PROJET AUTOBLOG


Le Blog de Genma

source: Le Blog de Genma

⇐ retour index

Mon soutien à Alexandre Zapolsky

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Les propos tenus dans le présent billet n'engagent que moi, Genma, auteur de son blog.

Disclaimer : je ne suis pas neutre. Je suis un employé de l'entreprise dont Alexandre Zapolsky est le PDG ; Alexandre est mon supérieur hiérarchique. Mais sur ce blog, je suis moi-même, et bien que je sois un personnage publique, je m'y exprime en toute neutralité, selon mes envies et mes humeurs. Mon propre billet sur l'autocensure est un parfait exemple du fait que je ne me restreins pas, que je reste moi-même, et ce même après avoir fait le choix de dévoiler mon pseudonyme lors de mon entretien d'embauche, passant Du pseudonymat au pseudonyme.

Par le présent écrit, je souhaite exprimer mon soutien à Alexandre Zapolsky, l'homme. Car derrière tout personne qui est en campagne actuellement, il y a un homme ou une femme. Derrière la personne publique, derrière le candidat, il y a un être humain, avec ses qualités, ses défauts, ses réussites et ses échecs... Être un personnage publique implique de devoir faire face à des critiques, parfois justifiées mais très souvent infondées, car plus on a de visibilité, plus les critiques deviennent nombreuses et n'ont souvent que pour but que de blesser, de faire mal. Quand on devient un candidat politique, il faut apparemment se préparer au pire... Personnellement, je pense qu'il est acceptable de juger une personne politique sur son programme, sur ses propositions, sur ses actes, sur ses choix dans le cadre de son mandat. Mais quand on vient à publier des articles qui n'ont que pour but de blesser une personne, en mélangeant tout et son contraire, je trouve ça, personnellement déplorable.

Je choisis donc de prendre un peu de temps pour écrire quelques mots pour exprimer publiquement mon modeste soutien. Car au delà de l'homme, il y a une famille, des amis, des proches, qui souffrent de la bassesse dont peuvent faire preuve certains journalistes en publiant des articles qui n'ont, de ce que j'en estime et de mon point de vue, que pour but de déstabiliser, un homme, au-delà du candidat.

J'ai beaucoup de respect pour l'homme au delà du respect que j'ai naturellement envers celui qui est mon supérieur hiérarchique. Tout simplement parce qu'il a crée une entreprise à un âge où j'étais encore très jeune dans ma tête. (Il faut savoir qu'Alexandre est à peine plus âgé que moi, nous avons fêté ses 40 ans ensemble, avec ses proches ; mes 38 ans à moi sont dans quelques semaines). Et il a porté, avec d'autres, le fruit de son travail, il a fait grandir son projet ambitieux qui a perduré et qui est désormais bien établi, au travers des années...

J'ai suivi ça de loin, jusqu'au jour où le destin m'a permis de faire les bonnes rencontres, à un moment de ma vie où j'avais une envie de changement, d'accomplissement personnel... Si j'ai écris des billets comme Premières semaines dans ma nouvelle vie, Je suis chef d'équipe ; tu nous rejoins ? Vous voulez que vos employés s'épanouissent ?, et d'autres, c'était pour apporter mon témoignage sur ma vie dans ma nouvelle entreprise.

Et derrière cette entreprise, à la source, il y a Alexandre. Mon premier vrai contact avec lui, cela a été lors de cette soirée collaborateur où je me suis présenté à lui en disant "Je suis Jérôme, mais vous me connaissez peut-être mieux sous mon pseudonyme de Genma". L'homme en face de moi alors a eu un sourire, un regard de sincérité qui ne trompe pas, et m'a dit "En tant que collaborateur, on se dit tu. Mais surtout, je voudrais que tu saches à quel point je suis content que quelqu'un d'aussi passionné que toi rejoigne nos équipes". Il ne peut pas savoir à quel point ces mots m'ont touchés et marqués. Car ils ont été le début d'un témoignage régulier de reconnaissance envers le fruit de mon travail personnel, débuté depuis des années...
Alexandre, c'est la personne qui a toujours un petit mot pour ses collaborateurs, qui prend le temps de faire le tour du plateau projet pour saluer chacun et chacune, glisser un petit mot, demander des nouvelles, féliciter l'un ou l'autre pour la réussite de tel ou tel projet. Alexandre, c'est un homme de conviction, et des discussions que j'ai pu avoir avec lui, j'ai pu voir un homme impliqué, qui croit en la politique en laquelle je ne crois plus, déçu par toutes ces personnes carriéristes déconnectées des réalités. Tandis qu'Alexandre est un entrepreneur, un homme qui appartient, comme on le dit en ce moment, à la société civile, qui a fait le choix de se lancer en politique dans la région où il est né. Il démontre ainsi son attachement à son pays, à ses racines, à ses origines... Il en parle beaucoup mieux que moi au travers de témoignages que l'on retrouve sur son blog personnel. Si Alexandre s'est engagé en politique, c'est qu'il y croit. Il pense et il sait qu'à son niveau, il pourra contribuer à faire changer les choses. Si ce n'était pas le cas, au moins, il aura essayé. Et ça, le fait d'essayer, personne ne pourra lui reprocher. Personne.

Ces petits plaisirs secrets que je ne partage qu'avec moi-même

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Petit billet d'humeur rapide du matin. Les lecteur.trice.s de ce blog savent bien je l'espère qu'un tel titre n'est pas pour augmenter les visites ou autres. Il s'agit là d'un nouveau billet de réflexions sur moi-même, le énième de la série commencée il y a des années. Un peu plus court que d'habitude, certes, mais billet de réflexions quand même (en tout cas il y a un lien vers l'un d'eux).

Comme vous le savez sûrement, je vis dans ce que beaucoup considère comme une vie de couple depuis très longtemps. Nos soirées communes sont passées à regarder des séries télé geek. C'est notre truc. C'est notre petit plaisir personnel partagé.

A côté de ça, j'ai mes petits plaisir secrets que je ne partage qu'avec moi-même. D'où le titre. Quels sont-ils ces petits plaisirs simples... Ce sont tout simplement...

Les podcasts ! J'avais évoqué dans mon billet sur les interactions sociales ma relation aux podcast et aux amis virtuels que j'ai ainsi. Et quel plaisir d'écouter toutes ces émissions dans les transports en commun, à pouvoir m'évader, faire ma veille, apprendre des choses, rire tout simplement.

Pour les podcasts que je recommande, j'avais fait un billet remis à jour il y a peu, je vous renvoie vers celui-ci : Les podcasts que j'écoute et que je recommande.

Tout ça pour ça me direz-vous ? Eh oui... ;)

Ces petits plaisirs secrets que je ne partage qu'avec moi-même

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Petit billet d'humeur rapide du matin. Les lecteur.trice.s de ce blog savent bien je l'espère qu'un tel titre n'est pas pour augmenter les visites ou autres. Il s'agit là d'un nouveau billet de réflexions sur moi-même, le énième de la série commencée il y a des années. Un peu plus court que d'habitude, certes, mais billet de réflexions quand même (en tout cas il y a un lien vers l'un d'eux).

Comme vous le savez sûrement, je vis dans ce que beaucoup considère comme une vie de couple depuis très longtemps. Nos soirées communes sont passées à regarder des séries télé geek. C'est notre truc. C'est notre petit plaisir personnel partagé.

A côté de ça, j'ai mes petits plaisir secrets que je ne partage qu'avec moi-même. D'où le titre. Quels sont-ils ces petits plaisirs simples... Ce sont tout simplement...

Les podcasts ! J'avais évoqué dans mon billet sur les interactions sociales ma relation aux podcast et aux amis virtuels que j'ai ainsi. Et quel plaisir d'écouter toutes ces émissions dans les transports en commun, à pouvoir m'évader, faire ma veille, apprendre des choses, rire tout simplement.

Pour les podcasts que je recommande, j'avais fait un billet remis à jour il y a peu, je vous renvoie vers celui-ci : Les podcasts que j'écoute et que je recommande.

Tout ça pour ça me direz-vous ? Eh oui... ;)

Différents sujets du moment

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Ce billet est dédicacé à "Le bleu" ;)

Ce billet de blog mixera différentes thématiques que je souhaite aborder actuellement, des réflexions personnelles qui, je l'espère susciteront sûrement diverses réactions.

Comme je le disais dernièrement dans mon billet Ce blog a 13 ans, j'ai et je travaille beaucoup pour réussir professionnellement. Surtout depuis que je suis dans un cadre qui correspond à mes attentes et me valorise pour mes compétences. Pour ça, je m'astreins à une rigueur que beaucoup peuvent trouver psychorigide, mais qui est devenu quelque chose de naturel pour moi ; Les billets sur le lifehacking en témoigne. Et en particulier, je commence mes journées avant 9h, 9h00 étant l'heure légale de début de nos journées officiellement.

De la difficulté pour beaucoup d'arriver tôt

Dans les lignes suivantes, je prends en exemple de collaborateurs qui n'ont pas de situation familiale nécessitant une adaptation du temps de travail (comprendre : ils n'ont pas d'enfant). Des personnes assez jeunes, en début de carrière, et qui ont donc tout à gagner si elles progressent personnellement et professionnellement de façon assez rapide. En tout cas, tel est mon avis.

Lorsque j'ai demandé à un des mes collaborateurs d'arriver pour que l'on puisse réellement la journée à 9h, j'ai eu le droit à la réponse "CA fait tôt". De même, quand j'en parle à d'autres, j'ai des retours : "Oui mais ils peuvent arriver tard si ils restent plus tard et que le travail est fait..." Ce que j'ai du mal à faire comprendre c'est que certes, on ne pointe pas, nous avons des journées flexibles même si nous avons des horaires théoriques, mais quand le collaborateur arrive tranquillement, pose ses affaires, prend son petit café, moi c'est depuis 9h que j'ai commencé ma journée et je suis généralement en plein pomodoro... Je suis déjà dans ma lancée et la répartition des tâches pour la journée va nécessité de me couper dans mon élan... Je peux très bien m'arrêter et passer à une tâche de suivi et de délégation pour la journée lors d'un Pomodoro dédié à ça. Mais je ne le souhaite pas.

En une dizaine d'années de travail en région parisienne, j'ai pu vérifié la règle immuable suivante : c'est que plus on habite loin plus on se lève et arrive tôt, car on anticipe les problèmes de transport, en prenant de la marge et si cette marge n'est pas consommé, on arrive en avance. Par contre, plus la personne habite prêt de son lieu de travail et plus elle se lève tard. J'arrive souvent au bureau quand mon stagiaire, qui habite à deux stations de train des locaux de l'entreprise se lève…. Et ceci est un problème pour moi. Il y a au-delà de mon côté psychorigide le fait que nous sommes responsables si il arrive quelque chose à la personne durant ses heures de travail et si elle n'est pas sur son lieu de travail durant les heures indiquées sur son contrat de travail… Nous en avons parlé. Il va faire des efforts. Mais ce n'est pas gagné. Peut être suis je trop exigeant ?

A côté de cela, je sais qu'il y a un autre stagiaire qui est là à l'heure. Et à ma remarque "tu es là tôt", j'ai eu comme réponse "le début de journée c'est 9h donc je suis là à l'heure". Il a gagné des points... Espérons que cela reste comme ça dans la continuité.

Il faut savoir ce que l'on veut

Je suis peut être trop exigeant avec moi-même et donc je le suis également avec les autres. Mais, en plus de ce que j'ai pu évoqué dans mon billet Où sont les passionné.e.s ?, ce manque de volonté pour arriver à l'heure n'est il pas quelque part symptomatique d'un manque d'intérêt, de passion... L'emploi n'est qu'un emploi qui conduit à un salaire à la fin du mois...
Quand on rentre chez soi, on fait totalement autre chose, on se déconnecte. On peut avoir des tas de passions et centre d'intérêt mais si c'est pour regarder des émissions dont j'ai beaucoup de mal à cerner l'intérêt (et qui font régulièrement la polémique de part leurs propos et actions qui sont l'encontre total de mes convictions personnelles...)

Pourquoi en ferait-on plus pour l'entreprise ? "Je fais ce qu'on me demande". Oui, mais justement, on est payé pour faire ce que l'on nous demande. Je pense qu'on ne peut pas demander une reconnaissance si l'on fait "juste" ce que l'on nous demande. Dans le cas où l'on va plus loin, où l'on se dépasse et montre ce dépassement des attentes, je pense que l'on peut alors commencer à râler si la reconnaissance n'est pas là. Je le sais, pour l'avoir vécu.

L'exigence

Comme vous l'aurez compris, je suis exigeant avec moi-même et avec les autres, en particulier les personnes avec lesquelles je travaille. De part mes activités de lifehacking je m'applique des règles encore plus strictes que celles que je préconise aux autres.

Et il y a le fait que je veux que ces personnes avec qui je travaille fasse du mieux qu'elles peuvent et au delà en se surpassant. Et pour cela, je pense que les bases sont d'arriver à l'heure, d'être précis et rigoureux. J'ai et je prends du temps pour transmettre mes méthodologies pour que la personne se les approprie. Fichier de suivi, de todo etc. Le but n'est nullement de surveiller (je n'ai et ne demande aucun droit de regard sur le fichier) mais d'aider la personne à se surpasser. Car je pense que ces personnes sont douées, ont du potentiel mais ne l'exploitent pas. Ou peut être que je me suis trompé et que ces personnes ont justes autres choses à faire, d'autres centres d'intérêt et une vie… Il est difficile de ne pas porter de jugement. Voir à ce sujet mon billet Où sont les passionné.e.s ?, dans lequel je critiquais les ingénieurs en les confrontant aux autodidactes.

Être différent

Je pense que je prends les choses trop à cœur, de façon trop passionnée et cela me rappelle quelqu'un.e de très proche (celleux qui savent savent). Parfois j'arrive à couper les interrupteurs ou à refermer les portes dans mon palais mental et du coup j'occulte certaines préoccupations. J'ai cette chance.

À coté, il y a des choses pour lesquelles je suis tout le contraire d'exigeants. Ma façon de m'habiller, plus une nécessité qu'autre chose (quoique ça change un peu vu que je peux désormais mettre des t-shirt geek pour aller au travail) ; mon physique et mon léger sur poids. Pas le temps ni l'envie ou la motivation de faire du sport et des efforts. Seul mon esprit compte. Voir à ce sujet le billet sut le Meatspace.

Vieillir

Je me rends compte de mon âge. C'est la période des stages et je côtoie beaucoup de stagiaires du coup, en plus du mien. Beaucoup de stagiaires, cela pourrait sembler être "de la main d'œuvre pas chère et corvéable", alors que c'est plus "donner de l'expérience à des étudiants en vue de les préparer à la vie active, faire une passation de connaissance, via des projets intéressants et détecter les profils qui sortent de la norme". Ces stagiaires sont donc des personnes qui ont une vingtaine d'années, sont étudiant.e.s dans différents domaines, sont de différentes origines ethniques (Maroc, Algérie, Vietnam, Russie, France…). Une très bonne chose pour les échanges culturelles et l'ouverture aux autres.

Étant, je pense, une personne assez bien ancrée dans l'entreprise, je prends le temps de parler avec chacune de ces personnes le midi pour faciliter leurs intégrations dans l'entreprise et j'ai donc pu sympathiser rapidement avec certaines d'entre elles (ces personnes).

Et c'est la que je me rend compte de mon âge et de la différence d'âge. Les bébés a qui j'ai donné le biberon pour aider ma maman quand elle était assistante maternelle sont bien plus âgé.e.s que ces "jeunes" la. J'ai un écart d'âge avec eux (plus de 15 ans) comparable au nombre d'années que j'ai passé avec Ryooki... Toutes mes références musicales issues de mon adolescence sont d'une époque où illes n'étaient pas encore né.e.s. Il y a 20 ans je passais le baccalauréat... Eux n'étaient pas encore en maternelle... Bref. Ça donne un coup de vieux ;) Mon côté geek, très jeune et adolescent facilite toutefois la communication et je passe de bons moments avec eux.

Revers de la médaille, mon expérience, ma maturité, je la constate pleinement dans le cadre de l'encadrement. Je suis rapide, efficace, je vais à l'essentiel. Je sais ce que je veux et parfois je passe plus de temps à expliquer mes attentes et mes exigences que si je faisais la tâche moi même. Mais la personne est la pour apprendre… On rejoint les réflexions du début du billet.
Il y a un certain nombres de choses que j'ai évoqué dans mon billet je suis chef d'équipe tu nous rejoins, je vous renvoie vers celui-ci pour ma propre analyse. La seule chose que j'ajouterai c'est que le côté paternaliste se confirme. Paternaliste mais avec bienveillance. Celleux qui me connaissent le savent bien, j'espère.

Conclusion

Un billet un peu long et un peu fourre-tout, mais c'est aussi ce que certain.e.s d'entre vous viennent chercher ici, non ? ;)

Support Signal vs Silence

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Signal et Silence sont deux applications pour Smartphone permettant de chiffrer les échanges que l'on peut faire par SMS (et en plus par la voix dans le cas de la première application).

Afin d'avoir un support pour des conférences, ateliers ou autres (Support pour aider lors des Cafés vie privée, Chiffrofête, Cryptoparty), j'ai commencé à mettre en place ce support.

Ca reprend au départle billet que Taziden a posté sur son bloghttps://www.libre-parcours.net, qu'il avait mis à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons BY-SA 4.0 International.

J'ai complété ensuite via la reprise de messages de précisions postés dans une discussion par @Sebsauvage sur l'instance Mastodon par Framasoft.

Le support est en LaTEX/Beamer, les sources sont librement disponibles en l'état ici
- Support Signal vs Silence sur Framagit
- Support Signal vs Silence sur Github

Les contributions sont les bienvenues et surtout n'hésitez pas à reprendre et diffusez.

Dans la todo/Raf, il y a entre autre, dans ce que je prévois :
- Ajouter "Comment l'utiliser" avec une présentation d'un premier échange chiffré...
- comment valider le correspondant via sa clef...
- Ajouter des images et illustrations...

Il y a de quoi faire.