source: Idleman
On m’a fait la remarque à plusieurs reprises que les commentaires n’étaient peut-être pas l’endroit idéal pour discuter de certains posts comme la série sur le raspberry PI.
Il est vrai que la recherche d’information est assez désespérante et pousse à la redondance cyclique de l’expression du besoin pourtant maintes fois évoqué (pardon, je m’entraine à faire des phrases pipeau pour ma thèse).
Soit…
Parce que ça ne coûte pas grand chose d’essayer et parce que ça pourrait donner lieu à des échanges intéressants (ou mourir dans une totale indifférence ) j’ai ouvert un ptit forum gracieusement nommé : La Taverne.
J’ai appelé le forum comme ça pour une deux simples raisons :
Premièrement c’est historique (la taverne existe depuis des millénaires quelques années et fut un temps utilisée par mes potes et moi même, oui, je sais: osef)
Deuxièmement (et c’est le plus important) parce que j’aimerais que ce soit un peu plus convivial qu’un simple forum où l’on pose sa question et où l’on se barre impitoyablement sans jamais rendre la pareille.
Si vous êtes sur la même longueur d’onde que moi n’hésitez pas à vous inscrire, le but du forum étant de répondre en partie aux questions que l’on peut se poser mais aussi présenter ses projets, en planifier avec d’autres poivrots (ah oui, un user de la taverne a le rang poivrot… je vous avais dit que je vous ferais rêver).
De plus n’hésitez pas a postuler en tant que videurs (modérateurs), ce rang n’ayant pas pour but d’abattre les trolls (ils évitent généralement le blog) mais pour répondre aux questions des lecteurs un peu perdus dans les tutos.
Le forum est dispo à cette adresse : forum.idleman.fr (oui, j’ai fait dans l’originalité ) un bouton devrait apparaître sur le blog sous peu.
Je dois bien l’admettre, jusqu’à aujourd’hui, je n’avais rien contre Travis Weston…
En toute sincérité, je ne connaissais même pas ce cher monsieur Weston avant ce soir 00h11 lorsque, ayant changé de thème et souhaitant ajouter un “lire plus” WordPress automatiquement afin que mes articles s’affichent en résumé sur la home, je me suis tourné vers le premier plugin disponible via Google : Auto More Tag de ce cher monsieur Weston.
Sauf que voila, à trop faire confiance à de totals inconnus, on finit par se faire (passez-moi l’expression) lubrifier transversalement le rectum par un néophyte inconscient qui fait absolument n’importe quoi avec son code…
Le plugin en question, non content de toucher à ma base de données en écriture sans m’avertir de quoique ce soit (sachant qu’il n’avait aucun besoin de faire ça pour ce que je lui demandais), m’a supprimé tous mes articles en une fois et ne m’a conservé que les 200 premiers caractères de chacun en base…
Pas de sauvegarde de la base faite au préalable par le plugin donc aucun moyen de retour possible…
Fort heureusement j’avais une sauvegarde du blog datant du 5 mai, que j’ai pu restaurer en 1h30 (parce que 214 articles, 4116 commentaires et autres ptites infos annexes c’est pas simple à faire avaler à phpmyadmin en une fois) mais j’ai tout de même perdu tous les articles et commentaires du 5 Mai à aujourd’hui.
Parce qu’il faut bien que je décharge ma haine sur quelqu’un, aujourd’hui Monsieur Weston, c’est toi qui va prendre, aussi j’ose croire que tu ne me tiendras pas rigueur des quelques sobriquets suivants :
Vile scolopendre !!
Mirmillon de petits vers insignifiants !!
Suceur de cacahuètes 0%!
Développeur à la petite semaine!
Face de truite au soleil et vieux lacet défait !
Je vomis sur tes pantoufles en crocodile et mixe ton chat avec un ouvre boite rouillé de chez Lidl!!
*ça défoule*
Évidemment je peux également m’en prendre à moi, pour avoir installé les yeux fermé un plugin sans faire de backup avant par exemple, pour me soulager la vessie (au figuré) sur ce gentil (mais néanmoins inconscient j’insiste) développeur bénévole de Travis Weston, mais je m’aime beaucoup trop pour ça, aussi je laisse le soin à ceux qui avait un commentaire ou un article en cours de validation (et donc qui sont perdus) de m’insulter copieusement dans les commentaires.
Bien à vous.
Idle
Ps: Comment trouvez-vous mon nouveau thème très violemment pompé du thème par défaut wordpress ?
Article rédigé par le lecteur Sébastien DELPORTE
Hello à tous,
Voici mon second post cet excellent blog que je suis depuis un petit moment.
Afin de nous préparer dignement à l’arrivé de DropCenter, je vous propose de nous installer un serveur de donnée sécurisé.
L’objectif est donc de recycler un vieux PC pour en faire un serveur de donnée. J’entends par là que celui-ci doit pouvoir supporter un crash disque sans perte de donnée, qu’il possède un PHP,MySQL …. enfin comme c’est un serveur il n’y aura ni clavier, souris et écran donc l’administration se fera à distance et les services enverrons des mails en cas de problème.
Personnellement j’ai un vieux pentium 2 core avec 4gb de ram qui suffira amplement pour cette utilisation mais n’importe quel PC fera l’affaire.
Puis j’ai récupéré tous mes vieux disques qui trainaient partout.
Pour sécuriser des données rien de mieux que de monter un RAID…
Non non ici pas de gendarmes, mais simplement une redondance de données et un calcul de parité entre les disques pour sécuriser les données :
Ce raid protège donc les données et à l’avantage d’accroitre la vitesse en lecture ( la tête est lue sur 1 disque et le reste du corps sur l’autre)
Pour ceux qui aime le détail : http://fr.wikipedia.org/wiki/RAID_(informatique)#Les_diff.C3.A9rents_types_de_syst.C3.A8mes_RAID
Cela consiste à mettre un disque en réserve dans la grappe du raid, si un disque crash le disque en spare prend automatiquement sa place.
L’objectif étant de récupérer le matériel, j’ai choisi linux pour OS (Ubntu server), le contrôleur de ma carte mère ne gérant pas le RAID j’ai choisi de faire un raid logiciel.
(En fait dans tous les cas j’aurais choisi un raid logiciel pour m’affranchir de la partie matériel car les contrôleurs ne sont pas forcément compatibles entre eux)
Ben oui et non … nous devons connaître leur état de santé pour savoir le niveau de risque pris.
La majorité des disques durs sont équipés de la technologie dites « smart » qui permet de connaitre leur état de santé.
Mon poste de travail étant sous Windows voici la manip pour tester vos disques. Je les insèrent dans mon Dock Usb.
Puis j’utilise le soft suivant : Chirtal diskinfo
Lancez le soft (diskinfo.exe) puis regardez l’état de santé de votre disque :
Dans la copie d’écran on voit que mon disque a bien vécu, donc personnellement je vais le mettre dans la grappe raid mais les autres disques devront être en bonne santé.
Voila résultat des courses: je recycle 2 320go, 2 disques de 1 to et 3 disque de 80 go.
Donc je vais installer:
Pour le billet j’ai simplifié les explications avec un disque OS de 320go Hitachi et 1 raid 1 sur 2 disques de 1to western digital
Au delà du montage dans la tour, il faut préparer l’os.
J’ai pris le Ubuntu serveur car je n’ai pas besoins d’interface graphique sur le serveur de toute façon il n’aura pas d’écran ni de clavier à part pour phase d’installation de l’os.
Mais je vous vois pâlir : il va falloir tout faire en ligne de commande ….
Meuhnon jdéconne !! Bon ok pas tant que ça, il vas falloir vous flaggeller un peu au début et puis on vas utiliser une interface d’administration via un navigateur (ouf !).
Pour préparer l’installation de l’OS:
une fois que l’installation sur la clès USB est fini, il n y a plus qu’a commencer en l’insérant dans le server et en bootant dessus.
Même si l’installation est relativement simple je vous ais pris les étapes cruciales en copie d’écran.Au-delà de du clavier, de l’écran connectez votre serveur à internet, c’est crucial pour les mises à jour. La 1ere étape comme disait ma grand-mère est la principale quand on rencontre une nouvelle fille » donc on se trompe pas et on boote sur la clès.
la clés boot, comme nous sommes là pour installer ubuntu server, on choisi « installer ubuntu server »
L’installation démarre, on choisi la langue et les setting regionals
Puis arrive un truc excellent la détection de clavier … j’étais bleuffé bon ok c’est simple mais super pratique
la distribution charge les modules
l’installation se poursuit par :
On arrive à un moment important, le choix du partitionnement du disque.
L’objectif est de créer un disque système et des disques de donnée en raid. Je consacre donc un disque entier au système d’exploitation. Puis je choisis donc le disque de 320go pour le système, si jamais vous avez peur de vous tromper dans vos disques ne branchez que votre disque système. Les autres disques ne seront pas utilisés pendant l’installation.
le système vous montre les partitions crées sur le disque. Elles sont aux nombres de deux :
L’installation va maintenant se poursuivre avec l’installation et la mise à jour des paquets. Si vous avez un proxy indiquez-le, ce qui n’est pas mon cas
Pour plus de sécurité, je vous conseil d’installer automatiquement les mises à jour de sécurité, l’objectif étant d’avoir le moins d’administration à faire.
On va maintenant choisir les fonctions de notre serveur :
Il nous faut un PHP,MySQL,Apache pour l’outil d’admin en mode web et pour l’installation de notre futur dropcenter
En fonction de vos besoins vous pouvez cocher d’autre case, mais l’idée est de cocher que le strict nécessaire pour ne pas saturer les serveur pour rien (ne vous inquiétez pas via la commande sudo tasksel
vous pouvez avoir de retour accès à cet écran ou d’autre moyen seront détaillés plus loin pour installer les softs dont on a besoin).
Voila on arrive à la fin de l’installation, il ne nous reste plus qu’à installer l’outil de boot Grub. Si vous n’avez jamais installé de linux et que vous n’avez rien d’autre sur le disque (c’est le cas si vous avez suivit le tuto ) répondez oui.
Bien, je suis toujours avec mon serveur connecté avec un écran et un clavier, nous allons vérifier la connexion à distance pour pouvoir libérer notre serveur.
Le serveur SSH permet d’ouvrir une console à distance sur un serveur unix/linux. Il y a donc une partie server que nous avons installé et une partie cliente. Pour la partie cliente, celle-ci dépend de votre OS donc voici des clients pour les différents type de machine :
Voici un exemple de connexion avec putty :
Acceptez le certificat et votre fenêtre de loggin s’ouvre, connectez vous.
Ayant sélectionné la mise à jour automatique des paquets en cas de patch sécurité. On voit dans la copie d’écran ci-dessus que les paquets se sont mis à jour et que donc je dois redémarrer le serveur.
Cela tombe bien je vous propose de mettre à jour un fichier de ressource pour nous faciliter la vie, cette étape est facultative mais rend les manips plus simple
Copier collez cette suite dans votre fichier .bashrc : nano .bashrc
export EDITOR='nano'
/## Couleurs pour le prompt
DEFAULT=”\[33[00m\]”
BLACK=”\[33[30m\]”
RED=”\[33[31m\]”
GREEN=”\[33[32m\]”
ORANGE=”\[33[33m\]”
BLUE=”\[33[34m\]”
MAGENTA=”\[33[35m\]”
CYAN=”\[33[36m\]”
WHITE=”\[33[37m\]”
## Effets de texte (défaut, gras, souligné)
export DEF=”33[0;0m"
export BOLD="33[1m"
export UNDER="33[4m"
#commande pour redemarer ou eteindre
alias restart='sudo shutdown 0 -r -t0'
alias arret='sudo shutdown 0 -h -P -t 0'
#alias pour mettre en forme et en couleur
alias dir='dir --color=auto'
alias egrep='egrep --color=auto'
alias fgrep='fgrep --color=auto'
alias grep='grep --color=auto'
alias ls='ls -l --color=auto'
alias vdir='vdir --color=auto'
alias cp='cp -v -i'
alias df='df -h -T'
alias du='du -h'
alias find='find -L'
alias mv='mv -v -i'
alias rm='rm -v'
alias ll='ls -F -l -h'
alias l='ls -F -C'
alias md='mkdir -p -v'
alias e='$EDITOR'
alias se='sudo $EDITOR'
alias ss='sudo su'
alias s='sudo'
## Afficher le prompt de root et $USER de manières différentes
if [ `whoami` = root ]; then
PS1=”$GREEN\u@\h$CYAN:\W$RED\$ $DEFAULT”
else
PS1=”$GREEN\u@\h$CYAN:\W$ORANGE\$ $DEFAULT”
fi
alias inpkg=’sudo apt-get install’
alias rmpkg=’sudo apt-get autoremove –purge’
alias sepkg=’apt-cache search’
alias lstar=’tar -tf’
alias mktar=’tar -cvf archive.tar’
alias untar=’tar -xvf’
function me {
sudo chown -R $USER $@
sudo chgrp -R $USER $@
}
function root {
sudo chown -R root $@
sudo chgrp -R root $@
}
function up {
echo -e “${BOLD}Mises à jour de la base de donnée …$DEF”
sudo updatedb
echo -e “${BOLD}Mises à jour des paquets …$DEF”
sudo dpkg –configure -a
sudo apt-get install -f
sudo apt-get check -qq
sudo apt-get update -qq
sudo apt-get upgrade
sudo apt-get autoremove –purge
sudo apt-get clean -qq
sudo apt-get autoclean -qq
}
Sauvez en tapant ctrl-o
puis quittez ctrl-x
, taper . .bashrc
(n’oublier pas le premier .) pour prendre ne compte le nouveau fichier.
Tapez la commande pour redémarrer : restart
(ou shutdown 0 –r –t0
si vous n’avez pas mis votre bashrc à jour).
On fini par mettre à jour la distribution avec les derniers patch :
si vous avez mis votre bashrc à jour tapez up
ou sinon :
sudo apt-get update && sudo apt-get upgrade
La commande update met à jour la liste des paquets.
La commande upgrade permet d’installer les versions les plus récentes de tous les paquets de la version d’Ubuntu en cours.
Bien nous allons installer webmin qui permet d’administrer le serveur via une interface web pour minimiser les lignes de commande.
Le site web de webmin : http://www.webmin.com/
la documentation Ubuntu liée : http://doc.ubuntu-fr.org/webmin qui contient ce que nous allons faire en beaucoup plus détaillé car elle traite tous les cas
Première étape vérifier que l’installation de Apache c’est bien passé, dans un bowser accédez à l’URL suivante : http://thor – remplacer thor par le nom de votre machine (voir étape de l’installation)
Si ce n’est pas le cas lancer le script de restart de apache : /etc/init.d/apache2 restart
Bien webmin n’est pas dans le dépôt logiciel de Ubuntu,il faut d’abord installer le lien vers le dépôt de webmin :
sudo wget -O- http://www.webmin.com/jcameron-key.asc | sudo apt-key add –
(attention n’oubliez pas le tiret à la fin de la comande)/etc/apt/sources.list
en tapant :
sudo nano /etc/apt/sources.list
(se /etc/apt/sources.list
)
à la fin du fichier ajouter le dépot :
#ajout du dépot de webmin
deb http://download.webmin.com/download/repository sarge contrib
puis ctrl-O
et ctrl-x
pour sauver et sortir
sudo apt-get update
sudo apt-get install webmin
ou inpkg webmin
(si vous avez mis le bashrc à jour)
Et voila un petit test de connexion avec https://thor:10000 (remplacer thor par le nom de votre machine, ignorer l’avertissement du certificat Https) :
Vous pouvez passer cette étape mais elle apporte un confort non négligeable au serveur.
Bien l’idée maintenant est : un serveur doit être surveillé. Il ne doit pas être nécessaire de ce connecter à celui ci pour savoir qu’il a un problème.
Tous les mails internes du serveur doivent être re-dirigés vers une messagerie internet, ce qui permet pour les services critiques de recevoir les alertes de fonctionnement.
Pour envoyer des emails nous utilisons le serveur Postfix qui sera configuré en relais SMTP appelé serveur satellite.
On lance la configuration de base : sudo dpkg-reconfigure postfix
1. La première question correspond justement au type d’installation de Postfix que vous souhaitez effectuer, ici Système Satellite.
2. La question suivante permet de choisir le nom suivant le symbole @ pour les expéditeurs de vos courriels. Choisissez donc ici le nom de votre machine par exemple (qualifié, c’est-à-dire machine.nomdomaine.org par exemple). Dans mon cas cela donne thor.marvel.com
3. Ensuite, cette question est le point clé de l’assistant, elle permet de saisir le SMTP de votre FAI. Donc, mettez l’adresse du serveur smtp. Si vous devez préciser un port différent du port 25, ajouter : puis le numéro du port. Par exemple, si je dois utiliser le port 1234 je doit mettre smtp.serveur.org:1234. J’utilise pour ma part j’utilise le serveur STMP de google : smtp.gmail.com: 587.
4. Le courrier de root doit être envoyé en alias sur un autre utilisateur, saisissez donc ce nom d’utilisateur à la question suivante (au quotidien, lorsque l’utilisateur root du système enverra un mail, il sera transféré sous le nom de l’utilisateur choisi ici). Donc mettez votre compte pour que les emails de root soit directement renvoyer vers votre boite mail, ou expédiés par votre boite mail.
5. Ensuite, choisissez les noms d’hôtes qui seront acceptés lorsqu’un utilisateur local souhaitera envoyer un courrier (le nom de votre machine devrait suffire ici).
6. Répondez Oui à la question « Forcer des mises à jour synchronisées de la file d’attente des courriels ? »
7. Il est fortement recommander de n’accepter les envois de courrier que sur la boucle locale, à savoir « 127.0.0.0/8″ pour la question suivante.
8. La taille maximale des boites aux lettres peut être mise à 0, si vous êtes sûr des utilisateurs de votre machine.
9. Le caractère « + » est très bien pour signifier une adresse locale, laissez donc ce champ à la question suivante
10. Enfin, tous les protocoles Internet méritent d’être activés, choisissez donc « tous » à la question suivante.
Bien maintenant que la configuration de base est effectuée, il ne reste plus que quelques fichiers à modifier : Dans /etc/postfix/main.cf
(pour mémoire la commande d’édition : sudo nano /etc/postfix/main.cf
ou se /etc/postfix/main
) ajouter en fin de fichier les lignes suivantes :
smtp_sasl_auth_enable = yes
smtp_sasl_password_maps = hash:/etc/postfix/sasl/sasl_passwd
smtp_sasl_security_options = noanonymous
smtp_use_tls = yes
smtp_enforce_tls = yes
smtp_tls_CAfile = /etc/ssl/certs/ca-certificates.crt
smtp_generic_maps = hash:/etc/postfix/generic
Voila ce que cela donne, pensez aussi à vérifier, la ligne relayhost.
Maintenant nous créons le fichier qui contiendra le password pour le server STMP, créer le fichier /etc/postfix/sasl/sasl_passwd
( sudo nano /etc/postfix/sasl/sasl_passwd
) et ajouter : smtp.serveur.org nom_utilisateur:mot_de_passe
(example dans mon cas smtp.google.com toto@gmail.com:toto)
Créons le fichier de mapping utilisateur adresse email externe: /etc/postfix/generic
(sudo nano /etc/postfix/generic
)
sebastien toto@gmail.com
Maintenant il ne reste plus à faire prendre en compte à Postfix la nouvelle configuration :
sudo update-ca-certificates
sudo c_rehash /etc/ssl/certs/
sudo postmap /etc/postfix/sasl/sasl_passwd
sudo postmap /etc/postfix/generic
sudo /etc/init.d/postfix restart
echo "test" | mail -s "Sujet Test" toto@gmail.com
Nous voici à la partie coeur du tutorial, enfin vous me direz …. mais regardez le chemin accompli, vous avez un serveur prêt et propre à faire fonctionner tous les services dont vous avez besoins. Maintenant nous allons le sécuriser.
Le Logiciel MDADM permet de monter un raid logiciel sous linux et au miracle il existe un module webmin pour le paramètrer en avant donc pour créer notre RAID 1 sur 2 disques de 1to :
sudo apt-get install mdadm
(ou inpkg mdadm
) puis aller dans webmin rafraichir les modules utilisés (rafraichissez la page après l’opération)
Puis Sélectionnez votre type de raid et créer le. A noter que les notifications sont envoyées à root, si vous avez fait la configuration du serveur mail les notifications vont vous arriver sur votre mail internet.
Puis sur l’écran suivant, noter le nom du dispositif, ici /dev/md0
(il nous servira plus tard). Sélectionnez les partitions du raid (carré rouge) et si besoins une partition de spare (carrè bleu), ici j’ai mis mes deux partitions de 1to précédemment créer en linux raid.
sudo mkfs -t ext4 /dev/md0
Maintenant créons le point de montage automatique. En premier lieu le répertoire de montage : sudo mkdir /mnt/data
(ici je nomme data le répertoire qui correspondra à mon raid). Puis allez dans dans webmin Système->Montages disques et réseaux, sélectionnez le type de file system ext4 puis cliquez sur ajouter montage
Puis sur un terminal : chgrp data /mnt/data
, puis chmod +775 /mnt/data.
Voila tous ceux qui sont dans le groupe data auront accès à votre raid, oui mais bon faut il y avoir accès ….
Allons danser avec Samba pour avoir accès depuis notre fenêtre préférée. Houlà je fatigue … nous allons donnée accès à un répertoire de notre raid depuis windows. Dans webmin, Cliquez dans le menu sur serveur->Partage de fichiers Windows avec Samba puis sur l’icône « réseau windows »
Mettez votre groupe de travail windows pour ma part MARVEL (si vous ne savez pas ce que c’est laissez WORKGROUP) et sauvez
Pour synchroniser vos comptes unix avec vos comptes samba comme cela quand je crée le compte de mon épouse (avec le groupe data), elle aura automatiquement les accès au répertoire partagé.
Sauvegardez puis cliquez sur créer un nouveau fichier partagé : Entrez le nom du partage, le répertoire à créer physiquement, j’ai mis le groupe data avec des permissions à 775 comme précédemment comme cela tous les membres de data pourront avoir accès au répertoire.
Puis dans le partage document cliquez sur Droit et accès de fichier:
Forcer le groupe data et les autorisations à 775 afin que tous les nouveaux fichiers et répertoires soient créés pour tous les utilisateurs de data
Sauvegarder puis enfin dans
Cochez à oui inscriptible
Facultatif : Aller encore une petite étape pour renforcer la sécurité des disques du serveur. Vous vous souvenez au début du tuto je vous fais vérifier les disques avec smart. Nous allons l’installer et nous faire envoyer des alertes sur les disques par mail afin d’anticiper tous problèmes.
Installer le paquet : apt-get install smartmontools
Rafraichissez les modules de webmin puis la page webmin
Aller dans Matériel==>SMART Drive Status : vous pouvez voir l’état de vos disques
Maintenant pour que le service démarre automatiquement, éditez le fichier /etc/default/smartmontools (se /etc/default/smartmontools) et décommenter start_smartd=yes (enlevé le # au début de la ligne). Puis démarrer le service en tapant : sudo /etc/init.d/smartmontools start
Le service est configuré pour faire des tests régulièrement et en cas de warning envoyer un email à root, si vous avez configuré le serveur mail dans le tuto vous recevrez un email sur votre compte.
Et voila je m’arrête, si vous être preneur la prochaine fois je monte le FTP avec accès sur le web (donc j’ajoute de la sécurité sur le serveur) et je monte un serveur DLNA pour mater des films un truc plus fun enfin !!!!.
Article rédigé par le lecteur Sébastien DELPORTE
Hello à tous,
Voici mon second post cet excellent blog que je suis depuis un petit moment.
Afin de nous préparer dignement à l’arrivé de DropCenter, je vous propose de nous installer un serveur de donnée sécurisé.
L’objectif est donc de recycler un vieux PC pour en faire un serveur de donnée. J’entends par là que celui-ci doit pouvoir supporter un crash disque sans perte de donnée, qu’il possède un PHP,MySQL …. enfin comme c’est un serveur il n’y aura ni clavier, souris et écran donc l’administration se fera à distance et les services enverrons des mails en cas de problème.
Personnellement j’ai un vieux pentium 2 core avec 4gb de ram qui suffira amplement pour cette utilisation mais n’importe quel PC fera l’affaire.
Puis j’ai récupéré tous mes vieux disques qui trainaient partout.
Pour sécuriser des données rien de mieux que de monter un RAID…
Non non ici pas de gendarmes, mais simplement une redondance de données et un calcul de parité entre les disques pour sécuriser les données :
Ce raid protège donc les données et à l’avantage d’accroitre la vitesse en lecture ( la tête est lue sur 1 disque et le reste du corps sur l’autre)
Pour ceux qui aime le détail : http://fr.wikipedia.org/wiki/RAID_(informatique)#Les_diff.C3.A9rents_types_de_syst.C3.A8mes_RAID
Cela consiste à mettre un disque en réserve dans la grappe du raid, si un disque crash le disque en spare prend automatiquement sa place.
L’objectif étant de récupérer le matériel, j’ai choisi linux pour OS (Ubntu server), le contrôleur de ma carte mère ne gérant pas le RAID j’ai choisi de faire un raid logiciel.
(En fait dans tous les cas j’aurais choisi un raid logiciel pour m’affranchir de la partie matériel car les contrôleurs ne sont pas forcément compatibles entre eux)
Ben oui et non … nous devons connaître leur état de santé pour savoir le niveau de risque pris.
La majorité des disques durs sont équipés de la technologie dites « smart » qui permet de connaitre leur état de santé.
Mon poste de travail étant sous Windows voici la manip pour tester vos disques. Je les insèrent dans mon Dock Usb.
Puis j’utilise le soft suivant : Chirtal diskinfo
Lancez le soft (diskinfo.exe) puis regardez l’état de santé de votre disque :
Dans la copie d’écran on voit que mon disque a bien vécu, donc personnellement je vais le mettre dans la grappe raid mais les autres disques devront être en bonne santé.
Voila résultat des courses: je recycle 2 320go, 2 disques de 1 to et 3 disque de 80 go.
Donc je vais installer:
Pour le billet j’ai simplifié les explications avec un disque OS de 320go Hitachi et 1 raid 1 sur 2 disques de 1to western digital
Au delà du montage dans la tour, il faut préparer l’os.
J’ai pris le Ubuntu serveur car je n’ai pas besoins d’interface graphique sur le serveur de toute façon il n’aura pas d’écran ni de clavier à part pour phase d’installation de l’os.
Mais je vous vois pâlir : il va falloir tout faire en ligne de commande ….
Meuhnon jdéconne !! Bon ok pas tant que ça, il vas falloir vous flaggeller un peu au début et puis on vas utiliser une interface d’administration via un navigateur (ouf !).
Pour préparer l’installation de l’OS:
une fois que l’installation sur la clès USB est fini, il n y a plus qu’a commencer en l’insérant dans le server et en bootant dessus.
Même si l’installation est relativement simple je vous ais pris les étapes cruciales en copie d’écran.Au-delà de du clavier, de l’écran connectez votre serveur à internet, c’est crucial pour les mises à jour. La 1ere étape comme disait ma grand-mère est la principale quand on rencontre une nouvelle fille » donc on se trompe pas et on boote sur la clès.
la clés boot, comme nous sommes là pour installer ubuntu server, on choisi « installer ubuntu server »
L’installation démarre, on choisi la langue et les setting regionals
Puis arrive un truc excellent la détection de clavier … j’étais bleuffé bon ok c’est simple mais super pratique
la distribution charge les modules
l’installation se poursuit par :
On arrive à un moment important, le choix du partitionnement du disque.
L’objectif est de créer un disque système et des disques de donnée en raid. Je consacre donc un disque entier au système d’exploitation. Puis je choisis donc le disque de 320go pour le système, si jamais vous avez peur de vous tromper dans vos disques ne branchez que votre disque système. Les autres disques ne seront pas utilisés pendant l’installation.
le système vous montre les partitions crées sur le disque. Elles sont aux nombres de deux :
L’installation va maintenant se poursuivre avec l’installation et la mise à jour des paquets. Si vous avez un proxy indiquez-le, ce qui n’est pas mon cas
Pour plus de sécurité, je vous conseil d’installer automatiquement les mises à jour de sécurité, l’objectif étant d’avoir le moins d’administration à faire.
On va maintenant choisir les fonctions de notre serveur :
Il nous faut un PHP,MySQL,Apache pour l’outil d’admin en mode web et pour l’installation de notre futur dropcenter
En fonction de vos besoins vous pouvez cocher d’autre case, mais l’idée est de cocher que le strict nécessaire pour ne pas saturer les serveur pour rien (ne vous inquiétez pas via la commande sudo tasksel
vous pouvez avoir de retour accès à cet écran ou d’autre moyen seront détaillés plus loin pour installer les softs dont on a besoin).
Voila on arrive à la fin de l’installation, il ne nous reste plus qu’à installer l’outil de boot Grub. Si vous n’avez jamais installé de linux et que vous n’avez rien d’autre sur le disque (c’est le cas si vous avez suivit le tuto ) répondez oui.
Bien, je suis toujours avec mon serveur connecté avec un écran et un clavier, nous allons vérifier la connexion à distance pour pouvoir libérer notre serveur.
Le serveur SSH permet d’ouvrir une console à distance sur un serveur unix/linux. Il y a donc une partie server que nous avons installé et une partie cliente. Pour la partie cliente, celle-ci dépend de votre OS donc voici des clients pour les différents type de machine :
Voici un exemple de connexion avec putty :
Acceptez le certificat et votre fenêtre de loggin s’ouvre, connectez vous.
Ayant sélectionné la mise à jour automatique des paquets en cas de patch sécurité. On voit dans la copie d’écran ci-dessus que les paquets se sont mis à jour et que donc je dois redémarrer le serveur.
Cela tombe bien je vous propose de mettre à jour un fichier de ressource pour nous faciliter la vie, cette étape est facultative mais rend les manips plus simple
Copier collez cette suite dans votre fichier .bashrc : nano .bashrc
export EDITOR='nano'
/## Couleurs pour le prompt
DEFAULT="\[33[00m\]"
BLACK="\[33[30m\]"
RED="\[33[31m\]"
GREEN="\[33[32m\]"
ORANGE="\[33[33m\]"
BLUE="\[33[34m\]"
MAGENTA="\[33[35m\]"
CYAN="\[33[36m\]"
WHITE="\[33[37m\]"
## Effets de texte (défaut, gras, souligné)
export DEF="33[0;0m"
export BOLD="33[1m"
export UNDER="33[4m"
#commande pour redemarer ou eteindre
alias restart='sudo shutdown 0 -r -t0'
alias arret='sudo shutdown 0 -h -P -t 0'
#alias pour mettre en forme et en couleur
alias dir='dir --color=auto'
alias egrep='egrep --color=auto'
alias fgrep='fgrep --color=auto'
alias grep='grep --color=auto'
alias ls='ls -l --color=auto'
alias vdir='vdir --color=auto'
alias cp='cp -v -i'
alias df='df -h -T'
alias du='du -h'
alias find='find -L'
alias mv='mv -v -i'
alias rm='rm -v'
alias ll='ls -F -l -h'
alias l='ls -F -C'
alias md='mkdir -p -v'
alias e='$EDITOR'
alias se='sudo $EDITOR'
alias ss='sudo su'
alias s='sudo'
## Afficher le prompt de root et $USER de manières différentes
if [ `whoami` = root ]; then
PS1="$GREEN\u@\h$CYAN:\W$RED\$ $DEFAULT"
else
PS1="$GREEN\u@\h$CYAN:\W$ORANGE\$ $DEFAULT"
fi
alias inpkg='sudo apt-get install'
alias rmpkg='sudo apt-get autoremove --purge'
alias sepkg='apt-cache search'
alias lstar='tar -tf'
alias mktar='tar -cvf archive.tar'
alias untar='tar -xvf'
function me {
sudo chown -R $USER $@
sudo chgrp -R $USER $@
}
function root {
sudo chown -R root $@
sudo chgrp -R root $@
}
function up {
echo -e "${BOLD}Mises à jour de la base de donnée ...$DEF"
sudo updatedb
echo -e "${BOLD}Mises à jour des paquets ...$DEF"
sudo dpkg --configure -a
sudo apt-get install -f
sudo apt-get check -qq
sudo apt-get update -qq
sudo apt-get upgrade
sudo apt-get autoremove --purge
sudo apt-get clean -qq
sudo apt-get autoclean -qq
}
Sauvez en tapant ctrl-o
puis quittez ctrl-x
, taper . .bashrc
(n’oublier pas le premier .) pour prendre ne compte le nouveau fichier.
Tapez la commande pour redémarrer : restart
(ou shutdown 0 –r –t0
si vous n’avez pas mis votre bashrc à jour).
On fini par mettre à jour la distribution avec les derniers patch :
si vous avez mis votre bashrc à jour tapez up
ou sinon :
sudo apt-get update && sudo apt-get upgrade
La commande update met à jour la liste des paquets.
La commande upgrade permet d’installer les versions les plus récentes de tous les paquets de la version d’Ubuntu en cours.
Bien nous allons installer webmin qui permet d’administrer le serveur via une interface web pour minimiser les lignes de commande.
Le site web de webmin : http://www.webmin.com/
la documentation Ubuntu liée : http://doc.ubuntu-fr.org/webmin qui contient ce que nous allons faire en beaucoup plus détaillé car elle traite tous les cas
Première étape vérifier que l’installation de Apache c’est bien passé, dans un bowser accédez à l’URL suivante : http://thor – remplacer thor par le nom de votre machine (voir étape de l’installation)
Si ce n’est pas le cas lancer le script de restart de apache : /etc/init.d/apache2 restart
Bien webmin n’est pas dans le dépôt logiciel de Ubuntu,il faut d’abord installer le lien vers le dépôt de webmin :
sudo wget -O- http://www.webmin.com/jcameron-key.asc | sudo apt-key add –
(attention n’oubliez pas le tiret à la fin de la comande)/etc/apt/sources.list
en tapant :sudo nano /etc/apt/sources.list
(se /etc/apt/sources.list
) #ajout du dépot de webmin
deb http://download.webmin.com/download/repository sarge contrib
ctrl-O
et ctrl-x
pour sauver et sortirsudo apt-get update
sudo apt-get install webmin
inpkg webmin
(si vous avez mis le bashrc à jour)Et voila un petit test de connexion avec https://thor:10000 (remplacer thor par le nom de votre machine, ignorer l’avertissement du certificat Https) :
Vous pouvez passer cette étape mais elle apporte un confort non négligeable au serveur.
Bien l’idée maintenant est : un serveur doit être surveillé. Il ne doit pas être nécessaire de ce connecter à celui ci pour savoir qu’il a un problème.
Tous les mails internes du serveur doivent être re-dirigés vers une messagerie internet, ce qui permet pour les services critiques de recevoir les alertes de fonctionnement.
Pour envoyer des emails nous utilisons le serveur Postfix qui sera configuré en relais SMTP appelé serveur satellite.
On lance la configuration de base : sudo dpkg-reconfigure postfix
1. La première question correspond justement au type d’installation de Postfix que vous souhaitez effectuer, ici Système Satellite.
2. La question suivante permet de choisir le nom suivant le symbole @ pour les expéditeurs de vos courriels. Choisissez donc ici le nom de votre machine par exemple (qualifié, c’est-à-dire machine.nomdomaine.org par exemple). Dans mon cas cela donne thor.marvel.com
3. Ensuite, cette question est le point clé de l’assistant, elle permet de saisir le SMTP de votre FAI. Donc, mettez l’adresse du serveur smtp. Si vous devez préciser un port différent du port 25, ajouter : puis le numéro du port. Par exemple, si je dois utiliser le port 1234 je doit mettre smtp.serveur.org:1234. J’utilise pour ma part j’utilise le serveur STMP de google : smtp.gmail.com: 587.
4. Le courrier de root doit être envoyé en alias sur un autre utilisateur, saisissez donc ce nom d’utilisateur à la question suivante (au quotidien, lorsque l’utilisateur root du système enverra un mail, il sera transféré sous le nom de l’utilisateur choisi ici). Donc mettez votre compte pour que les emails de root soit directement renvoyer vers votre boite mail, ou expédiés par votre boite mail.
5. Ensuite, choisissez les noms d’hôtes qui seront acceptés lorsqu’un utilisateur local souhaitera envoyer un courrier (le nom de votre machine devrait suffire ici).
6. Répondez Oui à la question « Forcer des mises à jour synchronisées de la file d’attente des courriels ? »
7. Il est fortement recommander de n’accepter les envois de courrier que sur la boucle locale, à savoir « 127.0.0.0/8″ pour la question suivante.
8. La taille maximale des boites aux lettres peut être mise à 0, si vous êtes sûr des utilisateurs de votre machine.
9. Le caractère « + » est très bien pour signifier une adresse locale, laissez donc ce champ à la question suivante
10. Enfin, tous les protocoles Internet méritent d’être activés, choisissez donc « tous » à la question suivante.
Bien maintenant que la configuration de base est effectuée, il ne reste plus que quelques fichiers à modifier : Dans /etc/postfix/main.cf
(pour mémoire la commande d’édition : sudo nano /etc/postfix/main.cf
ou se /etc/postfix/main
) ajouter en fin de fichier les lignes suivantes :
smtp_sasl_auth_enable = yes
smtp_sasl_password_maps = hash:/etc/postfix/sasl/sasl_passwd
smtp_sasl_security_options = noanonymous
smtp_use_tls = yes
smtp_enforce_tls = yes
smtp_tls_CAfile = /etc/ssl/certs/ca-certificates.crt
smtp_generic_maps = hash:/etc/postfix/generic
Voila ce que cela donne, pensez aussi à vérifier, la ligne relayhost.
Maintenant nous créons le fichier qui contiendra le password pour le server STMP, créer le fichier /etc/postfix/sasl/sasl_passwd
( sudo nano /etc/postfix/sasl/sasl_passwd
) et ajouter : smtp.serveur.org nom_utilisateur:mot_de_passe
(example dans mon cas smtp.google.com toto@gmail.com:toto)
Créons le fichier de mapping utilisateur adresse email externe: /etc/postfix/generic
(sudo nano /etc/postfix/generic
)
sebastien toto@gmail.com
Maintenant il ne reste plus à faire prendre en compte à Postfix la nouvelle configuration :
sudo update-ca-certificates
sudo c_rehash /etc/ssl/certs/
sudo postmap /etc/postfix/sasl/sasl_passwd
sudo postmap /etc/postfix/generic
sudo /etc/init.d/postfix restart
echo "test" | mail -s "Sujet Test" toto@gmail.com
Nous voici à la partie coeur du tutorial, enfin vous me direz …. mais regardez le chemin accompli, vous avez un serveur prêt et propre à faire fonctionner tous les services dont vous avez besoins. Maintenant nous allons le sécuriser.
Le Logiciel MDADM permet de monter un raid logiciel sous linux et au miracle il existe un module webmin pour le paramètrer en avant donc pour créer notre RAID 1 sur 2 disques de 1to :
sudo apt-get install mdadm
(ou inpkg mdadm
) puis aller dans webmin rafraichir les modules utilisés (rafraichissez la page après l’opération)/dev/md0
(il nous servira plus tard). Sélectionnez les partitions du raid (carré rouge) et si besoins une partition de spare (carrè bleu), ici j’ai mis mes deux partitions de 1to précédemment créer en linux raid.sudo mkfs -t ext4 /dev/md0
Maintenant créons le point de montage automatique. En premier lieu le répertoire de montage : sudo mkdir /mnt/data
(ici je nomme data le répertoire qui correspondra à mon raid). Puis allez dans dans webmin Système->Montages disques et réseaux, sélectionnez le type de file system ext4 puis cliquez sur ajouter montagechgrp data /mnt/data
, puis chmod +775 /mnt/data.
Allons danser avec Samba pour avoir accès depuis notre fenêtre préférée. Houlà je fatigue … nous allons donnée accès à un répertoire de notre raid depuis windows. Dans webmin, Cliquez dans le menu sur serveur->Partage de fichiers Windows avec Samba puis sur l’icône « réseau windows »
Mettez votre groupe de travail windows pour ma part MARVEL (si vous ne savez pas ce que c’est laissez WORKGROUP) et sauvez
Cliquez maintenant sur
Pour synchroniser vos comptes unix avec vos comptes samba comme cela quand je crée le compte de mon épouse (avec le groupe data), elle aura automatiquement les accès au répertoire partagé.
Sauvegardez puis cliquez sur créer un nouveau fichier partagé : Entrez le nom du partage, le répertoire à créer physiquement, j’ai mis le groupe data avec des permissions à 775 comme précédemment comme cela tous les membres de data pourront avoir accès au répertoire.
Puis dans le partage document cliquez sur Droit et accès de fichier:
Forcer le groupe data et les autorisations à 775 afin que tous les nouveaux fichiers et répertoires soient créés pour tous les utilisateurs de data
Sauvegarder puis enfin dans
Cochez à oui inscriptible
Facultatif : Aller encore une petite étape pour renforcer la sécurité des disques du serveur. Vous vous souvenez au début du tuto je vous fais vérifier les disques avec smart. Nous allons l’installer et nous faire envoyer des alertes sur les disques par mail afin d’anticiper tous problèmes.
Installer le paquet : apt-get install smartmontools
Rafraichissez les modules de webmin puis la page webmin
Aller dans Matériel==>SMART Drive Status : vous pouvez voir l’état de vos disques
Maintenant pour que le service démarre automatiquement, éditez le fichier /etc/default/smartmontools (se /etc/default/smartmontools) et décommenter start_smartd=yes (enlevé le # au début de la ligne). Puis démarrer le service en tapant : sudo /etc/init.d/smartmontools start
Le service est configuré pour faire des tests régulièrement et en cas de warning envoyer un email à root, si vous avez configuré le serveur mail dans le tuto vous recevrez un email sur votre compte.
Et voila je m’arrête, si vous être preneur la prochaine fois je monte le FTP avec accès sur le web (donc j’ajoute de la sécurité sur le serveur) et je monte un serveur DLNA pour mater des films un truc plus fun enfin !!!!.
...Ce post est le vingtième d’une liste de tutoriels sur le raspberry PI, cliquez ici pour accéder au sommaire !
Yop bande de trous d’nez !! (je m’en lasse pas de celle la !)
Ca fait un moment qu’on a rien bricolé d’inutile concernant le raspberry PI !!
C’est ma faute: je glande sur une thèse aussi useless que chronophage et que personne ne lira (et tant mieux aux vues de son contenu ) et puis accessoirement je roupille au soleil (voila pour la petite vie d’idle).
Pour passer le temps je vous propose tout de même un petit exercice de style :
On vas allumer et éteindre des diodes avec le rpi !
“Hé Idle tu nous prendrais pas pour des billes ?! On l’a déjà fait en tuto 6 !!”
C’est complètement vrai !! (c’était pour voir si vous suiviez) mais cette fois ci ce sera un peu différent …
Nous allons construire un petit “tableau de bord” lumineux qui vas nous avertir de l’état de nos divers serveur, blog, site web, machines connectées au réseau (imprimantes,téléphone,fax etc..) en temps réel ! Chez moi ça donne ça :
L’objectif est donc de relier plusieurs diodes au rpi et de créer un système de “ping” (pour que la génération facebook me comprenne : c’est comme un “poke” mais pour les machines :p) régulier qui vas aller interroger certaines ip et allumer les led:
“Mais l’exercice est très simple, nous savons déjà le faire! C’est quoi l’intérêt?”
Hé bien premièrement un collègue m’a un peu taquiné sur le sujet, donc mon intérêt direct et de lui prouver qu’un IdleNaute n’est pas une trompette ! (ok ça vous avance à rien mais j’ai ma fierté merde ^^)
Et deuxièmement ça vas introduire la venue de deux nouveaux éléments électroniques intéressants !
Mais d’abord le petit quart d’heure de honte traditionnel :
(Vous noterez ma toute nouvelle maîtrise de montage vidéo, c’est quasi rien mais chuis super fier de moi , quand on regarde la première vidéo de cette série de tuto on se dit que je suis partis de loin)
Vous l’aurez peut être remarqué, nous utilisons ici des LED qui ont la particularité de pouvoir afficher deux couleurs : vert et rouge.
Ce petit composant est assez intéressant en plus d’être très simple à utiliser, 3 pattes :
Ce composant est donc très intéressant et enfantin à utiliser, notez qu’il existe aussi des diodes dites RVB qui vous permettront
d’utiliser trois vrais couleurs : vert, rouge et bleu.
Nous nous contentons ici des RV (rouge vert) parce que c’est un peu moins cher, plus simple à utiliser et que ça suffit aux besoins de l’exercice, nous reparlerons des RVB dans un prochain tuto de toute manière .
Mais je digresse !! revenons à nos diodes RV !!
Celles ci sont donc formidouble (doublement formidables) mais ont tout de même quelques inconvénients:
Pour le premier problème, il y a ebay, pour le second : l’huile de coude et pour le troisième : les shift registers !
“Nié ! shift what?”
C’est le second élément nouveau dont je vous parlais (le premier étant la diode RV évidemment).
Pour faire simple, un shift register est un composant électronique tout plein de papattes qui permet de multiplier vos sorties GPIO et ce, quasiment à l’infinis.
Avec le shift register que nous allons utiliser par exemple, nous n’auront besoin que de trois sorties GPIO du rapsberry PI pour simuler les 16 GPIO dont nous allons avoir besoin avec les LED.
Inutile donc de vous spécifier que dans le cadre de notre projet domotique qui pompe pas mal de GPIO, c’est un gros plus !
Assez déblatéré comme un chauve à lunette de la fac ! Il est temps de mettre les patounes dans l’cambouis !!
Je tiens à préciser que j’ai honteusement pompé puis mutilé un fabuleux schéma de zem.fr pour l’adapter au rpi et vous l’afficher ci dessous, merci à lui pour ses explications sur le shift register (au passage si vous aimez l’arduino allez visiter le blog il rox du pathé comme on dis chez moi) .
L’explication sur le shift register se trouvent en fin de tuto (je ne veux pas vous embrouillez tout de suite :p, mais j’vous ai prévu un mega dessin z’allez voir ! )
Vous devez déjà avoir un serveur http (apache ou lighttpd peu importe) et PHP installé (si ce n’est pas le cas suivez le tuto 4)
Vous devez déjà avoir installé la librairie wiring PI (si ce n’est pas le cas suivez le tuto 6 )
sudo crontab -e
Et ajoutez la ligne :
*/1 * * * * php /var/www/ping/ping.php
Les diodes devraient se mettre à jour toutes les minutes en fonction des IP configurées, n’hésitez pas à lancer le script manuellement depuis votre navigateur (http://adresse.du.rpi/ping/ping.php) dans le cas ou ça ne fonctionne pas avec le cron .
La tâche planifiée (le cron) qu’on à mis en place vas exécuter toutes les minutes le fichier php contenant notre code.
Le fichier php vas, interroger chaque IP que nous avons renseignées pour savoir si elles “répondent”.
On part alors du principe qu’une LED vas représenter la réponse d’un IP :
Si l’ip répond: PHP vas mettre un port GPIO du shift register à 1 qui correspond à la couleur verte de la led liée.
Si l’ip ne répond pas: PHP vas mettre un port GPIO du shift register à 1 qui correspond à la couleur rouge de la led liée.
“Tout ça c’est bien beau mais on ne comprends toujours pas comment manipuler un shift register !!”
Tu as raison jeune trublion !! J’ai gardé le meilleur pour la fin !!
Comme c’est un concept (pourtant simple) qui ne cadre pas avec mon cerveau étriqué, j’ai fait un petit dessin pour que mes semblables trépanés du bulbe et moi on se comprenne, mémorisez bien la petite histoire suivante :
J’espère que vous avez adoré l’histoire (je sort une BD en 2014, je crois que j’ai de l’avenir dans cette branche XD) et que vous n’avez pas trop vomi .
Outre la qualité affligeante de cette image (sur laquelle j’ai pourtant bien passé 20 minutes) on notera qu’elle représente le fonctionnement exacte du shift register (du moin tel que je l’ai compris ^^), je m’explique :
Le shift register (la table) a 8 GPIO (8 Verres) qui peuvent être à 0 (vide) ou a 1 (plein).
On a pas le droit de toucher aux verres sur la table, pour modifier l’état d’un verre, on ne peux qu’en rajouter un nouveau (le fameux todd) en lui définissant une valeur (vide ou plein).
Sauf qu’en rajoutant Todd le verre, on pousse les autres et le dernier se fait éjecter de la table (die stupid glass ! die !!).
Il vas nous falloir trois “bouton” pour effectuer cette action : un bouton pour remplir ou laisser vide le verre, un bouton pour ajouter le nouveau verre sur la table (et donc pousser les autres) et un dernier bouton pour “valider” la nouvelle configuration de la table
3 bouton = 3 pattes du shift register branché au raspberry PI, il ne nous en faudra pas plus pour ouvrir/fermer les 8 GPIO du shift register de cette façon .
Maintenant voyons un ptit schéma simplifié du composant :
Si vous êtes comme moi vous allez vous demander en premier quel esprit démoniaque a pu penser que mettre tout les gpio d’un coté SAUF UN était pertinent… faut vraiment être le fil de personne pour imaginer des puces comme ça oO ! M’enfin !
Donc à ce stade je ne vous ferait pas l’affront de vous expliquer à quoi correspondent les GPIO, la MASSE et L’ALIM (si vous ne savez pas, retour au tuto 1 ).
Les trois boutons dont nous parlions sont :
“VALEUR” (en réalité nommé SER) qui vas remplir ou non le nouveau verre.
”SUIVANT” (nommé en réalité RCLK) qui vas ajouter le nouveau verre sur la table et pousser les autres
VALIDATEUR (en réalité SRCLK) qui vas prendre en compte la nouvelle configuration
“Et “CONNECTEUR” alors ? Il sert à quoi?”
Il vas nous permettre de brancher d’autres shift register au premier, ce qui donnera l’équivalent d’un gros shift register de 16 GPIO avec deux shift de 8 par exemple .
CONNECTEUR devras être branché au VALEUR du shift register ajouté, il est possible de rajouter autant de shift les un sur les autre que vous le souhaitez, évidemment au bout d’un moment vous risquez d’avoir quelques problèmes de lenteur et d’alimentation si vous ne savez pas vous arrêter ^^ (je vais tapisser mes murs avec des shift register et dominer le mmooonde niark niark niark!!!).
“Et les papattes dont tu ne nous à pas parlé ?”
Dans notre contexte,elles sont un peu useless, disons qu’elles ont une fonction utile, mais que prendre un précieux gpio de plus sur le rasp pour ça c’est pas forcement nécessaire,voila le schéma avec les vrai nom des pattes :
(ça calme tout de suite hein ? )
SRCLR dont nous n’avons pas parlé, peut être passé en High puis low afin de remettre toute les pin du shift registrer à 0 (ce qui peut aussi être fait manuellement avec les 3 pin dont nous disposons déjà, d’ou le “un peu useless”)
OE quand à lui permet d’activer la sortie lorsqu’il est sur la masse (GND) et la désactive lorsqu’il est en High, on le laisse donc toujours branché à la masse.
C’est tout pour aujourd’hui ! Vous l’aurez compris, le principal intérêt de ce tuto est d’abord la notion de shift register qui vas nous permettre de jouer avec plus de GPIO sans trop d’efforts .
Notez qu’il existe plein de type de shift register, certains ont beaucoup plus de sorties, d’autres peuvent se comporter en entrée et en sortie (relativement pratique) etc etc..
Je vous conseille de vous en trouver un qui soit simultanément en entrée et en sortie et qui puisse se “stacker” à d’autre de ses confrères comme celui que nous avons vu, puis de vous créer une ptite carte à brancher sur le raspberry PI pour multiplier définitivement ses entrées sorties par “x”
Bien à vous,
Idle