fish pedicure : la grande mode
Depuis 2005 environ, cette 'mode' s'est donc développée dans de nombreux spas, dans les nombreux pays d'où sont originaire ces petits mangeurs de peau et la Fish pedicure connaît actuellement un véritable succès, sur les lieux de vacances, dans tous les pays du monde et bien sûr y compris dans les instituts de soins des pays développés ...
Maladies de la peau
C"est ainsi que rapidement il fut appelé " poisson-docteur " ou encore " poisson-pédicure " pour ses capacités à nettoyer, le plus souvent les mains et les pieds, de toutes leurs peaux mortes, voire même des trace d’eczéma ou des plaques de psoriasis lorsqu'elle sont ramollies par un bain prolongé.
Malheureusement, comme d'habitude, certains, peu scrupuleux, peuvent employer d'autres espèces, comme le Chin Chin, beaucoup moins chères, mais qui possédant des dents, peuvent provoquer des coupures microscopiques pouvant entraîner des inflammations.
En 1966, le gouvernement Turc avait déjà imposé une restriction à l'exportation du Garra Rufa pour en éviter la surexploitation, mais maintenant, les 'profiteurs' ont trouvé la parade et des 'élevages' existent de partout, même en France ...

règles sanitaires
Certains spas appliquent des règles d'hygiène et de sécurité en utilisant les rayons UV pour éviter la présence de bactéries dans l'eau, vérifient également l'éventuelle présence de plaies sur les pieds ou mains de leurs clients, utilisent des antiseptiques, évitent d'utiliser les mêmes poissons sur plusieurs 'clients' dans la même journée ... mais ce n'est malheureusement pas une généralité, il convient donc de bien surveiller ces différents points avant toutes choses ...
En France, la 'fish pedicure' ne nécessitait aucune autorisation, mais elle aujourd'hui de plus en plus mal vue par les professionnels de santé ( dermatologues,pédicures-podologues ) pour des raisons d'hygiène et le Conseil de l'Ordre a donc été saisi ...
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tu veux jouer : mets-toi au régime ...
Chris Hemsworth a beau avoir gagné une dizaine de kilos pour incarner le dieu Thor aux côtés de Natalie Portman, le bellâtre s'apprête à tout perdre pour son prochain rôle cinématographique selon l'édition américaine du HuffPost.

Une nouvelle fois dirigé par le réalisateur Ron Howard pour le film "Heart of the Sea", l'acteur de 30 ans a révélé se contenter de 600 calories par jour pour interpréter le marin Owen Chase (vidéo ci-dessus). Et pour cause, Chris Hemsworth va s'aventurer dans les eaux dangereuses du XIXème siècle:

   "C'est une histoire vraie basée sur les événements survenus en 1820 et qui ont inspiré Herman Melville pour l'écriture de 'Moby Dick'. C'est l'histoire de l'équipage d'un bateau attaqué par une baleine blanche et perdu en mer pendant 90 jours. Ils commencent donc logiquement à mourir et à se manger entre eux... Une comédie romantique, en somme, a t-il ironisé lors d'une interview accordée à Jimmy Kimmel. "



600 calories, c'est à peine l'équivalent d'un milkshake et le quart des besoins journaliers caloriques d'un homme.....
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Ce qui ressemble, à première vue, à une bonne intention n'a pas plu au gouvernement australien qui considère ces graines comme un cadeau empoisonné.

L'Australie craint effectivement pour sa biodiversité. Comme l'a annoncé un porte-parole du département agricole au site australien news.com.au, "des graines ou du matériel végétal d’origine étrangère pourraient ne pas pousser en Australie ou abriter un agent pathogène susceptible de menacer la biodiversité".

C'est pourquoi, les albums provenant de l'étranger sont considérés comme des menaces potentielles et seront de ce fait systématiquement analysés à leur arrivée en Australie.

Comme l'a déclaré le porte-parole interrogé, "le gouvernement australien a mis en place un contrôle très sérieux de tout ce qui est lié à la biodiversité. Cela concerne une inspection des courriers, des chargements et des bagages".

En revanche, il n'y a pas de problèmes avec les albums produits en Australie puisque ces derniers ne présentent aucun danger pour la biodiversité proposant des graines de "Swan River Daisy", un genre de pâquerettes qui pousse déjà en Australie.
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de toutes manières qui va encore trinquer ????
- ceux qui sont à la retraite
- ceux qui cotisent
donc tous les petits finalement, alors nous en faire de telles plâtrées .... ???
Au-delà d'une logique purement budgétaire et financière, et c'est ce qui la différencie profondément des réformes précédentes, le gouvernement a voulu rendre notre système de retraite plus juste et mettre un terme à des inégalités inacceptables qui se sont creusées au fil du temps.

Nous ne sommes pas tous égaux face à la vieillesse et 1 salarié sur 5 est concerné par la pénibilité qui réduit l'espérance de vie en bonne santé de 10 ans environ. Pour la première fois depuis la création de notre système de retraites, la pénibilité au travail sera prise en compte dans la détermination des droits pour la retraite avec la création d'un compte personnel de prévention de la pénibilité.

Pour les jeunes l'entrée dans la vie active est aujourd'hui plus difficile qu'autrefois et elle se fait plus tardivement. La réforme va prendre en compte tous les trimestres d'apprentissage, les périodes de formation professionnelle, les temps partiels, les emplois saisonniers et permettre de valider les périodes d'étude post-bac.

La réforme renforce les dispositifs de solidarité à l'égard des salariés ayant subi des périodes de chômage. Les périodes de chômage et de formation seront mieux comptabilisées.

La réforme va aussi réduire les inégalités hommes-femmes en prenant mieux en compte dans le calcul de la durée de carrière, les périodes de maternité et les temps partiels.

Enfin les pensions des retraités agricoles seront revalorisées.

Dans le contexte social et économique actuel, il fallait du courage pour réformer notre système de retraites.
Car même s'il en allait de sa survie, et de sa pérennité, il était impératif de ne pénaliser ni les entreprises, ni les salariés, ni les retraités.
Après avoir fait l'objet d'un dialogue approfondi et d'une concertation exemplaire, l'équilibre a été trouvé entre efficacité et équité pour garantir notre système de retraites, sans casser la reprise économique en cours et sans crisper notre société fragilisée.....
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"Before they pass away"... avant qu'ils ne se disparaissent. Tel est le titre que le photographe britannique Jimmy Nelson a donné à un projet colossal: immortaliser les dernières tribus indigènes que compte la planète. De l'Éthiopie à la Tanzanie, en passant par l'Inde, la Mongolie ou encore la Sibérie, voilà bientôt 4 ans qu'il sillonne le globe à la rencontre de 31 tribus.

"Je voulais être le témoin de de leurs traditions, participer à leurs rituels et voir comment le reste du monde menace de modifier de façon irrémédiable leurs modes de vie. Plus important encore, je voulais créer un document photographique esthétiquement ambitieux qui résisterait au passage du temps, un corpus d’œuvres qui s'imposerait en tant qu'archive ethnographique irremplaçable d'un monde disparaissant à la vitesse grand V," explique le photographe.

Côté technique, Jimmy Nelson a opté pour un appareil photo analogique et grand format (4x5). Un choix guidé autant par son impératif esthétique que par sa démarche ethnographique. "Le détail auquel on arrive grâce à des négatifs aussi importants permet une plongée extraordinaire dans la vie émotionnelle et spirituelle des derniers peuple indigènes du monde. Dans le même temps, cela glorifie la créativité unique qui leur est propre avec leurs visages peints, leurs corps scarifiés, leurs bijoux, coiffures et langage rituel," précise-t-il sur son site internet.

Le projet est également l'objet d'un livre aux éditions TeNeues dont les textes sont disponibles en anglais, allemand et français.
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