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[Windows 10] Réinstaller les apps « Metro » de Windows 10

lundi 19 octobre 2015 à 15:00

Si vous avez supprimé toutes les applications (« apps« ) préinstallées de votre Windows 10 (en suivant l’article de CZS à cette adresse par exemple), vous pouvez toutefois les réinstaller en utilisant un utilitaire fournit par Microsoft.


Vous devez au préalable télécharger le script permettant de réinstaller les applications de Windows 10 via le site de Microsoft en suivant ce lien.
Il s’agit d’un fichier .zip contenant un fichier .ps1, un script Powershell.

Extrayez le fichier .zip – avant d’utiliser le script fournit pour réinstaller toutes les apps de base, vous devez descendre le niveau de sécurité de PowerShell…

Ouvrez le « Windows PowerShell ISE » (dans les accessoires Windows, ou via une recherche dans Cortana) et saisissez la commande suivante :

Set-ExecutionPolicy Unrestricted

Lorsque la commande est passée, vous pouvez faire un clic droit sur le script « reinstall-preinstalledApps.ps1 » téléchargé précédemment, puis de cliquer sur « Exécuter avec PowerShell« .

reinstall_in-progress

L’opération prend peu de temps, les applications sont toujours en cache sur votre PC même en les désinstallant « complètement »…
Une fois la fenêtre PowerShell fermée, l’installation des apps est terminée !

Veillez toutefois à remettre en place la sécurité PowerShell via la commande « Set-ExecutionPolicy AllSigned« .

Source

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[pfSense] Remonter le routage au démarrage de pfSense

dimanche 18 octobre 2015 à 12:30

Quand pfSense redémarre, le routage statique que vous avez pu mettre en place via le Shell sera supprimé automatiquement. Il est possible de « figer » ce routage et le récupérer au démarrage de pfSense via un plugin spécifique.


Shellcmd est utilisé dans ce cas pour un pfSense sur un serveur dédié chez Online.net – J’ai donc repris l’exemple et l’architecture de ce lien – ComputerZ Solutions > Mise en place d’un routeur pfSense en frontal sur un dédié Online.net avec ESXi – Toutefois, les manipulations restent les mêmes vis-à-vis de shellcmd, ce sera à vous d’optimiser / modifier vos lignes de commandes en fonction de votre installation.

I. Installation de l’utilitaire via l’interface web

Le paquet concerné s’intitule « shellcmd« . C’est grâce à cet utilitaire que vous pourrez lancer des commandes shell quelconques qui se lanceront en même temps que le démarrage de pfSense. C’est la seule et unique méthode « simple » (à la portée de tous) pour que pfSense puisse recréer le routage que vous avez effectué.

Pour ce faire, connectez-vous dans l’interface web de pfSense – dirigez-vous dans le menu « System » et cliquez sur le lien « Packages« .
La liste des paquets disponibles va alors se mettre à jour ; lorsque la liste est chargée, descendez dans cette liste jusqu’à la ligne « shellcmd ». Un bouton à droite de cette ligne est présent pour que vous puissiez installer l’utilitaire.

0_nom-paquet

L’installation est assez rapide. L’interface web de pfSense risque de redémarrer pour prendre en compte les modifications, pour que vous puissiez utiliser l’utilitaire. Il n’est pas nécessaire de redémarrer intégralement le serveur à cette étape.


II. Utilisation du paquet shellcmd

1_menuPour retrouver shellcmd, dirigez-vous sur le menu « Services » et enfin, cliquez sur le lien « shellcmd« .
Une fenêtre va alors s’afficher, pour vous présenter les lignes de commandes shell déjà présentes – à cette étape, vous devriez avoir un tableau vide, puisque le paquet vient tout juste d’être installé sur votre serveur.

L’idée, c’est d’ajouter les deux règles de routage utilisées lors du premier démarrage de pfSense pour avoir internet sur le serveur et le redistribuer par la suite via du NAT.
Pour ajouter ces règles, il faut cliquer sur le petit bouton gris « + » à côté du tableau. Un (très simple) assistant va alors s’ouvrir


La commande que vous souhaitez lancer au démarrage de pfSense est à saisir dans la ligne « command« .
Je vous conseille fortement d’ajouter des descriptions à vos commandes, ne serait-ce que pour vous rappeler de l’objectif de la commande…

2_ajout-regle

Pour rappel, les commandes à saisir pour le routage sur un pfSense installé sur un dédié Online.net sont les suivantes :

route add 62.62.62.1/32 -link -iface em0
route add default 62.62.62.1

Vous ne pouvez ajouter qu’une seule commande à la fois. Vous devrez donc répéter la procédure autant de fois que vous avez de commandes à passer au démarrage.

Les explications complémentaires quant aux lignes ci-dessus sont dans l’article suivant : ComputerZ Solutions > Mise en place d’un routeur pfSense en frontal sur un dédié Online.net avec ESXi

Ainsi, pour mon serveur, voici ce que rend mon tableau au final :

3_recap-regles

pfSense sera en mesure de lancer ces deux commandes au démarrage, avant l’initialisation des cartes réseaux – Le routage sera alors effectif une fois les cartes réseaux montées et l’internet sera accessible sur le serveur, y compris pour le réseau qui est « natté » derrière pfSense.

Le test à effectuer quant à cette mise en place est très simple : redémarrez votre serveur pfSense ; Une fois le démarrage terminé, vous devriez avoir internet sur votre pfSense et votre réseau « natté », sans avoir eu besoin de ressaisir une nouvelle fois les commandes de routage.

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Build 10565 de Windows 10 – Quoi de neuf sur l’OS ?

vendredi 16 octobre 2015 à 10:00

Une nouvelle build Windows 10 est apparue pour les Insider Microsoft sur le Fast ring – Elle est numérotée 10565 et apporte son lot de nouveautés.

Microsoft prend toujours en comptes les avis et critiques de ses utilisateurs pour faire avancer son système d’exploitation dans le bon sens. Cette nouvelle version de Windows 10 (qui est une version beta) présente de nouvelles fonctionnalités bienvenues.

Voici la liste des modifications flagrantes de cette build :

En somme, ce sont quelques petits détails qui font avancer Windows dans le bon sens ! Edge prend de plus en plus de maturité, même s’il n’est pas encore ouvert aux extensions et applications tierces (ce qui ne saurait tarder).

Source

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Patch Tuesday – Octobre 2015

mercredi 14 octobre 2015 à 19:13

Le Patch Tuesday d’octobre 2015 s’avère une édition légère. En effet, il ne comprend que six bulletins, mais concernent tous les produits phares.

Un bulletin critique pour Internet Explorer (mais pas pour Edge), un bulletin pour Office, victime de vulnérabilités à base d’exécution de code à distance (RCE), ainsi qu’un correctif pour remédier des vulnérabilités dans le noyau Windows qui autorisent une élévation des privilèges.En outre, ce Patch Tuesday résout un problème intéressant dans le shell Windows qui autorise aussi l’exécution de code à distance. Toutes les versions de Windows et Office, sont concernées sauf qu’aucun paquet logiciel supplémentaire avec des mises à jour (.NET, logiciel serveur, etc.) n’est disponible ce mois-ci.

Analyse par Wolfgang Kandek, CTO , Qualys, Inc. (wkandek)

qualys


Commençons par Internet Explorer qui figure en tête de notre liste interne des priorités. Le bulletin MS15-106 fournit 15 correctifs pour des vulnérabilités dont neuf sont critiques car pouvant entraîner des exécutions de code à distance (RCE) si l’un de vos utilisateurs se rend sur un site Web malveillant. Déployez cette mise à jour de sécurité en priorité sur toutes les plates-formes affectées, depuis Vista et IE7 et jusqu’à Windows 10 et IE11.

Les bulletins MS15-107 et MS15-108 sont associés au bulletin pour Internet Explorer. MS15-107 est une nouvelle version pour le nouveau navigateur Edge, mais ce bulletin de sécurité ne contient que 2 correctifs plutôt mineurs : une fuite d’information ainsi qu’une mise à jour pour le filtre XSS. MS15-108 reprend quatre des problèmes traités par le bulletin MS15-106 pour les machines qui exécutent une autre version de JavaScript, principalement Internet Explorer 7.

Les bulletins MS15-109 et MS15-110 sont plus importants et méritent toute votre attention. Commençons par le MS15-110. Ce dernier résout six problèmes sévissant dans Office (essentiellement Excel), dont cinq entraînent une exécution de code à distance. L’utilisateur est invité à ouvrir une feuille de calcul Excel contenant un exploit pour l’une de ces vulnérabilités, ce qu’il fera sans trop hésiter si les feuilles de calcul présentent par exemple des informations produits pertinentes, des tarifs et encore des remises de fournisseurs concurrents (je reçois environ un e-mail par semaine avec ce type d’information). Le bulletin MS15-109 traite une vulnérabilité dans le shell Windows qui peut être déclenchée via un e-mail et une navigation Web et qui, en cas d’exploit réussi, fournira une exécution à distance RCE à l’attaquant.

Quant à la mise à jour MS15-111, elle gère des vulnérabilités à base d’élévation locale de privilèges sous Windows, ce qui affecte une fois encore toutes les versions de Windows depuis Vista jusqu’à Windows 10. Les attaquants utiliseront ce type de vulnérabilité pour accéder au niveau système, une fois qu’ils auront pris le contrôle de la machine ciblée.


En résumé : appliquez le patch MS15-106 pour Internet Explorer en priorité, puis MS15-110 pour Excel. Ensuite, le bulletin MS15-109 pour le shell Windows. Les autres bulletins sont moins critiques et peuvent être déployés dans le cadre de votre cycle de patch normal.

Enfin, Adobe a également publié des mises à jour pour Adobe Reader et Flash : APSB15-24 pour le Reader et APSB15-25 pour Flash. Ces bulletins traitent plusieurs vulnérabilités critiques (plus de 50 pour le Reader) qui permettraient à un attaquant d’exécuter du code dans le contexte de l’utilisateur. Nous recommandons la correction immédiate du Flash. D’autre part, la sandbox d’Adobe renforce le durcissement de sa visionneuse PDF car depuis plus d’un an des fichiers PDF sont utilisés pour lancer des exploits à l’aveugle. Corrigez dans le cadre de votre cycle de patch normal.

Quant à Oracle, il publiera sa mise à jour de patchs critiques (CPU) le 20 octobre…

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Microsoft Surface Pro 3 – La tablette professionnelle HDG

mercredi 14 octobre 2015 à 10:00

La tablette de Microsoft, la Surface Pro 3 est résolument un matériel haut de gamme, pour les professionnels mobiles et désirant avoir un outil de travail aussi puisant que robuste.

DSC_0289

Bien qu’estampillée / badgé Microsoft, cette tablette est surprenante de par son design que sa puissance !
Il s’agit  d’un matériel agile et pouvant répondre à la majorité des besoins des professionnels. Le modèle testé fait partie du milieu de gamme.


I. Caractéristiques du modèle testé

Type Composants
Processeur Intel® Core™ i5-4300U (1,9 GHz (Turbo @ 2,9 GHz), 3 Mo de cache, 2 cœurs 4 core)
RAM 4 Go de SDRAM DDR3L 1600 MHz
Carte graphique Chipset graphique Intel HD 4400
Disque dur SSD 128 Go
Réseaux Intel WiFi Dual Band 7260 802.11ac + Bluetooth 4.0
Connectique 1x USB 3.0
1x Prise audio jack
1x Mini DisplayPort
1x Port propriétaire pour l’accessoire « Cover »
Extensions Lecteur de cartes microSD
Lecteur optique
Accessoires Stylet Surface
Ecran Écran tactile 10 points Full-HD 12″ – Résolution 2160 x 1440 px
Dimensions
(l x L x h)
~ 29 cm x ~ 20 cm x ~ 9 cm
Poids ~ 800 g
Autres Caméra frontale 5 Mpx & caméra arrière de 5 Mpx
Capteur de luminosité ambiante, Accéléromètre, Gyroscope, Magnétomètre

La fiche technique pour cette tablette est digne d’un PC portable actuel – Un processeur de 4 ème génération, le strict minimum en mémoire vive.
Avant de tester les performances de la tablette, retour sur son design.


II. Design « général »

La Surface Pro 3 respecte les lignes directrices des autres Surface, le style ne change pas profondément. On se retrouve donc avec une tablette rectangulaire, fine et disposant de bords assez fins au niveau de l ‘écran.

DSC_0285

Le bouton en façade de la Surface est tactile – Il vous permet de récupérer le menu démarrer rapidement. Le bouton n’est pas rétroéclairé (dommage mais ce n’est qu’un détail).

Sur la tranche supérieur, vous avez un bouton pour allumer la tablette et un autre bouton pour régler le volume. Les boutons sont bien incrustés dans la tablette et ne gâche en aucun cas l’arrête.

Enfin, le dernier point important de cette tablette réside dans son pied. Sur l’image ci-dessus, la Surface est positionnée de façon « haute » grâce à son pied rétractable directement incorporé au dos de la tablette. Plusieurs niveaux sont disponibles, vous pouvez ainsi redresser ou « aplatir » la tablette selon vos besoins.


III. Performances et utilisation

Le Intel Core i5 de ce modèle fait toujours un peu peur au niveau des performances « sur le papier », compte-tenu de sa fréquence d’horloge qui culmine seulement à 1,9 GHz de base (mode Turbo automatique pouvant aller à plus de 2,8 GHz). Avec ses 4 threads, les applications de bureautique se lancent très rapidement, de même lorsque l’utilisation est plus poussée que la normale.
Grâce à son SSD, les performances sont décuplées, comme tous les PC disposant d’un disque SSD.

La Surface Pro 3 n’est pas une tablette de joueur ou de graphiste. Vous pouvez certes utiliser de telles applications, mais vous ne pourrez pas avoir une expérience aussi agréable que sur un PC réellement adapté pour ce genre d’usages.

En utilisation de tous les jours, que ce soit en mode tablette (sans le clavier) ou en « vrai » PC portable, c’est un réel plaisir que d’avoir la Surface Pro 3 entre les mains ! Vous pouvez la transformer à la volée en tablette ou PC selon les cas et les envies, passer la tablette en mode « Portrait » et bien entendu, utiliser toute la puissance tactile grâce à Windows 10 !


IV. Connectique

Ce n’est pas parce que la Surface Pro 3 est une tablette qu’elle n’est pas bien équipée, bien au contraire ! Une prise USB 3.0, une prise Mini DisplayPort et une prise Jack pour casque !
C’est tout de même rare d’avoir cette prise USB 3.0 directement intégrée sur la tablette, soulignons-la !

Le Wi-Fi et le Bluetooth 4 vous permettront de connecter la tablette partout où vous le souhaitez, y compris avec des matériels compatibles Bluetooth.

Autre point important, le port propriétaire sous la tablette : il est utilisé pour connecter la Surface Pro à son dock.


V. Accessoires

Pour ce tests, trois accessoires ont été pris en même temps que la tablette. Il s’agit du stylet (fournit de base avec la tablette), le clavier « Type Cover » et enfin la station d’accueil.

Le stylet fournit avec la tablette dispose d’une fonctionnalité intéressante : Lorsque vous appuyez sur le bouton du stylet, vous ouvrirez instantanément une nouvelle note OneNote sur la Surface ! Très utile !
En bref, il s’agit d’un stylet « simple », en plastique, léger et disposant d’une mine fine et dure.


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Dock station

DSC_0283Cette station d’accueil est très simple d’utilisation : vous devez tirer les les deux côtés du dock vers l’extérieur pour avoir l’espace suffisamment grand pour y glisser la tablette. Une fois la tablette mise en place, il ne vous restera plus qu’à « resserrer » les côtés du dock.
Le dock permet de recharger la tablette mais aussi de d’étendre le bureau vers un autre écran en Display Port – il est possible de chaîner les écrans via les prises DisplayPort (si vos écrans supportent cette fonctionnalité).

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Vous ne pouvez pas modifier l’inclinaison de la station d’accueil.


Le clavier « Type Cover » est un clavier « simple », intégrant un touchpad et est aimanté « sur » la tablette. Un « clac » se fera entendre lorsque le « Type Cover » sera bien arrimé à la tablette.
L’ergonomie de ce clavier est à revoir – les touches sont très plates et bien « trop collées ». Il s’agit toutefois d’une habitude à prendre.

Heureusement, le Type Cover de la Surface Pro 4 dispose d’un clavier de type « Chiclet ».


VI. Verdict

Avantages


Inconvénients


VII. Conclusion

La Surface Pro 3 de Microsoft est surprenante de par son design et sa puissance ! L’éditeur Microsoft (qui est le précurseur des tablettes professionnelles 12 pouces) a fait un (nouveau) pari gagnant pour cette nouvelle fournée !
La tablette est véloce, belle et addictive. Elle peut aisément remplacer un PC portable grâce à son clavier « Type Cover » mais aussi devenir une véritable petite station d’accueil grâce au dock.

J’ai toujours eu du mal avec les tablettes, je ne suis pas particulièrement fan du concept mais je reconnais que la Surface Pro 3 peut me faire changer d’avis sur les tablettes.
Avec un tel matériel, les professionnels ayant le besoin d’avoir du matériel mobile et agile, la Surface Pro 3 est à prendre !
Un matériel similaire serait la HP Elite X2 1011 (le test de ComputerZ Solutions à cette adresse), hormis la taille de l’écran, c’est le même type d’appareil.

Et vous, avez-vous eu l’occasion de tester cette Surface Pro 3 ?

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