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Imprimante 3D: remplacer l'alim de base par une alim ATX

mercredi 7 décembre 2016 à 15:40

Comme je le disais dans mon touit précédent, l'alim de ma primante 3D a lâché lors de la seconde utilisation... Rien de spectaculaire, hein: ni fumée, ni flammes, pas même un petit pouet navré... RIEN. Elle s'est juste éteinte.

Après un test rapide, j'ai bien réussi à faire fonctionner l'imprimante avec une alim ATX: la chauffe est normale et stable, tout semble bien alimenté. Ne me restait plus qu'à me sortir les pouces du cul pour faire un truc pas trop crade.

Je vous mets la procédure que j'ai suivie, au cas où votre alim à vous lâcherait aussi.

Le matériel nécessaire

  1. un interrupteur qui servira à provoquer l'allumage de l'alim
  2. une prise molex mâle qu'on mettra au bout des fils d'alim de l'imprimante.
  3. fer à souder / gaine rétractable / pistolet à colle
  4. et une alim ATX bien sûr...

Préparer l'alim

  1. repérer les fils à relier à l'interrupteur: prise On repère les septième et huitième fils (gris ou vert / noir), on sectionne, on dénude, on gaine, on soude. Il est évidemment important de bien isoler les soudures, vues les tensions de fada qu'il y a dans ces alims .

  2. virer tous les fils qu'on en veut pas qui sont tout moisis: On sectionne proprement tous les autres fils de cette prise à environ 5 cm de la carte. Pour éviter les faux contacts et les court-circuits (il ne faut jamais croiser les effluves, c'est mal), j'ai isolé le bout avec le pistolet à colle puis j'ai gainé par fagots de la même couleur.
  3. virer les prises inutiles en coupant le fil le plus à ras possible et en isolant au pistolet à colle (ce qui renforcera aussi les prises molex)
  4. aspirer l'intérieur de l'alim et refermer

1

2

On peut voir l'interrupteur et les fils noir et gris dans la partie du haut, qui servait à faire passer le fagot de câbles.

Préparer l'imprimante

Après avoir retiré l'alimentation HS, on soude les fils aux bornes correspondantes de la molex:

Une fois les fils soudés, les isoler/fixer au pistolet à colle, histoire d'éviter qu'un mouvement malheureux ne provoque une coupure de jus et ne foute une impression en l'air à 70%... (oui, c'est du vécu )

3

A la fin, ça donne ça : 4

Conclusion

  1. ne jetez rien, ça peut toujours servir: j'en ai eu pour 0€ tout rond... vive la récup' !
  2. c'est moins élégant qu'avant mais ça marche pareil et ça m'a fait économiser une alim à 50 balles...
  3. j'ai un bouton on/off alors qu'avant, non...
  4. aimez-vous les uns les autres et regardez des deux côtés avant de traverser.

Touit du Mardi 6 Décembre 2016 à 19:26:03

mardi 6 décembre 2016 à 19:26

Dans la famille pas de bol, je voudrais le père... Pour mon deuxième test d'impression, l'alim de mon imprimante a fait poufcétout...


J'ai pris contact avec le vendeur et j'attends sa réponse, mais me voilà frustré dans mon élan.
Toutefois, j'ai eu une idée: et si l'alim d'un pc inutilisé avait le même voltage/ampérage que celle de l'imprimante ?


Ben apparemment, oui !



Donc, je raccorde deux fils, je teste la sortie pour voir, avant de brancher... Tout à l'air de baigner.
Je fais un branchement temporaire à mon imprimante et elle démarre !


Bon, alors:

  1. c'est bien l'alim qui merde
  2. cette alim peut faire l'affaire, à tester avec un tout petit objet.
  3. une alim dédiée, neuve coûte entre 30 et 50 €, au pire.


Echanger ?

mardi 6 décembre 2016 à 12:00

Un billet qui m'a intéressé à propos des différences entre les discussions réseau et les discussions irl, la courtoisie et la course à pied (vous comprendrez en lisant ).


J'ai également souvent ressenti l'impression que, si on avait été face à face, le ton et les mots auraient été bien différents... (je me souviens d'un certain commentateur github dont Cyrille se souviendra )

https://www.facebook.com/photo.php?fbid=10155614202438521&set=a.83321793520.71676.661973520&type=3 was blocked

lundi 5 décembre 2016 à 15:58

Gros gros +1...


En ce mercredi, jour des enfants et après deux jours, 4 interventions et autant de débats autour du harcèlement devant des gamins aux yeux parfois rougis de larmes, une petite lettre s’impose :
Cher petit Hanouna,
Pardon pour le qualificatif de "petit", je ne cherche pas à mon tour à te faire passer sous les fourches caudines, mais juste à prendre un peu de hauteur et avec toi, ça va vite.
Si je me permets cette missive, c'est pour te rendre service et t'alarmer sur quelque chose que tu ignores peut-être. C'est vrai, sous les dorures parisiennes, tu n'as peut-être pas conscience des drames qui se nouent dans la vraie vie. Alors voilà, nous sommes quelques uns à travailler au quotidien ou ponctuellement sous les néons fatigués des collèges de la République pour tenter de soulager ce monde de sa pesanteur. Y'a du boulot. L'un des sujets récurrents sur lequel nous sommes appelés à intervenir, c'est celui du harcèlement. Ces humiliations répétées, cette petite torture psychologique, cette stigmatisation des individus perçus comme "faibles", ou pour une couleur de peau, de cheveux, une corpulence, une origine ou une confession. Cette violence verbale ou physique qui, au mieux, peut foutre en l'air une scolarité et, au pire, pousser un scolaire à se foutre en l'air. Tu commences à voir où je veux en venir, petit roi du paf. C'est que tu es très regardé par cette population influençable de collégiens.
Et nous, comme les néons, nous sommes usés et fatigués de constater que tout le travail de fond que nous faisons est sapé par un individu qui n'a peut-être pas conscience que, ce qu'il fait en direct dans son studio parisien, a des conséquences directes dans les cours de recrée et sur les vies des enfants. Parce que les "harceleurs" en culotte courte nous font les mêmes réponses que toi, adulte mature : "c'est pour rire". La même réponse que ceux qui ont poussé cette gamine au suicide ou cet autre enfant à s'immoler par le feu.
Et tout ce que tu fais impunément contribue à banaliser le harcèlement, le tout légitimé par ton chroniqueur sous emprise et contrat de travail. Alors que tu tires le cerveau de nos chères têtes blondes ou brunes vers le bas (bas) est une chose, mais que tu attises la bêtise et la haine en est une autre. NON, humilier quelqu'un même "pour rire" ce n'est pas normal. Et embrasser une fille ou un garçon sans son consentement non plus.
À surenchérir en permanence pour bouffer de l'audimat et vendre du temps de cerveau disponible, tu me fais penser à ces politiques en mal d'exposition médiatique qui cherchent la petite phrase pour exister, avec parfois des conséquences désastreuses dans les quartiers. La question que je me pose pour eux comme pour toi, c'est : est-ce que vous les ignorez ces conséquences ou est-ce que vous vous en foutez ? Est-ce que la vie d'un gamin vaut moins que le prix de l'espace publicitaire pour vendre un paquet de chips ?
Bref, pour employer le jargon que tu t'obstines à utiliser pour essayer de rester proche de ta "cible", le teubé c'est bien toi, et ouais c'est peut-être pour rire, Hanouna, mais en fait, bah c'est pas drôle




Fondant au chocolat vegan, ultra-simple… et tellement fondant ! – Vegactu

lundi 5 décembre 2016 à 13:27

Je copicolle:


Ingrédients

  • Une tasse de compote de pomme
  • Une demi-tasse de sucre
  • 3/4 de tasse de farine
  • Une tablette de 200g de chocolat
  • Une cuillère à café de levure chimique
  • Une pincée de sel


    Préparation :


  • Préchauffer le four à 180°.
  • Faire fondre le chocolat (idéalement au bain-marie, sinon au micro-ondes).
  • Pendant ce temps, mélanger la farine, le sucre, la levure et le sel au fouet.
  • Dans un autre saladier, mettre la compote. Y incorporer le chocolat fondu, mélanger. Y incorporer le « sec » (mélange farine + sucre + levure + sel) progressivement en mélangeant à la cuillère.

  • Facultatif : si vous êtes gourmands, ajoutez selon vos envie ou l’état de vos placard des noisettes, noix de Grenoble ou noix de cajou, des raisins secs…

  • Huiler un moule (idéalement un moule dont le tour se déclipse), y verser le mélange, enfourner.
  • Bien surveiller le temps de cuisson ! Un quart d’heure à 20 min grand maximum selon les fours, ne vous oubliez pas devant votre série préférée !
  • Quand le dessus du gâteau n’est plus brillant, mais mat, enfoncer un couteau : il doit ressortir légèrement humide encore, pour conserver la texture fondante souhaitée.
    Via Le petit bazar du Panda Roux