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Le Blog de Genma

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Tor - Nos-oignons.net

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Nos-oignons.net

Voici pourquoi nous montons l'association « Nos oignons » ! Nous voulons permettre à plus de personnes de contribuer au réseau Tor. Nous voulons rassembler des dons et des bonnes volontés pour faire tourner des relais avec beaucoup de bande passante et la puissance de calcul nécessaire. Nous souhaitons héberger ces relais en France pour augmenter la diversité géographique du réseau — meilleure diversité, meilleur anonymat — et travailler sur la législation. À part le nom et beaucoup de recherches préliminaires, tout reste encore à faire : finir et déposer les statuts de l'association, ouvrir un compte en banque, mettre en place la compatibilité, faire un site web, installer un système de mail, configurer les relais Tor, récolter des fonds… nos-oignons.net

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Un projet de création de noeud Tor

Cela fait quelques années que je suis l'actualité et l'évolution du réseau TOR, et je suis tombé dessus par hasard, au grès d'un surf sur Internet. La création de cette association est à suivre. Pour l'instant, ce n'est qu'une simple page, qui explique le pourquoi et le but de nos-oignons.net, Le fil Twitter est un peu plus fourni (@NosOignons) et montre que tout ce passe en background, sur un canal IRC. Logique vu que Tor, c'est caché...

Un des participants à ce projet a lancé un blog et a écrit de très longs articles sur Tor (je suis jaloux, le mien était beaucoup plus simple)
- We'll need a bigger onion
- First you trust them, then you fear them, then they fear you, then you win.
- Some people just want to see the world TOR
Ce qui, tout compiler, avec les commentaires, fait près de 50 pages de texte brut...

Si vous intéressez à Tor, je vous incite fortement à lire ces textes ainsi que les autres articles du blog http://koolfy.be

A lire également :
- Tor, surfer de façon anonyme par Genma
- Quelques liens sur le Net sur Tor

Le DaiDenzin de Denshi Sentai Denziman...

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Enfant, j'ai eu un jouet que j'ai gardé et que j'ai encore, exposé dans ma vitrine des jouets de mon enfance. Internet est formidable car il permet, en quelques clics, de faire des recherches de trouver des informations. J'ai donc cherché à quoi était lié ce jouet, qui ressemblait à un robot tout droit sorti d'un sentai. Car il s'agit d'un robot transformable en vaisseau, un peu comme le fait le robot de Bioman.

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Quelques clics plus tard, j'ai trouvé un site qui permet de voir ce jouet sur toutes les coutures.

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Et on a le même chose en vidéo. Et comble de la nostalgitude, on peut même voir La publicité japonaise d'époque, une petite perle.

Les liens :
- Photos du robot jouet DaiDenzin
- Denshi Sentai Denjiman Chogokin Daidenjin en vidéo
- La publicité japonaise d'époque

Arrow la série

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00
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Présentation de la série

Après un violent naufrage, le milliardaire Oliver Queen, playboy, porté disparu et présumé mort depuis cinq ans est découvert vivant sur une île isolée dans le Pacifique. Quand il rentre chez lui, à Starling City, sa mère dévouée Moira, sa sœur bien-aimée Théa, et son meilleur ami Tommy l'accueillent chez lui, mais ils sentent qu'Oliver a changé. Alors qu'Oliver cache la vérité sur l'homme qu'il est devenu, il cherche désespérément à faire amende honorable pour ses actions passés et tente de se réconcilier avec son ex-petite amie, Laurel Lance. Il se crée alors secrètement le personnage de L'Archer Vert qui va réparer les torts de sa famille, lutter contre les maux de la société, et redonner à la ville de Starling son ancienne gloire. En tant qu'héritier de la multinationale Queen Consolidated, Oliver joue le rôle d'un coureur de jupons riche, insouciant et négligeant afin de cacher son identité secrète. Cependant, le père de Laurel, le détective Quentin Lance, est déterminé à arrêter le justicier dans sa ville. Pendant ce temps, la propre mère d'Oliver, Moira, en sait beaucoup plus sur le naufrage mortel. Source

La critique du Genma

Je connais l'univers du comics depuis bien avant qu'Avengers ne sorte au cinéma (je ne suis pas geek pour rien), j'ai lu et critiqué du Marvel et du Comics et même si je suis loin d'être un fan spécialiste, j'aime bien. J'ai lu quelques volumes de Green Arrow et je connaissais le personnage avant de voir cette série.

Diffusé et produit par la même chaîne qui diffuse Supernatural (donc je devrais parler prochainement), Arrow est une série assez sympathique. Le personnage principal est assez physique (on a régulièrement des scènes de son entrainement et on voit sa musculature, sa souplesse, son efficacité au combat au corps à corps), mais aussi son habilité à l'arc (d'où le titre). Mais on n'a pas de gadget farfelu, on se centre sur les personnages principaux et secondaires qui apportent à l'histoire. Les flash-back sont bien amenés et permettent de voir l'évolution et la construction de celui qui deviendra Arrow. Autre fil rouge, la conspiration et la corruption de la ville et la justice que rend Arrow au fil des épisodes.

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L'influence de Dark Knight de Nolan semble évidente et on peut que faire la comparaison. On ne comparera pas la qualité cinématographique de la réalisation car on est dans du cinéma versus chaîne câblée, ce ne sont pas les moyens de game of thrones... C'est plus dans la gestion du personnage. Oliver Queen est un Playboy milliardaire le jour, détestable au plus haut point, faisant des apparitions publiques en organisant des fêtes pour gosses de riches ; comme Bruce Wayne. Arrow est présenté comme un personnage complexe, torturé au sens propre (physiquement durant son exil sur l'île) comme psychologiquement. C'est un vigileant, il fait sa propre justice dans une ville corrompue, tuant des gens. Et ce pose alors la question : peut-on appliquer soit-même la peine de mort à des gens que l'on estime le mériter ? Qui est-on pour faire justice ainsi ? C'est le personnage d'origine qui veut ça, c'est du Dc Comics tout comme Batman. On un sidekick, une avocate qui est le pendant de Lois Lane. On a le manoir des Queen et une Arrow cave. Arrow modifie sa voix...

Bonne idée qu'est la liste de personnes corrompues. La liste peut-être infinie et donné lieu à de nombreux épisodes. Il faudra espérer que les scénaristes sachent se renouveler et ne tombent pas dans la facilité.

En conclusion, Arrow est une série de qualité qui traite le super-héros dans un aspect moderne, un peu sombre, qui a un scénario correct et une réalisation sympathique. Que demander de plus ?
Arrow me plait et a été validé par MMe Genma qui regarde cette série avec moi (elle aime aussi Docteur Who, Fringe, Walking Dead, Supernatural, dans des genres totalement différents...). Je vous recommande d'y jeter un coup d'oeil si vous le pouvez, espère qu'une chaîne de la TNT achètera la série pour la diffuser. En attendant, il faut demander à son oncle américain qu'il enregistre les épisodes sur VHS et vous les envoi par colis (ou une version moderne équivalente).

A lire également, Critique du Comics Green Arrow Origins - La genèse

EVO2012 - Le tournoi des légendes

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Initié au vocabulaire du jeu de combat via les podasts de Gameblog spéciale arcade et la saga Street Fighter<:a> et via le Podcast bas gros poing,

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et à force d'écouter des podcast liés à l'arcade et de m'intéresser à ce monde et plus particulièrement à celui du versus fighting, je connais de plus en plus de terme, je sais nommer Dicateur (Bison/Véga), Boxer(Balrog/Bison), Griffe(Véga/Balrog), si je parle des techniques de jeu je vais parler de dragon, de la boule, de la charge, de la choppe, du contre...

Ce ne sont pas les première vidéos commentées de combat que je regarde, mais j'ai beaucoup apprécié la beauté et la technicité des combats. On voit qu'on est sur le tournoi de l'Evo, tant les combats sont fluides, tout à l'air simple mais quand on a un peu joué, on sait que c'est loin d'être évident et qu'il faut des heures et des heures d'entrainement par jour pendant des années pour atteindre un tel niveau. Loin de se vanter d'être les meilleurs (quoique), ce sont avant tout des passionnées, qui aiment partager leurs passions, mais aussi des compétiteurs, qui n'aiment pas perdre...

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Dans ces vidéos on retrouve des interviews/commentaires du français Wolmar, Damdai et d'autres champions de la scène américaine, et surtout du célèbre commentateur de la scène de versus fighting française Ken Bogart.

Pour en revenir aux vidéos, j'ai apprécié le montage très professionnel, la qualité de la vidéo. De véritables reportages comme on en verra jamais à la télévision, si ce n'est sur des chaînes très spécialisées comme Nolife.

En conclusion, si vous aimez le versus fighting, ces vidéos sont faites pour vous.
- Le Tournoi Des Légendes : Episode 1
- Le Tournoi Des Légendes : Episode 2
- Le Tournoi Des Légendes : Episode 3
- Le Tournoi Des Légendes : Episode 4

Critique du livre Generation Galactik de Vincent Dubost

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00
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Présentation

Tout l'univers des héros de notre enfance raconté par les produits dérivés (publicités, objets divers stylos, cartables, draps, tee-shirts, produits alimentaires...). Une approche inédite pour une nostalgie 100% vintage ! Le 3 juillet 1978, Goldorak débarquait en France sur Récré A2. La majesté imposante de ce robot multicolore au casque à cornes a déclenché une sorte d'hystérie collective : les enfants fascinés et désormais placés en orbite n'ont plus jamais regardé les dessins animés avec les mêmes yeux, les parents, dépassés par le phénomène de société, ont tenté, en vain, de mettre en garde leur progéniture contre ces images venues d'ailleurs.
Car, oui, ils venaient bien d'une autre galaxie ces nouveaux héros aussi à l'aise dans l'espace que les Pierrafeu sur leurs dinosaures. Les garçons ne juraient que par Goldorak et son "Fulguraupoing", les filles tombaient toutes amoureuses d'Albator, la capitaine de vaisseau à la cicatrice sexy. Le succès fut tel que les enseignes commerciales ont vite suivi la tendance. Matériel scolaire (trousses, classeurs, cahiers...), produits alimentaires, draps, tee-shirts, cadeaux Bonux, des jouets par centaines... La vie quotidienne fut entièrement redécorée aux couleurs des héros préférés.

Vincent Dubost, fan de la première seconde, a tout, absolument tout retrouvé ! Chaque page de Génération made in Japan est une plongée dans les souvenirs des jours heureux. Que se soit à l'école, dans la chambre à coucher, sous le sapin de Noël, dans la cuisine à l'heure du goûter, le film de votre enfance va se dérouler sous vos yeux émerveillés.

Le choc émotionnel est garanti ! Les âmes sensibles vont adorer.

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La critique du Genma

Essentiellement destiné à une cible très ciblée, les hommes adultes de trente-cinq quarante ans, né au milieu des années soixante-dix début des années quatre-vingt et qui ont été bercés par l'apparition de Goldorak à la télévision et la naissance des premiers produits dérivés (qui ont d'ailleurs été abordés dans un autre livre co-écrit par l'auteur, les jouets des années 70-80).

Ce livre est majoritairement axé sur Goldorak, même si sont abordés des séries apparues à la même époque comme Ulysse 31 ou Albator, San Ku Kai. Toutes ces séries ayant pour point commun le thème de l'espace / Space opera, le titre a été généralisé pour ne pas s'appeler Génération Goldorak mais Génération Galactik. Mais il ne faut pas perdre de vue que ce livre est majoritairement illustré autour de Goldorak et de l'ensemble des produits dérivés (il n'y a aucun doute sur le fait que est un fan incontestable). Majoritairement illustré mais richement illustré. J'ai retrouvé des images de produits que je n'avais pas vu depuis presque trente ans. Combien de fois me suis-je exclamé "ah oui je me rappelle de ça", en feuilletant ce livre page après page.

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Ce livre est le recueil parfait pour le nostalgeek que je suis. N'ayant ni le temps, ni l'argent, ni la place d'acheter et de mettre en vitrine les produits dérivés (jouets, figurines, posters, images, albums de vignettes, verres...), ce livre me permet de satisfaire / de combler un manque. Si vous cherchez un produit particulier, il y a la boutique Luluberlu que je vous recommande.

En conclusion, en feuilletant ce livre, je me replonge avec nostalgie dans les premières années de mon enfance et je vous invite à en faire de même. Pour ce, vous trouverez le livre à l'achat ici : Acheter Génération Galactik sur Amazon