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Sam et Max

source: Sam et Max

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Test de la JAMBOX de JAWBONE – Petit mais costaud !

mardi 29 octobre 2013 à 16:25

Je suis quelqu’un qui voyage pas mal – pour ceux qui ont suivi le blog je suis actuellement à l’étranger (à l’hotel) et je suis amené à me déplacer dans divers pays – et j’aime avoir un fond sonore quand je code, quand je ramène une petite aussi, quand je me détends, quand je regarde un bon Ghostbusters, bref un peu tout le temps.

Les ordis portables valent pas grand chose en son, de ce que j’ai pu entendre ça manque de basses à mon goût, de profondeur dans les mediums, c’est plutot nasillard.
Mon petit Mac Book Air toussote dès que je pousse un peu le son sur de la musique rock pour aller danser le Jerk, celui de Sam fait pas mieux et j’ai pas envie de me balader avec une chaine Hifi quand je veux mettre un peu de son à l’heure du Ricard.

Il y a de cela quelques mois Sam a acheté une JAMBOX de chez Jawbone, une petite boite rouge toute laide qui ressemble à une brique. Très septique et prêt à lui lancer une de mes fameuses phrases Coféenne “c’est de la merde” je suis resté asser surpris lorsque la petite brique s’est mise en action.

Avec les semaines l’idée de m’en procurer une me turlupina jusqu’à ce que je la trouve dans un “apple store” local pour seulement 95€ (140€ chez Amazon France, c’était une promo). J’ai sauté sur l’occas et je dois dire que je ne suis pas déçu du résultat. C’est parti pour un ptit test !

Le tout en musique!

Ouverturage de la boite:

Jambox unboxed - aux côtés de notre étalon maison

L’ensemble se compose de la jambox, d’un cordon mini jack et d’une alimentation bien foutue avec cordon usb/micro usb. Un peu trop d’emballage à mon goût mais c’est la mode à la “Aiepeulle”.
J’ai pris soin d’y joindre un objet très courant afin de vous donner une idée de la taille.

Bouton on/off, mini jack pour y brancher son smartphone old school ainsi que la prise micro usb de recharge

Pratique les gros boutons de volume pour quand on est cuit...

Sur le côté on a 3 boutons, le bouton on/off et pairing pour la connexion bluetooth, un mini jack pour y brancher un casque, la prise micro usb pour recharger la bête. Sur le dessus le volume avec de gros boutons pour pas se louper quand on est cuit lors de l’apéro.
La Jambox pèse quelques 300 grammes, pas très lourd au final pour le son qui en sort. Pour ce qui est de l’autonomie j’ai pu regarder un film sans problème et elle est donnée pour 10h (ce que je doute quand même, ça reste à tester)

Prise rabatable, pratique pour quand on voyage avec sortie USB

Le chargeur est pas mal car sa prise est rabatable, ceux qui voyages apprécieront, de l’autre côté c’est une sortie USB sur laquelle le cordon d’alimentation USB/Micro USB se branche, là aussi c’est pas mal si on le casse on rachète juste le cordon.

Branchagationnement:

La Jambox peut se brancher soit par la prise mini jack soit par Bluetooth, pour le Bluetooth il suffit de jumeler les deux appareils en suivant la notice :p
Attention! Sous Mac il se peut que le son grésille, j’ai eu ce problème et il faut modifier un fichier de config:

SOUS MAC
Il faut changer le bitrate de la connexion Bluetooth. Dans un terminal:

defaults write com.apple.BluetoothAudioAgent "Apple Bitpool Min (editable)" -integer 48

Redémarrez l’ordi, éteignez la lumière du salon, fermez le frigo, plantez un avocat pas trop mûr dans un bol à choucroute. Le problème devrait être résolu (en tous cas “chez moi ça marche”)

Test en conditions sismiques:

Parfaite tenue de route dans les mediums et les basses ! ça craque les Watts!

La pureté du son n'a d'égal que celle des lignes. Pointu, précis !

Une fois la bestiole connectée je lui ai imposé quelques tests sismo-sismiques qu’elle a remportée haut la main comme vous pouvez le constater sur ces photos.
La première chose qui m’a surpris c’est les basses ! Profondes et moelleuses, à la fois dures et vigoureuses, non y a pas à dire ça vous rendrait un curé hétéro. Moi qui aime bien la deep house et la musique electro en général, je suis resté bluffé, j’ai testé aussi un peu de “classique“, du rock chrétien, du hallal, ça pète bien.

Conclusions:
Un pote est venu un soir et s’est connecté via son smartphone à la Jambox pour lancer sa playlist, c’était plutôt sympa car rapide sans se prendre la tête à trouver un câble, etc. C’est le côté cool du Bluettoth.
Pour le moment je ne vois pas de bémol, même le prix est raisonnable (compter 150€ neuf) et le son est très bon, la bestiole se transporte partout (plage, hotels, pique-nique, etc) et l’autonomie est (sur le papier) très acceptable.

Aller une dernière…

la pureté des lignes...

A vous cognac Jay!

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Encore une pause

lundi 28 octobre 2013 à 09:20

En ce moment c’est de la publication en pointillés, pas mal de déplacement, etc.

Bref, tout ça pour dire qu’on se retrouve le 5 ou le 6. Là, je me casse.

Mais Max m’a parlé d’un petit article sympa…

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Évitez A TOUT PRIX le site airbnb

dimanche 27 octobre 2013 à 08:11

On m’avait dit beaucoup de bien de ce site, qui permet de trouver des logements pas chers chez l’habitant dans tous les pays du monde.

Effectivement, c’est bien foutu, c’est propre et lisible, et il y a du choix. Alors, partant quelques jours avec une copine en voyage, je me suis dis que ça se tentait.

A l’inscription, à la réservation, un long form à remplir, avec la carte à rentrer, la caution de 70 euros dans les dents, les frais que prend airbnb qui se rajoutent en dernière minute à la facture, etc. Bon, c’est du classique, pas de quoi en faire un fromage.

Là où ça se corse, c’est qu’APRES tout ce merdier habituel, je reçois une notification me signalant que ma réservation n’était pas envoyée.

WHAT ?

Et non ! Il faut maintenant passer par un stade de “vérification”, pour votre sécurité, messieurs-dames.

A chaque fois que je lis “pour votre sécurité” (sur les panneaux signalant les caméras, les radars, sur les formulaires, sur les contrats, etc), j’ai des envies de meurtre. Je voudrais trouver le mec qui a écrit ces lignes et lui faire bouffer sa connerie pour voir si elle a un goût de sécurité.

D’abord, uploader un document d’identité.

Arg.

Bon, admettons, le mec va t’accueillir chez lui, tout ça, ils veulent rassurer le chaland. Ça fait grincer les dents du voyageur que je suis ce lissage des pratiques, mais je me soumet à l’exercice. C’est comme ça qu’on appâte le main stream et qu’on a plus de choix, moins cher.

Next page, demande de photo de profile obligatoire, publique.

Mais fuck !

J’ai pas envie que mon nom, mon prénom (qu’ils m’ont demandé, et affichent sans me prévenir dans mon profile) et ma photo soient sur le net, bordel.

Je mets un avatar de merde en espérant que les modos le voient pas.

Mais attention, il y a encore deux étapes !!!

Étape 3, pour des raisons de sécurité de mes couilles, il faut lier un compte en ligne. Mais tu te fous de ma gueule ???

Je lies un compte de test qui me sert à rien, un compte gmail de spam. Ils demandent évidement la permission de gérer mes contacts, parce que bien sûr, c’est indispensable… Toujours effectuer une sodomie après un prélèvement sanguin. C’est pour votre sécurité.

Et pour finir, faire une vidéo de 10 secondes avec ma cam, me présentant.

VAS TE FAIRE FOUTRE !

(en plus leur applet flash ne marche sous aucun nav sous Linux)

La seule bonne nouvelle, c’est que la fonction “supprimer le compte” est facile à trouver.

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WARNING: File not found. Did you forget to save?

samedi 26 octobre 2013 à 09:58

Un lecteur nous a rapporté ce problème quand il utilisait la commande magique %edit dans IPython avec Sublime Text.

Magie d’internet, un autre lecteur lui a répondu en comment, mais je me dis que donner un peu de visibilité à la réponse peut pas faire de mal, vu que je n’ai pas trouvé facilement la solution via Google DuckDuckGo.

L’idée est tout simplement d’utiliser l’option -w dans la ligne de commande pour appeler l’éditeur. En effet, sans cela l’appel à ST est non bloquant, et IPython perd la référence au processus sans avoir de valeur de retour.

Par exemple, dans votre ipython_config.py :

c.TerminalInteractiveShell.editor = "sublime_text -w"

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Afficher l’IP d’un visiteur – Django vs Nginx

vendredi 25 octobre 2013 à 05:53

Lorsque l’on veut connaitre son ip on fait souvent appel à des sites du genre: whatismyip.com, mon-ip.com ou on utilise un ifconfig en ssh.
Des fois on a aussi besoin de connaître l’ip d’un visiteur sur son site, 2 petites méthodes pour le faire sous Django et Nginx.

Sous Django:

Dans l’Urlconf

urlpatterns = patterns('',
    # return client IP
    url(r'^my_ip$', get_ip),
)

Créez une vue du nom de get_ip qui sera utilisée par l’urlconf

from django import http
 
def get_ip(request):
    """
        Vue qui retourne l'IP du client
    """
    try:
 
    	# récupère l'ip du client
        return http.HttpResponse(request.META["REMOTE_ADDR"] )
 
    except Exception, e:
        return http.HttpResponse('error %s' % e)

Le code ci-dessus peut retourner l’adresse locale (127.0.0.1) dans ce cas il faut tester l’existence de la variable HTTP_X_REAL_IP, certains serveurs web ont besoin d’être configuré.

Sous Nginx:

Dans le fichier de configuration de nginx on écrit une nouvelle location

# return client ip
location /my_ip {
    default_type 'text/plain';
    content_by_lua 'ngx.print(ngx.var.remote_addr)';
}

il suffit de se rendre à l’url http://monsite.com/my_ip pour voir s’afficher son ip. Cependant il faut avoir nginx compilé avec le module Lua ce qui peut être délicat si l’on a jamais compilé d’application.


Conclusion:

Si l’on s’en réfère aux deux exemples ci dessus on serait tenté d’utiliser Nginx car en une seule ligne tout le bazar est réglé.
Le hic c’est qu’il faut que Nginx soit compilé avec le module Lua pour afficher l’ip (sauf si quelqu’un connaît une autre façon d’afficher un message de sortie).
La version Django n’est pas fiable à 100% car suivant comment est configuré votre serveur web il se peut que vous vous retrouviez avec une ip du genre 127.0.0.1.
Il y a aussi la possibilité de parser le résultat des sites web cités en tout début d’article, certains proposent des Api je crois mais vous dépendez d’un autre service (on faisait ça au début) qui peuvent vous lâcher à tout moment (ce qui nous est arrivé).
Personnellement je compile toujours nginx avec Lua et quelques autres modules, ça permet de s’affranchir de plus en plus du backend.

PS: j’ai mis à jour le titre car il laissait sous-entendre autre chose (merci à Sébastien)

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