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source: Horyax

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Si nous réécoutions le marketing

jeudi 18 octobre 2012 à 19:53

Le titre est un peu pompeux, je l’accorde mais il me semblait en adéquation avec le sujet et dans la continuité du précédent billet. Dans ce dernier billet, j’expliquais de manière « théorique », comment le marché du grand public se moquait des clients. A travers quelques exemples concrets, quelque peu taquins et un poil exagérés, voyons jusqu’où l’arnaque peut-elle aller.

 

Des écrans toujours plus HD

L’image représente sans doute un des domaines où les commerciaux abusent le plus. Nous pourrions citer l’apparition du terme « HD » ou plus tôt de son usage largement biaisé il y a quelques années ainsi que la tonne de labels qui ont suivi : HD, HD ready, Full HD, HD TV 1080p, TNT HD, Full HD 1080p … Chaque constructeur a ajouté sa petite touche et au final, c’est le bordel.

Autre fourberie, les câbles HDMI. Il a été prouvé qu’un câble HDMI à 5€ chez carrefour ne présentait aucune différence (tant qu’on reste dans des distances raisonnables) avec un produit 20 fois plus onéreux. Là encore, les constructeurs n’hésitent pas à balancer un tas de soit disant certifications, pour mettre en avant les qualités supra-combo-atomique de leur cuivre magique.

Tout est une question de fréquence

Le plus fort reste à venir. Alors que l’industrie renouvelle sans cesse sa gamme de termes fallacieux pour duper le client, ils emploient parfois des démarches plus radicales. Citons la méthode : foutage de gueule. Souvent par le biais d’une illustration, on tente de persuader le consommateur que le produit dont il bénéficie actuellement n’est autre que de la merde. Attaquons notre premier exemple avec Nvidia et leur perception de la fluidité :

« Sur votre gauche Mesdames, Messieurs, un écran 120Hz assurant fluidité, qualité et fluidité puis sur votre droite, ce que le monde entier utilise encore au dépend de sa vie … eh oui madame, tout le monde n’a pas accès à la technologie. » (Image tirée du site Club 3D)

C’est à se demander comment 99% des gamers font pour jouer ? Parce que là quand on regarde le coté 60Hz, ça ressemble juste à une traînée de pixels ou sinon, c’est l’aperçu d’un myope qui aurait oublié ses lunettes. Il est certain que le passage au 120Hz induit une meilleure fluidité mais faut pas pousser non plus …

Apple Floutina

Après Nvidia, étudions la stratégie Apple Retina. Rappel pour les fans boys, Retina a été introduit avec les derniers Macbook et désigne un nouveau type d’écran. Le résultat est assez impressionnant car on atteint sur une dalle de 15″, une définition de 2880 par 1800 pixels. Autrement dit, bye bye le 1080p. On ne peut que féliciter cette prestation mais la publicité qu’on trouve sur le site de la Pomme laisse un peu dubitative. A en croire leurs captures d’écrans, l’avant-Retina correspondait à l’âge de pierre. A quelques pixels près, voilà ce qu’on tente de nous faire gober, AVANT | APRES Retina :

crédit photo

Témoignage d’une utilisatrice anonyme : « Je n’en reviens pas, avec l’Apple Retina tout parait limpide. Mes mails sont plus clairs, les vidéos youtube en 360p ressortent tellement mieux et je ne trouve plus aucun fond d’écran adapté ! Ma vie a définitivement changée grâce à Retina. »

Apple aurait-il un don pour corriger la vue des gens ? Vérifiez par vous même sur leur site, leur discours et les illustrations sont probantes. Effet placebo assuré.

Après l’arnaque, le réconfort.

crédit photo by me

Image originale sur le site du fondeur.

 

Précision évidente mais nécessaire, l’article n’a pas pour but d’être exhaustif ni d’apporter de conclusion. Quant à l’aspect trollesque de certains paragraphes, ils relèvent davantage du sarcasme que du bon troll critique et stupide. Ces pratiques idiotes des constructeurs me font toujours sourire, bien qu’au fond, ces quelques boutades soient de réels attrapes monsieur tout le monde.

Avant qu’on me catégorise d’extrémiste, je certifie disposer autant de processeurs Intel que AMD chez moi. J’achète également du Nvidia et pour Apple, oui je l’affirme : c’est du bon matos – juste un peu très cher.

 

Illustration de l’article par Eraine.

Si nous écoutions le marketing

lundi 15 octobre 2012 à 18:57

Le week-end dernier, un ami à la recherche d’un ordinateur portable m’a questionné sur les points à focaliser et quels composants favoriser lors de son achat. Quelques heures plus tard, de retour du magasin et ayant dûment suivi mes conseils, il disposait de l’ordinateur le plus adapté ou du moins, le plus convenable en rayon. Contrairement à une tour qu’on peut composer de A à Z, un portable ne présente pas la même souplesse mais surtout, nous oblige à suivre les caprices des constructeurs. Ces derniers profitent, exploitent et abusent à la fois de la publicité mensongère et de l’ignorance des clients pour vendre leurs déchets à tout prix. En réalité ce ne sont pas des déchets, au contraire, ce sont des moteurs 8 cylindres dont seuls des pilotes de course peuvent en profiter.

Ce même ami s’est rendu compte à quel point on se moquait de nous, à quel point la course à l’armement n’avait aucun sens et à quel point le commerce entier, aveuglait autant les vendeurs que les consommateurs. Inutile sauf pour rigoler (c’est bon pour la santé) de demander conseil à un vendeur de grande de surface. Je généralise mais ce monsieur, si professionnel soit-il, ne connaît pas autant le monde du matériel qu’un journaliste spécialisé. Il faut réaliser des tests complets nécessitant plusieurs heures de travail, une logistique adaptée et des connaissances solides dans le domaine pour pouvoir établir un jugement plausible. Monsieur le vendeur se tient-il rigoureusement au courant des nouveautés hardware ? Concrètement, quand ce vendeur commence à s’attarder sur le processeur (i7 par hasard) alors que vous recherchez un ordinateur orienté jeux vidéos, ça commence mal. Il suffit également de tendre l’oreille pour se rendre compte que LE critère de sélection parmi tous les clients, c’est la RAM. Ce composant sacré que le marketing a réussi à élever au rang de divinité. C’est assez désolant. Bien sûr, tout cela est le résultat d’un complexe engrenage favorisant avant tout le profit (je ne parle pas du capitalisme…). Les gens achètent, alors pourquoi se priver ? Les gens n’y connaissent rien, alors pourquoi ne pas en profiter ?
Je vous rassure, le tort ne vient pas seulement des constructeurs. Les fondeurs tels qu’Intel et AMD poussent également au renouvellement. Attendez, si Intel sortait un socket compatible avec les 4 générations à venir, ça n’irait plus du tout. Ça ne s’arrête pas là, la chaîne s’étend aussi aux développeurs de logiciels ou encore aux revendeurs qui mettent en avant les aspects marketing favoris. Subissons en silence.

« 236 chevaux, système d’injection directe à haute pression, y’a pas mieux comme première voiture garçon. »

Pour revenir à mon ami et son histoire de laptop, je lui avais prescris seulement deux instructions : opter pour un 17 pouces et se focaliser sur la carte graphique (avec une liste de références). Évidemment, il était étonné que je ne mentionne pas le processeur ou la mémoire vive et pourtant, la réponse est simple. Avec une « bonne » carte graphique, le reste des composants suit automatiquement. Cependant, l’équation ne marche pas dans l’autre sens : gros processeur n’est pas synonyme de carte graphique puissante.
Tout comme les ordinateurs commerciaux ou les tours déjà montés si vous préférez, les constructeurs mettent en avant le processeur et la mémoire. C’est ainsi qu’on se retrouve avec des configurations « gamers » totalement disproportionnées. Le processeur représente le composant le plus onéreux alors que ça devrait être la carte graphique dans ce cas. Pas besoin d’être un pro du hardware pour constater ça.

En fin de compte, toujours le même ami, a acheté un HP équipé d’une Radeon HD 7670M, d’un i5 et 4Go de mémoire. C’est un beau laptop, bien équilibré mais par rapport à ses besoins (jeux), un i3 avec une carte graphique un modèle au dessus, auraient été parfait. Mauvaise nouvelle, vous ne trouverez jamais de configuration de ce type là. Les gens auraient peur et n’achèteraient pas : « Quoi ? Il n’y a pas un quad-core ? ».

Rappelez vous le dicton : « Si t’as pas d’i7 pour lire tes mails, t’as raté ta vie ».

Config : Apple a du souci à se faire

jeudi 11 octobre 2012 à 17:23

Je l’avais promis, présenter une machine entièrement passive, aux performances équilibrées et suffisamment puissante pour jouer. Cette prouesse est rendue possible depuis l’arrivée des APU. Certes, cette technologie laisse largement à éprouver mais tranquillement, AMD devrait atteindre un certain stade de maturité. Si vous découvrez le terme d’APU, je vous renvoie vers le dernier article qui explique le fonctionnement de ces processeurs hybrides.

 

Plus compacte, plus puissant, voici le nouvel iFanless 11G turbo+ …


Total approximatif (SSD de 128Go – pas de lecteur CD compté) : 545€

Le total fournit avant tout un ordre d’idée. On se situera entre 500€ et 650€ selon les composants, une fourchette de prix qui reste très acceptable pour une telle qualité de matériel.

Pourquoi ne pas en faire un HTPC ?

L’envie de poser la question doit en brûler plus d’un. On pourrait tout à fait mais ça ferait cher le media-center. C’est surtout le boîtier dont nous n’aurions pas l’utilité. Pour un HTPC, un processeur AMD E-350 ou E-450 conviendrait amplement. Ces derniers sont parfois refroidit nativement de manière passive alors inutile d’investir dans un Streacom.

Quand on voit le Mac mini, plutôt situé entre 700€ et 900€ et doté d’une partie graphique bien plus faiblarde que le AMD A8, ça laisse à désirer. Bon ok … c’est du Apple, c’est plus fin puis … c’est du Apple quoi !

Et le géant vert enfila ses bottes…

jeudi 4 octobre 2012 à 16:24

Chimère ou réalité, certains comptent encore sur AMD pour renverser le marché des processeurs. La firme Californienne n’a plus le droit à l’erreur, la courbe est déjà suffisamment rouge. Un sauveur dites vous ? Pas si certain mais Virgo comme elle se nomme, la nouvelle génération des APU d’AMD, tentera au moins d’améliorer la situation. Avant d’aller plus loin, examinons les termes cités à l’instant.

 

APU & Virgo

Un APU, pour rappel ou découverte, est une puce qui contient à la fois un CPU et un GPU (processeur chargé des calculs graphiques). Pour schématiser la chose, on peut dire qu’un APU combine le processeur et la carte graphique sur une même puce.

AMD en appelle les Saints …

Virgo ou le signe astrologique de la Vierge, désigne ni plus ni moins, que le nom de code des nouveaux APU. Bref historique : AMD introduisait l’année dernière sa technologie dénommée Fusion qui regroupe toutes les architectures APU. Vient ensuite différentes catégories.
La première génération de puces Fusion répondait sous le nom de Llano, puis vient d’apparaître son successeur, Virgo. On retrouve également cette seconde génération sous la dénomination Trinity, ce n’est autre qu’un synonyme.

Le paragraphe précédent est extrêmement condensé et plein de raccourcis pour rendre la chose un minimum clair. Si vous souhaitez définitivement vous perdre dans les références constructeurs, il suffit de consulter la page Wikipédia de AMD Fusion.

En résumé, nous disposons d’un morceau de silicone de 2,5cm de coté qu’on peut appeler Virgo ou Trinity selon son humeur.

Les nouveautés techniques

Inutile de rentrer dans les détails, pour ce qui est de l’ordonnancement interne du processeur, les nouvelles instructions, la taille des caches, etc, je vous renvoie sur le dossier de HFR. J’en profite pour signaler que nombreuses images sont justement tirées de ce dossier ultra complet.

Socket FM2

Nouveaux CPU = nouveaux socket ? A écouter Intel, c’est un impératif et il y a toujours des questions techniques. N’y voyez là aucun but commercial. Pensez-vous vraiment que le fondeur numéro 1 mondial, s’amuserait à introduire un nouveau socket, donc vendre ces derniers aux constructeurs, puis obliger tous les clients à changer de carte mère ? Il ne gagnerait que quelques millions après tout … Bref, chez AMD, la raison du passage au socket FM2 provient des détrompeurs (voir photo ci-dessous) dont le placement a dû être revu. Convaincant.

Le jeu des 7 erreurs

Techniquement, ce nouveau socket supporte désormais le multi-écran (via l’APU). On peut ainsi utiliser jusqu’à trois sorties vidéos (DVI, DisplayPort et HDMI) en simultané.

Chipset

Virgo signe également l’apparition d’un troisième chipset pour compléter ceux du socket FM1. Le tableau situé à droite reste plus parlant mais en résumé, vous pouvez distinguer :

C’est bête de dire « tout » mais en pratique le A75 vaut exactement le A85X. Je ne vois pas l’intérêt de citer le nombre de ports SATA pris en charge alors que c’est la carte mère qui limite avant tout.

Au cas où je serais allé trop vite, le chipset, pour rappel ou découverte (cette formule me parait neutre), est une puce chargée de faire communiquer le processeur avec le reste des périphériques (carte graphique, ports usb, etc).

Dual Graphics

Cette technologie qui existait déjà avec la 1ere génération, permet de coupler en plus de votre APU, une carte graphique. On peut apparenter cela à un Crossfire mais vu les résultats mitigés qu’apporte le Dual Graphics, cette solution semble peu intéressante. Elle n’est pas spécialement efficace et le rendement laisse à désirer. Un bon moyen de recycler une carte graphique mais nullement l’occasion d’investir.

Présentation des processeurs

Maintenant que vous en connaissez un peu plus sur l’histoire de Virgo, jetons un coup d’oeil sur les dernières recrues.

On y revient dans un instant.

Où quelle-est la mémoire vidéo ?

D’ordinaire, les cartes graphiques embarquent de la mémoire mais dans un APU, impossible de tout caler. C’est donc votre RAM qui est exploitée par le GPU dans ce dernier cas. Ce n’est pas un problème en soit mais selon la vitesse de la mémoire, les performances varient assez remarquablement. Ainsi, hardware.fr met en évidence un gain de 7% à 17% selon qu’on passe de 1600MHz à 2133MHz.

Les performances

Enfin un peu de concret. Que pouvons-nous attendre des nouveaux processeurs en terme de puissance graphique ?

D’ordre général, on peut jouer à tous les jeux récents en 720p en jouant sur les options. Dit comme ça, ça donne moyennement envie mais ça satisfait pas mal de monde. Pour ce qui est de jouer en haute définition, seul les titres âgés de quelques années ou peu gourmands en ressources passeront. Ici en exemple, le jeu Dirt 3 en 1680*1050px et les détails positionnés sur « moyen ».

Les résultats sont très raisonnables mais on aperçoit tout de suite qu’une petite carte graphique est beaucoup plus performante. On gagne un bon 20 fps rien qu’avec une Nvidia GT 640.

Talon d’Achille

Cela fait maintenant plusieurs années qu’AMD traîne sur cet aspect qui pourtant, est devenu une priorité : la consommation !

Au repos, les APU affichent un bon score, similaire aux puces Intel mais dès lors qu’on charge le processeur, le compteur s’envole.

Le graphique de HFR est assez démonstratif. La consommation est relevée lors de l’exécution du jeu F1 2011.

Récapitulons. Le A10-5800K, fleuron de la gamme Trinity, affiche 130W en charge pour 48 fps sur Dirt 3. Si nous prenons un Pentium G840 avec 65W de TDP maximum, couplé à une Radeon HD 7750 (45W), nous obtenons approximativement 40% d’images/secondes supplémentaires pour 110W.

Ensuite on peut se poser la question, « est-ce qu’on fait tourner des benchmarks toute la journée sur son PC ? » Pour ma part 90% du temps, l’ordinateur est au « repos ». Dans cette optique, le pic de consommation et éventuellement, les nuisances sonores sur le moment, restent acceptables. Subsiste l’écart de performance non négligeable.

Qui est le public visé ?

Venons-en à l’indispensable et fatidique question : quel segment du marché AMD compte t-il attaquer avec ses APU ? En fin de compte, difficile de trouver un réel intérêt. Voilà grossièrement, les cas possibles :

Concluons sur le fait qu’à part le modèle A4-5300 et l’A8-5500 à 65W de TDP, le reste de la gamme ne présente aucun avantage. Les puces sont d’ores et déjà disponibles en magasin.

Je ne sais pas de quoi je parle

vendredi 28 septembre 2012 à 19:37

Il faut l’admettre, assis derrière mon petit client léger qui ne vaut même pas la moitié du prix de votre carte mère, comment puis-je donner des leçons ? C’est vrai, qui a le droit d’éduquer notre pensée et de partager ses idéologies ? Tout le monde n’est ce pas ? Mais contrairement à la réalité, sur Internet, il suffit de fermer l’onglet pour stopper l’hémorragie.

 

Je généralise et je stigmatise

Voilà de gros défauts mais au moins, cela a le mérite d’être clair. J’ai choisi de m’adresser au plus grand nombre et la ligne éditoriale du blog en découle. Quand je balance « nos ordinateurs sont 90% trop puissants », vous sentez-vous visés ? Vous autres gamers, professionnels, graphistes, monteurs vidéo, designers ou ingénieurs ? Non, je parle des 90 autres pourcent, qui telle une vache à lait, se font traire par l’industrie.

Peut-être est-ce une révélation mais tout le monde ne cherche pas à posséder l’ultime foudre de guerre, le fantastique composant qui changera sa vie ou simplement, voudrait éviter de passer par un emprunt pour monter son prochain ordinateur. Alors quand je conseille un SSD OCZ Octane ou un i3 2100 dans une config’ gamer, il y a de quoi en faire sursauter plus d’un et je comprends. Je ne prétends pas être la lumière qui éclaira l’humanité, j’essaye seulement de partager mon raisonnement à ceux qui le souhaitent.

« Comment ça tu n’as pas mis un i7 et 16Go de ram dans ta machine ?! ». Faut-il tenter des les résonner ? A un certain stade, on peut parler de lobotomisation … est-ce peine perdue ? Qu’il en déplaise ou non, je continuerai à rabâcher que l’informatique ne se résume pas à dépenser 200€ pour gagner 5% de performance.

C’est bourré de fautes

Prenons l’article sur les SSD. J’ai écrit au moins deux grosses conneries (et merci aux lecteurs de l’avoir souligné – parfois avec délicatesse) :

Évidemment, j’ai corrigé par la suite. Il était bien question de « 1Ko = 1024 octets (selon Windows) » et les débits auraient dû être indiqué en Mo/s ou encore MB/s. Rappel pour ma personne, 1 octet ou 1 Byte = 8 bits. Si j’avouais que ce n’étaient que des erreurs d’inattention ? Vous ne me croirez pas, alors je préfère vous laissez penser que je suis un abruti.

J’écris pour le plaisir et je ne demande rien en retour. Croyez-vous que j’y connaissais quelque chose il y a quatre ans, deux ans ou aujourd’hui, dans le monde du matériel ? Je ne fais qu’apprendre, permettez moi de ne pas avoir 20/20.

 

Illustration de l’article par spaztacular.