait abandonner son esprit conquérant et militaire, et enfiler sa blouse de scientifique et de curieux. Pourquoi exporter de ce qui a de plus mal sur Terre (jalousie, haine, guerre), alors qu'on peut apporter bien mieux (son savoir-faire, sa coopération, son adaptation…) ?
Qwerty

Interview de Cyrille Borne

vendredi 7 septembre 2012 à 08:53
Pour cette rentrée, nous avons interviewé Cyrille Borne, blogueur, linuxien, trolleur et professeur de lycée professionnel agricole.

On va imaginer que nos lecteurs ne te connaissent pas, ce qui est fort peu probable. Peux-tu faire une courte présentation de toi ?
Cyrille BORNE, 37 ans, marié deux enfants, en surpoids et presque chauve, né à Nîmes.

Quelles études as-tu faites/fais-tu/feras tu ? Quel est, si tu travailles, ton métier ?
J'ai passé la dernière version du BAC C avant la réforme de 93 où il deviendra le BAC S, ensuite un DEUG A en mathématiques, sciences physiques, et chimie, une licence en sciences physiques, une maîtrise en sciences en physiques. Deux ans de préparation au concours à l'IUFM par la suite. Après avoir échoué au CAPLP2 (concours de recrutement pour les enseignants dans le domaine professionnel), j'ai embrassé la profession de développeur COBOL pendant trois ans dans le domaine du bancaire sur Paris. C'était en l'an 2000 entre le bug et le passage à l'euro on recrutait toute personne qui avait un diplôme et qui était prête à entrer dans l'informatique. Mon épouse voulant quitter la région parisienne, j'ai eu l'opportunité d'entrer en tant qu'enseignant dans le ministère de l'agriculture, au lycée Agricole Saint Joseph de Maurs dans le Cantal où j'ai pu enseigner en vrac, l'informatique, les sciences physiques, les mathématiques de la 4ème au BAC PRO. Depuis la rentrée de l'année dernière je suis professeur de mathématiques et d'informatique au Lycée Agricole Professionnel le Cep d'Or de Clermont l'Hérault ce qui correspond à un exil de 12 ans d'exil.

Pourquoi as tu choisi cette voie ? Si c'était à refaire, que ferais-tu ?
Je n'ai pas vraiment choisi ma voie, j'ai souvent saisi des opportunités. Comme beaucoup je ne savais pas trop quoi faire de ma vie, j'ai donc fait du scientifique poussé par mes parents qui n'avaient pas fait d'étude et qui rêvaient pour moi d'être ingénieur. A l'époque, c'est encore vrai aujourd'hui, les sciences c'était la voie royale. Ce qu'on ne m'avait pas dit à l'époque c'est que c'est la voie royale c'est pour les meilleurs, pas pour les gens moyens ou médiocre. J'ai donc réussi à me hisser à BAC +4 sans trop d'efforts mais les choses se sont corsées au moment du passage des concours, j'ai réalisé qu'en fait je n'étais pas fait pour ça, pas assez bon, pas assez incisif. Mon véritable épanouissement c'est quand j'ai commencé à travailler, certainement du fait que je suis quelqu'un de pratique, plus que théorique. A la question si c'était à refaire, je ne changerai rien. C'est un peu bateau comme réponse, mais c'est une réponse cartésienne, je ne serais pas l'homme que je suis aujourd'hui sans mes nombreux échecs, sans mon parcours de vie atypique. Si c'était à refaire réellement d'un point de vue théorique, à la sortie du BAC C j'aurai fait des études d'informatique IUT certainement, une école derrière ou le marché de l'emploi, j'ai réalisé qu'en tant que développeur je n'étais pas si mauvais à ça, mais comme précisé plus haut, les choses seraient totalement différentes, je n'aurais pas rencontré mon épouse sur les bancs de l'université, je n'aurais pas eu mes enfants, et tout cela n'est pas acceptable. On réalise avec l'âge que les études ne sont pas une fin en soi, juste un moyen d'obtenir un métier, ce qui est certain c'est que d'avoir un diplôme à BAC +4 m'a ouvert quelques portes, mes compétences en informatique m'ont permis d'en passer d'autres, elles ne font pourtant partie d'aucun de mes cursus universitaires. En tant qu'enseignant je sais aujourd'hui qu'il veut mieux un bon plombier qu'un BAC +5 qui ne trouve pas d'emploi, en tant que parent je n'aurai pour seule ambition que d'accompagner mes enfants vers un métier pour lequel ils sont fait pas pour combler mes aspirations ratées.

Qu'est-ce qui t'a donné envie de bloguer ? Depuis combien de temps tu blogues ? Quelle est l’histoire de ton site ? Quelle importance a-t-il pris ?
L'envie de bloguer est arrivée avec l'internet domestique. En 2000 j'étais très investi dans les forum de vidéo numérique, l'envie est arrivée par la suite d'écrire plus, de la documentation pour commencer, puis mon quotidien. Après avoir écrit sous quelques pseudos en 2008 j'ai décidé de bloguer sous mon patronyme afin d'arrêter de dire n'importe quoi, de m'obliger à écrire sérieusement. Le fait d'avoir quitté l'anonymat m'a forcé à m'engager, à me professionnaliser, à peser mes mots. Cet exercice d'écriture est sain pour l'esprit et j'ai tendance à penser qu'il me maintient intellectuellement en forme. En terme d'importance, c'est un loisir, comme certains vont tuer des canards le dimanche ou vont à la pêche, moi je partage mes expériences informatiques.

Comment as-tu connu l'etudiant-libre.fr.nf ? Quelle est ta rubrique préférée ? Utilises-tu la version mobile ?
Je viens de connaître l'étudiant libre avec ce mail, je ne peux donc pas encore me prononcer sur ce site que je vais prendre le temps de lire.

Une petite citation pour finir ?
Vers l'infini et au-delà. Une citation de Buzz l'éclair, Linuxien et mauvais mathématicien.

Interview réalisée par qwerty.

Interview de Cyrille Borne

vendredi 7 septembre 2012 à 08:53
Pour cette rentrée, nous avons interviewé Cyrille Borne, blogueur, linuxien, trolleur et professeur de lycée professionnel agricole.

On va imaginer que nos lecteurs ne te connaissent pas, ce qui est fort peu probable. Peux-tu faire une courte présentation de toi ?
Cyrille BORNE, 37 ans, marié deux enfants, en surpoids et presque chauve, né à Nîmes.

Quelles études as-tu faites/fais-tu/feras tu ? Quel est, si tu travailles, ton métier ?
J'ai passé la dernière version du BAC C avant la réforme de 93 où il deviendra le BAC S, ensuite un DEUG A en mathématiques, sciences physiques, et chimie, une licence en sciences physiques, une maîtrise en sciences en physiques. Deux ans de préparation au concours à l'IUFM par la suite. Après avoir échoué au CAPLP2 (concours de recrutement pour les enseignants dans le domaine professionnel), j'ai embrassé la profession de développeur COBOL pendant trois ans dans le domaine du bancaire sur Paris. C'était en l'an 2000 entre le bug et le passage à l'euro on recrutait toute personne qui avait un diplôme et qui était prête à entrer dans l'informatique. Mon épouse voulant quitter la région parisienne, j'ai eu l'opportunité d'entrer en tant qu'enseignant dans le ministère de l'agriculture, au lycée Agricole Saint Joseph de Maurs dans le Cantal où j'ai pu enseigner en vrac, l'informatique, les sciences physiques, les mathématiques de la 4ème au BAC PRO. Depuis la rentrée de l'année dernière je suis professeur de mathématiques et d'informatique au Lycée Agricole Professionnel le Cep d'Or de Clermont l'Hérault ce qui correspond à un exil de 12 ans d'exil.

Pourquoi as tu choisi cette voie ? Si c'était à refaire, que ferais-tu ?
Je n'ai pas vraiment choisi ma voie, j'ai souvent saisi des opportunités. Comme beaucoup je ne savais pas trop quoi faire de ma vie, j'ai donc fait du scientifique poussé par mes parents qui n'avaient pas fait d'étude et qui rêvaient pour moi d'être ingénieur. A l'époque, c'est encore vrai aujourd'hui, les sciences c'était la voie royale. Ce qu'on ne m'avait pas dit à l'époque c'est que c'est la voie royale c'est pour les meilleurs, pas pour les gens moyens ou médiocre. J'ai donc réussi à me hisser à BAC +4 sans trop d'efforts mais les choses se sont corsées au moment du passage des concours, j'ai réalisé qu'en fait je n'étais pas fait pour ça, pas assez bon, pas assez incisif. Mon véritable épanouissement c'est quand j'ai commencé à travailler, certainement du fait que je suis quelqu'un de pratique, plus que théorique. A la question si c'était à refaire, je ne changerai rien. C'est un peu bateau comme réponse, mais c'est une réponse cartésienne, je ne serais pas l'homme que je suis aujourd'hui sans mes nombreux échecs, sans mon parcours de vie atypique. Si c'était à refaire réellement d'un point de vue théorique, à la sortie du BAC C j'aurai fait des études d'informatique IUT certainement, une école derrière ou le marché de l'emploi, j'ai réalisé qu'en tant que développeur je n'étais pas si mauvais à ça, mais comme précisé plus haut, les choses seraient totalement différentes, je n'aurais pas rencontré mon épouse sur les bancs de l'université, je n'aurais pas eu mes enfants, et tout cela n'est pas acceptable. On réalise avec l'âge que les études ne sont pas une fin en soi, juste un moyen d'obtenir un métier, ce qui est certain c'est que d'avoir un diplôme à BAC +4 m'a ouvert quelques portes, mes compétences en informatique m'ont permis d'en passer d'autres, elles ne font pourtant partie d'aucun de mes cursus universitaires. En tant qu'enseignant je sais aujourd'hui qu'il veut mieux un bon plombier qu'un BAC +5 qui ne trouve pas d'emploi, en tant que parent je n'aurai pour seule ambition que d'accompagner mes enfants vers un métier pour lequel ils sont fait pas pour combler mes aspirations ratées.

Qu'est-ce qui t'a donné envie de bloguer ? Depuis combien de temps tu blogues ? Quelle est l’histoire de ton site ? Quelle importance a-t-il pris ?
L'envie de bloguer est arrivée avec l'internet domestique. En 2000 j'étais très investi dans les forum de vidéo numérique, l'envie est arrivée par la suite d'écrire plus, de la documentation pour commencer, puis mon quotidien. Après avoir écrit sous quelques pseudos en 2008 j'ai décidé de bloguer sous mon patronyme afin d'arrêter de dire n'importe quoi, de m'obliger à écrire sérieusement. Le fait d'avoir quitté l'anonymat m'a forcé à m'engager, à me professionnaliser, à peser mes mots. Cet exercice d'écriture est sain pour l'esprit et j'ai tendance à penser qu'il me maintient intellectuellement en forme. En terme d'importance, c'est un loisir, comme certains vont tuer des canards le dimanche ou vont à la pêche, moi je partage mes expériences informatiques.

Comment as-tu connu l'etudiant-libre.fr.nf ? Quelle est ta rubrique préférée ? Utilises-tu la version mobile ?
Je viens de connaître l'étudiant libre avec ce mail, je ne peux donc pas encore me prononcer sur ce site que je vais prendre le temps de lire.

Une petite citation pour finir ?
Vers l'infini et au-delà. Une citation de Buzz l'éclair, Linuxien et mauvais mathématicien.

Interview réalisée par qwerty.