Wow, sacrée compil' ! et des bonnes prises d'image !
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> La société future (de 1992) que décrit Dick (en 1966 ou 1969) est celle d’un monde complètement capitaliste : les vrais dirigeants ne sont pas les chefs d’État qui se distinguent par leur absence. Mais les chefs d’entreprises tentaculaires quasi-monopolistiques.
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> « Pourquoi est-ce que tu me regardes de cette façon
> — De quelle façon Maggie ?
> — Comme tu viens de le faire à l'instant.
> — Je ne me suis même pas rendu compte que je te regardais.
> — Moi je m'en suis rendu compte.
> — Qu'est-ce donc ai-je faite avec toi ? Où ai-je tant commis mon erreur ? Est-ce que tu écoutes ce que je dis ?
> — Oui Maggie , je t'écoute. Mais je réfléchissais à quelque-chose.
> — Si tu penses à la même chose que moi.
> — Non Maggie… Il faut vous en aller Maggie… Tu serais heureuse de vivre seule ?
> — Non, pour rien au monde. Si encore tu devenais laid, ça serait moins dur. Les hommes qui boivent le deviennent, toi c'est le contraire. Je crois que tu es devenu encore plus séduisant depuis que tu t'adonnes au Whisky. Tu étais un si merveilleux amant. C'était si grisant d'être amoureuse de toi. Peut-être parce que tu n'étais pas indifférent. Je ne vois que toi, je ne peux pas en voir d'autres. Les yeux fermées c'est encore toujours toi que je vois. Ah si jamais j'avais la certitude que plus jamais tu ne ferais l'amour avec moi, je crois que je sauterais dans la voiture, j'irais droit devant moi jusqu'à la côte et sans hésiter je me jetterais à l'eau. Oui, je te le jure.
> — Prends un amant.
> — J'ai pas mérité que tu me dises ça. Oh [???]. J'ai la sensation d'être si seul. Aaah, pourquoi est-ce que tu ne deviens pas laid. Arranges-toi pour t'engraisser ; fais quelque-chose pour que je puisses te regarder sans te désirer. Tu sais, toute ma jeunesse j'ai connu l'indigence la plus sordide et la plus ignoble. C'est la vérité, crois moi.
> — Vraiment Maggie.
> — Toi tu ignores ce que c'est d'avoir à l'écher les bottes des gens que tu détestes à cause de l'argent qu'ils représentent. Toi tu ignores ce que c'est d'être toujours fait de [???]. La pauvreté n'est rien quand on a 20 ans. Mais lorsque l'on devient vieux, il faut de l'argent.
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Pour bien comprendre comment ça fonctionne.
Freins à disques, à tambour, les étriers, le maître cylindre, les plaquettes, le levier, #toussa
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> « Lors d'un accident on sait généralement quand il a eu lieu, qui est impliqué et dans certains cas comment il est survenu, mais le *pourquoi* n'est jamais abordé. »
> « 50% des accidents entre un deux-roues motorisé et une voiture sont dus à une erreur de l'automobiliste (qui dans 70% des cas n'a tout simplement pas vu le deux-roues) tandis que dans 37% des cas l'erreur est imputable au conducteur du deux-roues motorisé lui-même. »
> « **Vraie fausse surprise** […] facteur aggravant en cas de chute, la vitesse n'apparaît pas comme un facteur déterminant dans les accidents de moto. Dans 75% des cas, la vitesse […] [était] égale ou inférieure à 50 km/h,[…] seuls 5,4% des accidents ont été causés par une vitesse du deux-roues supérieure ou égale à 100 km/h. »
> « **Le jour le plus sûr**. En raison du retour des beaux jours et du manque de pratique pendant l'hiver, le mois de mai est statistiquement le plus dangereux, suivi par juin et septembre. »
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Des notes connues !
Un certain krs !
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> Au XIVe siècle, une « dalle » était une sorte de gouttière. Au sens figuré, il s’agissait de la gorge, l’œsophage. Ainsi l’expression « **avoir la dalle en pente** » signifiait-elle « boire souvent et beaucoup d’alcool ». Vers la fin du XIXe siècle est apparu « **avoir la dalle** », dont le sens est « avoir un gros appétit ». Aujourd’hui, on emploie cette expression pour dire qu’on a très faim.
> « Avoir la dalle » peut faire allusion à celle que l’on a au ventre, le ventre vide d’une grande faim faisant ressentir une sorte de « barre » à l’estomac, de sorte que quand on dit « **que dalle** », cela peut avoir d’abord signifié « rien que la faim », « rien à se mettre sous la dent » (allusion au geste la faisant résonner avec l’ongle du pouce), puis simplement « rien du tout ». « **Crever la dalle** » pourrait avoir d’abord signifié « crever la dalle au ventre ».

C'est marrant ces expressions : avoir la dalle, que dalle, crever la dalle, ... Je ne soupçonnais pas cette origine commune.
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> I'm a poor lonesome cowboy
> I've a long long way from home
> And this poor lonesome cowboy
> Has got a long long way to home
>
> Over mountains and over prairies
> From dawn 'til day is done
> My horse and me keep riding
> Into this settin' sun
>
> I'm a poor lonesome cowboy
> But it doesn't bother me
> 'Cause this poor lonesome cowboy
> Prefers a horse for company
>
> Bot nothing against women
> But I wave them all goodbye
> My horse and me keep riding
> We don't like being tied

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> Je suis un pauvre cow-boy solitaire
> Je suis loin très loin de la maison
> Et ce pauvre cow-boy solitaire
> A beaucoup de chemin pour rentrer
>
> A travers des montagnes et les prairies
> de l'aube jusqu’au crépuscule
> Mon cheval et moi continuons à aller
> Dans ce soleil couchant
>
> Je suis un pauvre cow-boy solitaire
> Mais ça ne me dérange pas
> Parce que ce pauvre cow-boy solitaire
> Préfère avoir un cheval pour compagnie
>
> Mais rien contre des femmes
> D’un signe de main je leur dis au revoir
> Chevauchant sur mon cheval
> Nous aimons la liberté
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Pas mal ça, ça donne envie d'essayer !
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> LNLM : Sur quelle moto avez-vous commencé à rouler ?
> Mélusine : J’ai commencé avec la Varadedro 125, un coup de foudre pour cette petite moto que j’ai aimé et gardé même avec le permis.

Wouhou ! La Vara ! C'te moto !

> LNLM : L’accessoire indispensable pour vous ?
> Mélusine : Le foulard, il se transforme en paréo, en sac, en serviette, protège mon cou du froid, mes épaules du soleil, mes cheveux de la crasse, sert de filtre à particules contre la pollution quand je roule ( enfin j’aimerais bien les grosses en tout cas).

Je l'ai appris de la rando aussi. Le foulard permet de faire plein de choses !
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Ahlala !
Encore un doubleur trop connu !

Et oui, ce soir je revisionnais *Léon* et je me dit... « tiens, tiens, je reconnais la voix de l'inspecteur interprété par Gary Oldman... mais oui ! c'est la voix du méchant dans le Cinquième Élément »

Et hier soir j'ai bien fait d'avoir regardé *8MM* en anglais car Nicolas Cage et aussi doublé par ce gars. En tout cas, il a fait un paquet doublage de films !
Alore sérieux, regardez vos films en VO
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Ma réponse :
non !

via https://dattaz.fr/shaarli/?XVFoTA
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