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L'homme nouveau

samedi 12 avril 2014 à 07:40
L’homme nouveau et la crainte de voir disparaître l’homme ancien est une peur ancienne. Elle se manifestait déjà à l’époque helléniste et se manifeste encore de nos jours. Ainsi, il est légitime de se questionner sur la nécessité ou non de créer un homme nouveau et à quel prix. Ainsi, il faut mettre dans la balance les dérives éventuelles et les nouvelles possibilités qui s’ouvrent à nous !
Avant de savoir ce qu’est-ce, ou non, un homme nouveau, il faut définir qu’est-ce qu’un homme. D’un point de vue biologique, c’est unhomo sapiens sapiens(un homme doublement sage), un primate bipède avec un pouce opposable. D’un point de vue théologique, l’homme est la représentation, imparfaite certes, de Dieu. D’un point de vue philosophique, l’homme est tantôt un animal supérieur, tantôt un animal comme les autres mais avec une conscience de soi. Finalement, d’un point de vue scientifique, l’homme n’est qu’un tas de poussière issus du hasard, comme la totalité des composants de l’univers.

La peur d’un homme nouveau se justifient à de nombreux arguments.
Ainsi, la peur d’un eugénisme, digne des heures les plus sombres de notre Histoire et la volonté d’Hitler d’avoir une « race pure », est pleinement justifiée par le fait qu’il devra, dans ce cas, définir ce qui est pur ou non. La pureté ethnique est subjective, chacun s’estimant le plus parfait.
Cet eugénisme peut prendre une autre forme. À l’instar du livreLe meilleur des mondesd’Huxley, les individus sont choisis génétiquement selon des critères précis. Ces caractéristiques, selon la « pureté » de l’individu (définit notamment sur la beauté ou les capacités sociales. Note à part, les individus sont « altérés », par exemple avec de l’alcool, pour les faire devenir moins intelligent et rendre manifeste et accentuant les différences), détermine son statut social. Cet eugénisme peut dériver à un humain conforme, type, reproduit en série. Se pose alors la question suivante : qu’est-ce qui fait un homme bon (dans le sens qualitatif, génétique, tel un produit qu’on détruirait car ne correspondant pas à des caractéristiques requises pour sa mise en vente) ? Pourtant, les normes peuvent parfois (ou tout le temps) se tromper. Un professeur d’Einstein aurait dit que rien de bon ne sortirait de lui. Pourtant, il fut celui qui révolutionna l’astrophysique. Ainsi, le critère de choix est caduque et irraisonné, l’homme n’étant qu’un homme (et par définition imparfait), il ne peut définir la perfection qu’il se donne comme objectif.
Il y a aussi une crainte d’une marchandisation de l’homme. Par des choix génétiques, ou par manipulation, on pourrait créer des surhommes, plus intelligent, plus forts, plus sportifs, plus compétents. Mais ces manipulations seront bien sûr onéreuses, permettant ainsi à une aristocratie aisée d’être « supérieur » au commun des mortels. Il y aurait donc une perte du principe que les hommes naissent libres et égaux (principe répétés dans tous les droits de l’homme rédigés, preuve de son importance capitale), auquel les nantis seront plus égaux que les autres. Ainsi, il y aurait une humanité à deux vitesses : les riches, surhommes, et les pauvres, simples humains.
Une autre crainte, autre que celui du facteur génétique, est les transhumains, les humains cyborgs et autres humains mi-homme, mi-machines. Peut-on améliorer la condition humaine en s’augmentant avec des machines ? Il est impossible de modifier les paramètres, à l’aide d’outils perfectionnés, comme le rythme cardiaque ou les impulsions électriques dans le cerveau, issus de millions d’années d’évolution et de perfectionnement, sans risquer la mort. Jouer les apprentis sorciers et bidouillant une mécanique huilée risque tout simplement la fin de son fonctionnement. Certaines personnes ayant tenté de modifier le rythme d’impulsions électriques dans le cerveau parle même qu’ils ont eu les mêmes effets que certaines drogues dures !
Une autre problématique est la peur de la nouveauté. Adam Douglas disait que tout ce qui était crée pendant notre enfance était normal. Ce qui était crée pendant notre adolescence comme quelque chose de fantastique et ce qui est crée après la ménopause (ou l’andropause pour les hommes) comme quelque chose de contre nature ou de trop compliqué. Ainsi, il parait normal, pour des jeunes, d’imaginer un homme nouveau, à une période où l’envie de changer le monde est le plus important. Il est aussi normal, pour des personnes plus âgées, pour qui la mécanisation du corps ou la manipulation génétique relève de la magie noire, soient réticent à cela.

Acontrario il existe de nombreuses raisons d’espérer un homme nouveau.
Tout d’abord, rien n’est plus naturelle que la nouveauté, qui est induite par le hasard et l’évolution. L’évolution, par tout un jeu de sélection, permet de choisir les individus les plus adaptés à un milieu donné et donc à y survivre. S’opposer à cette évolution, c’est tout simplement s’opposer à la survie de l’homme !
Ainsi, l’homme nouveau doit répondre à de nouveaux besoins, issus par l’anthropisation de son milieu. Il doit alors survivre à une forte radioactivité, à une pollution importante, à une eau moins pure, à moins de viande (élément nutritif gourmande en ressources), à une concentration de congénère plus importante (afflux accrues d’informations qu’il n’avait alors pas à traiter, comme plus de personnes à connaître et à reconnaître, et un sens plus poussé du vivre ensemble) et finalement à un environnement essentiellement urbain (la majorité de la population vivent maintenant dans des villes, le XXe siècle étant celui du basculement d’un mode de vie rural à un mode de vie urbain).
Le cerveau de l’homme s’est aussi hautement modifié à l’ère d’Internet, modifiant les connexions dans l’encéphale et le développement des aires cognitives. Ainsi, l’homme moderne n’apprend moins, car l’information est partout, mais analyse plus cette pléthore informationnelle. Il ne faut pas avoir peur de cette révolution. Platon disait que l’écriture allait rendre les personnes idiotes. L’Église disait que l’imprimerie allait rendre les personnes paresseuses intellectuellement. Et pourtant, c’est à ces moments-là qu’il y a eu un foisonnement intellectuel !
Mais l’homme est aussi un animal spirituel, dans le sens de l’esprit, et n’est pas seulement un singe savant. Il a une conscience morale. L’homme nouveau devra donc développer cette spiritualité, qui se traduit par plus d’unité parmi le genre humain, plus de coopération, plus d’amour et de justice pour pouvoir, sous cette seule conditionsine qua noneparvenir à la paix mondiale tant espéré. On pourrait résumer cette nature-là par la « science sans conscience n’est que ruine de l’âme » de Rabelais.

Ainsi, l’homme nouveau, pour assumer ses responsabilités face à un nouveau monde, développer trois natures : physique, avec l’amélioration génétique et mécanique ; intellectuel, avec une meilleure interconnexion et analyse de ses informations ; et spirituel, jouant en quelque sorte le rôle de la morale, de la conscience, du chef d’orchestre permettant d’arriver à termes à son dessein et de contrer les dérives. De l’autre côté, on retrouve des craintes légitimes, notamment avec une naissance d’une aristocratie supérieure, et d’une humanité à deux vitesses, avec la perte potentielle d’électrons libres, marginaux mais faisant avancer l’humanité à leur manière. Il faut donc peser le pour et le contre, les peurs contre les bénéfices que l’on peut en tirer.
Ainsi, on pourrait conclure, face aux défis inédits que se profiles dans les années futures, tant inquiétants qu’excitants, en paraphrasant Malraux et dire que le XXIe sera celui de l’homme nouveau ou ne le sera pas !

Mon avis sur la démocratie et le tirage au sort

samedi 5 avril 2014 à 21:53
un gros brouillon qui mérite d’être affiné avec un bon petit débat !
Kevin à écrit un article très intéressant concernant le tirage au sort. En substance il dit que le tirage au sort est une fausse bonne idée car met en place des incertitudes et des hasards. Je ne sais pas si vous connaissez Loterie Solaire de Philip K. Dick, mais en gros, le Président est choisi par tirage au sort. Il a été développé des lois probabilistes pour connaitre le prochain président et il y a un trafic de « carte d’éligibilité » afin d’accroitre les chances de gagner. Ce livre me semblait bien à propos avec le thème du tirage au sort.
Tout d’abord, il faut séparer législatif et exécutif. Autant n’importe qui peut faire les lois, mais pour les appliquer, il faut des personnes compétentes (n’importe qui ne peut pas être ministre du Budget, vue comme certains ont du mal à gérer leur propre budget, alors ceux des autres, ça sera pire et avec les sommes en jeu, ça sera la dépense irraisonnée et non optimisé. Je ne dis pas que notre ministre est compétant ou non, hein).
Alors, pourquoi pas faire une réelle démocratie et utiliser internet pour faire une agora géante ?
Je m’explique.
Le but du tirage au sort décrit par de nombreuses personnes consiste tout simplement à faire une assemblée, représentative de la population, pour faire et voter des lois. Bref, remplacer le Sénat et l’Assemblée Nationale.
À l’origine, le Sénat servait à être le représentant du peuple, à une époque où les télécommunications sur longue distances étaient laborieuses. On élisait donc des délégués nous représentant.
Avec Internet, une révolution est née : la communication est quasi-instantané partout sur le globe.
Alors, je pense que cette idée de tirage au sort est mauvaise, car elle recrée un schéma de délégué. Une vrai démocratie devrait se passer de ses intermédiaires (car pouvoir du peuple et non pouvoir par procuration).
Une idée serait, idée certes inspirés des votations suisses, qu’il existe une plate-forme numérique permettant de proposer des lois, d’en débattre et de voter. Ainsi, on aurait une vraie démocratie, sans intermédiaire. Bien sûr, reste la problématique du vote électronique, mais si la plate-forme est ouverte/vote toutes les semaines par papier les lois (genre une fiche à cocher), comme en Suisse ?
Après, bien sûr, tout le monde n’est pas performant sur tout les sujets. Les députés se font influencer par des groupes de lobbyings (positifs ou négatifs, LQDN est une forme de lobbying hein !). La démocratie populaire telle décrit ici enlève ce problème, car il existe toujours un groupe de citoyens sensibilisés. Et évite des problèmes de vote de lois voté n’importe comment, car on n’y comprend rien et on s’en fout !
Pour les débats plus gros, importants, touchant tout le monde, pourquoi pas faire comme les comités de bioethiques ? On forme les citoyens à ces questions. Un groupe de scientifiques, juristes, philosophes viennent discuter de ses problèmes, apportant des points de vue différents, les citoyens discutent entre-eux et ça permet d’enlever les opinions brute de décoffrage qui sont peu fines, grossières, préconçues et loin de la réalité (on est tous comme ça sur au moins UN sujet !)
Ah, quel beau rêve ! Des débats construits (et toc, prend ça dans tes dents la démagogie) dans tout le pays ! On y gagnerait tous : des opinions plus poussées et une réelle démocratie. Voilà comment doit être le législatif.
Après, pour l’exécutif, je suis désolé (et vous pouvez pas savoir à quel point), mais il faudra malheureusement un homme (ou femme) fort, charismatique, sachant taper du poing sur la table pour imposer les lois votées par le peuple. C’est le seul moyen de lutter contre les contestations.
Pour finir, je dirai que Jean-Jacques Rousseau définissait la vraie liberté par la soumission aux lois votés et choisie par l’ensemble des citoyens. Le tirage au sort ne prend pas en compte l’ensemble des citoyens mais seulement une partie. Actuellement, on élit une aristocratie. Avec le tirage au sort, on forme quand même une aristocratie, certes provisoire, mais le pouvoir est entre les mains de quelques-uns. Avec l’Agora géante (prenez exemple sur la place publique athénienne où tout le monde écoutait des conférences, débattaient et votaient !), cela me semble une bonne voie pour la démocratie.
Ah oui : le modèle centralisé est caduque. Il faut décentraliser et donner plus de pouvoirs aux régions !

Victoire de la neutralité

jeudi 3 avril 2014 à 17:10
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source : wikimedia

Soulagement ! Tel est le sentiment des internautes européens.
En effet, le rapport Pilar Del Castillo, dans une version amendée, a été voté. Ce texte apporte notamment une définition claire sur la neutralité du réseau.


« neutralité du réseau », le principe selon lequel l'ensemble du trafic internet est traité de façon égale, sans discrimination, limitation ni interférence, indépendamment de l'expéditeur, du destinataire, du type, du contenu, de l'appareil, du service ou de l'application;

Il n’y aura pas de discrimination ni sur le contenu, ni sur les internautes ni le terminal (ordinateur, ordiphone…). Les FAI seront de simples tuyaux et ne pourront pas regarder et influencer sur le contenu, devant avoir un devoir de neutralité.
Cela signifie que la censure ne pourra pas se faire, pour des raisons commerciales (favoriser un service) ou politique (censure).
Ainsi, les internautes sont « en droit d'accéder aux informations et aux contenus et de les diffuser, d'exécuter et de fournir les applications et les services et d'utiliser les terminaux de leur choix, quel que soit le lieu où se trouve l'utilisateur final ou le fournisseur, ou quels que soient le lieu, l'origine ou la destination du service, de l'information ou du contenu, par l'intermédiaire de leur service d'accès à l'internet ».
Ce texte signifie aussi la fin du roaming (prix supplémentaire dans les forfaits data à l'étranger). Mais pas d’euphorie, il faut que le texte passe devant le Conseil de l’Europe, constitué des ministres de différents pays. En cas de refus, ce qui est possible, cela montrait un décalage fort, une opposition, entre le peuple et les individus sensés les représenter. Cela pourrait même être interpréter comme une rupture du contrat social (selon Rousseau, on élit quelqu’un à la seule condition qu’ils expriment notre volonté).
Selon la députée européenne Françoise Castex, le risque pourrait-être réel :
« C’est un signal fort envoyé au Conseil Européen mais également à nos partenaires américains qui tardent à légiférer sur le sujet […] Avec la pression des opérateurs historiques et des acteurs historiques du contenu, le risque que ce texte soit repoussé par les 28 est réel […] Gageons qu’ils prennent leurs responsabilités et apportent leur soutien à ce texte qui protège les droits fondamentaux de nos concitoyens et soutient nos PME innovantes contre les appétits gargantuesques des grandes multinationales américaines »
Ainsi, cela montrerai la volonté du gouvernement. Promouvoir les PME, qui sont des facteurs importants de la croissance tant désiré ou de garder des monopoles, allant à l’encontre, en les favorisant, au libéralisme, cher aux gouvernements ? Ainsi, en refusant le texte, seraient-ils en total opposition avec ce qu’ils disent ?
Gageons que cette neutralité du net empêchera les dérives d’un CSA archaïque, qui rappelons-le, est responsable de la « régulation » (ou plutôt de la protection de la propriété intellectuel) d‘Internet.
Pour conclure, selon la Quadrature du Net, lobby citoyen pro-neutralité, « Nous devons maintenant rester vigilants quant à la suite de la procédure, car le texte va désormais devant le Conseil de l'Union européenne, où de nombreux gouvernements nationaux vont chercher à démanteler les dispositions relatives à la neutralité du Net afin de satisfaire leurs oligopoles télécoms. Même si nous avons gagné aujourd'hui, le combat pour un Internet libre continue ! […] la docilité des gouvernements face aux lobbies des télécoms est telle qu'une participation citoyenne soutenue sera capitale pour éviter que les avancées obtenues aujourd'hui ne soient défaites »
Une victoire certes, mais la guerre n’est pas gagnée ! Espérons que les gouvernements et les élections prochaines du parlement y seront-aussi favorable !
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Le Parti des Bloggeurs

mardi 1 avril 2014 à 07:41
De nos jours, de plus en plus de partis, représentant différents intérêts. Les bloggeurs ne veulent pas être en reste. Voici notre manifeste, lançant officiellement le parti des bloggeurs ! À nous le Parlement Européen !
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L’Internet a perdu une bataille !
Mais l’Internet n’a pas perdu la guerre !

Des gouvernants de rencontre ont pu capituler, cédant à la panique de la peur déraisonnée des pédonazis et des méchants hackers, oubliant l’honneur, livrant le pays à la servitude des grandes firmes de logiciels propriétaires, des marchands de cyber-armes et des lobbys culturelles. Cependant, rien n’est perdu !

Rien n’est perdu, parce que cette guerre est une guerre mondiale, contre les citoyens. Dans l’univers libre, des forces immenses n’ont pas encore donné. Un jour ces forces écraseront l’ennemi. Il faut que l’Internet, ce jour-la, soit présente à la victoire. Alors, elle retrouvera sa liberté et sa grandeur. Tel est mon but, mon seul but !

Voila pourquoi je convie tous les internautes, où qu’ils se trouvent, à s’unir à moi dans l’action, dans le sacrifice et dans l’espérance.
Notre patrie est en péril de mort.
Luttons tous pour la sauver !
Les chefs qui, depuis de nombreuses années, sont à la tête des entreprises, ont formé un gouvernement. Ce gouvernement, alléguant la défaite de notre économie, s’est mis en rapport avec l’ennemi pour cesser le combat.

Certes, nous avons été, nous sommes, submergés par la force financière et politique, de l’ennemi.

Infiniment plus que leur nombre, ce sont les lois, le lobbyng et la désinformation qui nous font reculer. Ce ce sont les lois, le lobbyng et la désinformation qui ont surpris nos chefs au point de les amener là où ils en sont aujourd’hui.

Mais le dernier mot est-il dit ? L’espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle définitive ? Non !

Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis que rien n’est perdu pour l’Internet. Les mêmes moyens qui nous ont vaincus peuvent faire venir un jour la victoire.

Car l’Internet n’est pas seul ! Il n’est pas seul ! Il n’est pas seul ! Il a un vaste Empire derrière lui. Il peut faire bloc avec une armée d'internautes qui tiennent le savoir de la liberté et continue la lutte. Il peut, comme les internautes, utiliser sans limites l’immense coopération héritée de la culture libre et des hackers.

Cette guerre n’est pas limitée au territoire malheureux de notre pays. Cette guerre est une guerre mondiale. Toutes les fautes, tous les retards, toutes les souffrances, n’empêchent pas qu’il y a, dans l’univers, tous les moyens nécessaires pour écraser un jour nos ennemis. Foudroyés aujourd’hui par la force politique, nous pourrons vaincre dans l’avenir par une force politique supérieure. Le destin du monde est là.

Quoi qu’il arrive, la flamme de la résistance d’Internet ne doit pas s’éteindre et ne s’éteindra pas.

VIVE L’INTERNET !

Le crime de guerre

dimanche 30 mars 2014 à 12:27
Article invité écrit par Alphonse
Cet article ne remet pas en cause la monstruosité d’Hitler, mais montre néanmoins une relativisation vis-à-vis d’autres tyrans tout autant sanguinaires et dont on en parle peu (ou moins). La place prédominante de ce fou dans les médias ne saurait excuser d’autres crimes, que l’on oublie trop souvent. Cet article espère rendre justice ! À noter que le génocide fait par les Allemands durant la Seconde Guerre mondiale a permit de créer le concept de « Crime contre l’Humanité ». En voici quelques autres.
Souvent à la télé (documentaires) ou en cours d’histoire ou dans les livres quand on parle de Hitler on le décrit comme un monstre machiavélique, un homme sans cœur qui n’a ni foi ni loi.
On le traite de tout les noms et la question qui me vient à l’esprit n’est pas s’il mérite tous ces surnoms (et il les mérite) mais s’il est différent ?
Qui est donc Hitler ?
Hitler c’est un dirigeant politique qui est devenu chancelier par élection du 30 janvier 1933 au 30 avril 1945 coupable de plusieurs crimes de guerre, mais en quoi il est différent des autres dirigeants (surtout de cette époque 1933 au 1945) ?
Voici une liste[1] non exhaustive des massacres et des génocides commis à cette époque :

Ce qui me frappe le plus dans cette liste ce n’est pas le nombre de massacres, mais ces pays qui passe de victimes a coupable comme Israël qui massacre des Palestiniens ou les Arméniens ou encore le pays des droits de l’homme (France) qui, pendant l’Occupation, faisait la même chose au même moment en Afrique. Rassurez-vous, la Grande-Bretagne faisait de même !
Hitler était terrible, mais il n’était pas le seul.
L’histoire est écrite pars les vainqueurs et on le remarque très bien si on regarde la liste des Prix Nobel de la paix

Finalement, cette récompense n’a que peu de valeurs.