PROJET AUTOBLOG


PostBlue

source: PostBlue

⇐ retour index

WordPress Oscar

vendredi 2 août 2013 à 17:49

Après avoir mis à jour WordPress en version 3.6 (nom de code « Oscar »), je me suis laissé tenter par la nouvelle mouture du thème par défaut : Twenty Thirteen.

flattr this!

Always look on the Arch Side of life

vendredi 2 août 2013 à 17:43

Arch Linux serait difficile à prendre en main pour le non-initié, et je ne blâmerai pas ceux qui le prétendent. Arch (pour les intimes) aurait le défaut de ne pas être « simple », voire absurdement compliquée — à commencer par son processus d’installation (tout en lignes de commande, les clic-o-vores sont déroutés).

Pourtant, il ne faut pas confondre simplicité et facilité lorsque nous critiquons Arch ; cette confusion demeure chez les critiques (dont celles chez le gourou Cyrille Borne, qui restent pour moi très intéressantes quand je cherche à comprendre la disparité des linuxiens). Il s’agit, pour moi, d’une incompréhension de la distribution elle-même, de ce qu’il faudrait en attendre ou en demander. Nous parlerons de structure de la distribution, ou de paradigme, présenté sous « The Arch Way ».

Arch Linux est malléable à qui veut, mais pas n’importe comment : il sera nécessaire d’accorder ses attentes à leur objet, comme nous ne demandons pas d’un grille-pain de faire du café. Cette dernière assertion est cependant encore malléable, dans un contexte de hacking, qui exige un certain degré de connaissance technique.

Pour reprendre la description du « Arch Way », « simplicity is the primary principle, all other principles must be sacrificed in favor of design simplicity. Implementation simplicity is more important than interface simplicity. » La simplicité est bien le principe premier d’Arch Linux, tout autre principe doit lui être sacrifié. Mais pas n’importe comment : la simplicité de l’implémentation est plus importante que la simplicité de l’interface.

Pour une pensée plus classique, il me semble que l’on obtiendrait la même idée chez de Saint-Exupéry, pour qui « dans quelque domaine que ce soit, la perfection est enfin atteinte non pas lorsqu’il n’y a plus rien à ajouter mais lorsqu’il n’y a plus rien à enlever. » Arch Linux, pour moi, est cette distribution construite de sorte que, pour le développeur, il ne reste pas un gramme de chair en trop. C’est pourquoi une foule d’outils (mkfs.*) reposant sur des structures sommaires et partagées est préférée à un outil graphique dont la simplicité d’implémentation n’est pas garantie.

flattr this!

SSD, Arch Linux, LVM, GPT

dimanche 9 juin 2013 à 18:57

Je me suis accordé un petit plaisir : un SSD (Samsung 840 Pro chez LDLC)  à greffer aux entrailles de mon Samsung N210 acheté d’occasion à une amie (qui a honteusement croqué une pomme), qui maintenant galope tel un bon petit diable. J’en ai profité pour refaire une installation de base, ayant la flemme de cloner le disque et n’ayant pas le matériel idoine non plus. Pour ne pas changer, j’ai installé Arch Linux, cette distribution qui n’en finit pas de me convenir.

À ce propos, je suis tombé sur ce gist reprenant un peu tout ce qu’il y a à savoir quant à une installation d’Arch Linux, à garder sous le coude (merci alphazo d’agréger tant d’informations) pour ceux qui ont des questions quant à l’installation de la bête. Comique, d’ailleurs, j’ai reconnu des passages de mon cru, je suis content de voir que mes articles peuvent servir.

Pourquoi encore Arch Linux ? Raison première : parce que. Ensuite, j’ai pris l’habitude du confort des distributions en rolling release : on installe et on configure, on ajoute le flux RSS de la page d’accueil à son agrégateur ou on s’inscrit à la liste d’annonce, et c’est stable, à jour, perpétuellement à jour, et pas de mauvaise surprise si on fait un tant soit peu attention.

archrelease

L’installation est résolument simple, je serai intraitable là dessus, simple comme KISS. Pour cette nouvelle configuration que je pouvais triturer comme un adolescent son premier bouton, je me suis amusé : GPT et LVM, LUKS ça sera pour une prochaine fois.

LUKS, je suis ton père.

LUKS, je suis ton père.

On procède d’abord au formatage du disque, j’ai suivi à peu près cette méthode, à la différence du système de fichiers que j’ai changé pour ext4, créant un gros LVM avec des conteneurs boot, swap, root et home, monté dans /mnt pour que tout soit rendu accessible depuis le système live.

Gnome Disks

Ensuite, installation de la panoplie de base avec pacstrap /mnt base base-devel, à laquelle on j’ai ajouté grub-bios gnome gnome-extra gnome-tweak-tool gnome-shell-extensions firefox firefox-i18n-fr abiword abiword-plugins gnumeric meld minetest wireshark firewalld cpupower ntp cups redshift devilspie rhythmbox mlocate redshift seahorse seahorse-nautilus, chacun rajoutera les paquets qui lui font plaisir, j’en ai bien quelques autres, plein d’autres très certainement, mais là n’est pas le propos.

530 paquets installés, visualisation par pacgraph.

530 paquets installés, visualisation par pacgraph.

Création du fstab avec un genfstab -U -p /mnt >> /mnt/etc/fstab qui va bien, j’ai ajouté au mien les options relatime et discard :

UUID=8bf23251-41dc-44fa-aef0-e166cef2d651	/	ext4	defaults,relatime,discard	0 1

UUID=4b188e53-0fb2-4807-af58-605fa6da97f9	/home	ext4	defaults,relatime,discard	0 2

UUID=17e4a517-2dc9-44c2-89c6-7207d506d0a8	/boot	ext4	defaults,relatime,discard	0 2

UUID=851b7cd7-e207-469d-a498-6b92696e0f0b	none	swap	defaults			0 0

On poursuit avec un chroot dans le disque avec arch-chroot /mnt, histoire d’installer Grub sur les premiers secteurs du disque (grub-install /dev/sda), configurer le mot de passe du compte root avec passwd, créer un utilisateur tout de suite ajouté aux groupes qui vont bien (dans mon cas sys disk lp wheel locate network audio storage scanner power users wireshark), puis passwd pour cet utilisateur nouvellement créé, configuration de la locale et du fuseau horaire, etc. À ce stade, la marche à suivre ne diffère pas des multiples tutoriels qui pullulent sur Internet, dont le wiki d’Arch Linux (RTFW, relis ton foutu wiki) pour ne citer qu’une seule source.

xkcd: RTFM (cc by-nc 2.5)

Tant qu’on y est, autant ajouter de nouveaux répertoires à /etc/pacman.conf (et ne pas oublier les options Color et ILoveCandy), repo-ck pour installer linux-ck et les drivers liés (broadcom-wl-ck-atom et linux-ck-atom-headers sélectionnés à partir d’un seul pacman -S ck-atom), archlinuxfr pour installer yaourt afin d’aller chercher dans AUR gpaste electrum latexila samsung-tools profile-sync-daemon hplip-plugin, pour ne retenir que les plus notables.

J’en ai profité pour copier quelques fichiers personnels dans /etc/{modprobe.d, modules-load.d, udev/rules.d, sysctl.d} :

options i915 i915_enable_rc6=7 i915_enable_fbc=1 lvds_downclock=1
# USB
options usbcore autosuspend=1
# SOUNDCARD
options snd-hda-intel enable_msi=1
options snd-hda-intel power_save=1
options snd-hda-intel power_save_controller=Y
blacklist pcspkr
## cpufreq driver
acpi_cpufreq
## cpufreq governors
cpufreq_performance
cpufreq_conservative
cpufreq_ondemand
cpufreq_powersave
cpufreq_stats
cpufreq_userspace
# pcie_aspm=force
SUBSYSTEM=="power_supply", ENV{POWER_SUPPLY_ONLINE}=="0", RUN+="/bin/sh -c 'echo powersave > /sys/module/pcie_aspm/parameters/policy'"
SUBSYSTEM=="power_supply", ENV{POWER_SUPPLY_ONLINE}=="1", RUN+="/bin/sh -c 'echo performance > /sys/module/pcie_aspm/parameters/policy'"
# usb / pci / sata
ACTION=="add", SUBSYSTEM=="usb", TEST=="power/autosuspend", ATTR{power/autosuspend}="2"
ACTION=="add", SUBSYSTEM=="usb", TEST=="power/control", ATTR{power/control}="auto"
ACTION=="add", SUBSYSTEM=="pci", TEST=="power/control", ATTR{power/control}="auto"
ACTION=="add", SUBSYSTEM=="scsi_host", ATTR{link_power_management_policy}="min_power"
# network, substitute en* and wl* with your interface name
ACTION=="add", SUBSYSTEM=="net", KERNEL=="en*", RUN+="/usr/bin/ethtool -s %k wol d"
ACTION=="add", SUBSYSTEM=="net", KERNEL=="wl*", RUN+="/usr/bin/iw dev %k set power_save on"
vm.laptop_mode=5
vm.vfs_cache_pressure=50
vm.dirty_writeback_centisecs=1500
vm.swappiness = 1

Configuration nécessaire : le noyau, et la configuration de grub, donc dans /etc/mkinitcpio.conf et /etc/default/grub :

(...)
MODULES="intel_agp i915"
(...)
HOOKS="base udev autodetect modconf block lvm2 filesystems keyboard fsck consolefont keymap timestamp"
(...)
GRUB_CMDLINE_LINUX_DEFAULT="quiet resume=UUID=851b7cd7-e207-469d-a498-6b92696e0f0b"
GRUB_CMDLINE_LINUX="elevator=deadline pcie_aspm=force nmi_watchdog=0"

On applique le tout d’un mkinitcpio -p linux-ck, et d’un grub-mkconfig -o /boot/grub/grub.cfg. N’oublions pas non plus un petit issue_discards = 1 dans /etc/lvm/lvm.conf.

Ne reste plus qu’à activer les services essentiels (ou non) avec un bon systemctl enable ntpd cups avahi-daemon avahi-dnsconfd cpupower cronie firewalld gdm graphical NetworkManager ntpd samsung-tools psd psd-resync, qu’on clôt d’un exit après avoir vérifié que tout est bien configuré. Une fois de retour au système live, on démonte tout (umount -a), et on redémarre. Ça merde ? J’ai peut-être oublié l’une ou l’autre manipulation, vérifiez dans la documentation si tout est bien configuré et installé, comme les drivers graphiques (xf86-video-intel intel-dri, en ce qui me concerne, avec SNA comme méthode d’accélération graphique) ou le serveur X.Org sans lequel vous n’irez pas bien loin (xorg-server xf86-input-synaptics, dans mon cas).

Certes, celui qui n’aime pas consacrer un peu (beaucoup, admettons) de temps à installer et configurer une distribution pour qu’elle lui convienne au mieux, le choix d’Arch Linux peut paraître saugrenu voire rédhibitoire, même sur une machine assez puissante pour faire tourner un bloatware tel qu’Ubuntu ou toute la clique qui y ressemble. Je ne cracherai pas sur les Ubunteros, ceux-ci sont du même côté que moi, celui du free software.

Source inconnue, retrouvé dans $WALLPAPERS.

Source inconnue, retrouvé dans $WALLPAPERS.

Je taquine cette distribution en la qualifiant de bloatware alors que je l’ai pourtant longtemps aimée et utilisée, m’ayant mis le pied à l’étrier du monde de GNU / Linux, lorsqu’elle réinstalle toute sa panoplie tous les 6 mois au prix d’une pénible mise à jour, j’en ai gardé des séquelles. Enfin, tous les 6 mois ou tous les 2 ans, que l’on préfère les versions au long terme, les LTS, ces versions qui ne prennent pas les utilisateurs pour des testeurs commis d’office, ou les quelques versions de test qui les séparent.

J’ai goûté au fruit du rolling release, et j’en suis encore tout fébrile, comme lors de ma première installation d’Arch Linux, quand j’ai malencontreusement écrasé tout mon disque, partition Windows comprise.

Je ne l’ai jamais réinstallée depuis, c’est tout ce que j’en retiens.

flattr this!

Fairphone : smartphone idéal ?

mardi 28 mai 2013 à 21:06

C’est en lisant cet article de Cyrille à propos du Fairphone que je me suis remis à rêver au smartphone idéal, ce téléphone aux multiples fonctionnalités qui conviendrait à mes désirs techniques comme à mon obédience libriste. La souscription aux réquisits du commerce équitable, tout à fait louablement, est un agrément décisif à des désirs avant tout techniques.

J’entonnerai toujours la même rengaine : il faudra qu’un tel objet soit libre et ouvert. Libre techniquement, tant pour la pile matérielle que la pile logicielle, mais aussi ouvert à des modifications transparentes, de sorte qu’il convienne à n’importe qui. Ce bout de plastique serait donc malléable, adaptable à l’utilisateur, exemptant ce dernier de se soumettre sans recours aux choix techniques de développeurs.

Un tel objet réclame des outils simples et libres eux aussi, développés de telle sorte qu’ils prennent en charge cette nouvelle génération de terminaux mobiles, permettant à l’utilisateur maître de son terminal de passer de l’un à l’autre système d’exploitation en quelques clics seulement, depuis la sélection d’une image dans une liste (comme le panel que semblent vouloir viser les constructeurs du Fairphone) au branchement du périphérique, avec possibilité d’enregistrer l’image installée sur le terminal, et ses modifications, en vue d’une restauration à l’identique si le besoin s’en fait sentir.

Tizen, Firefox OS, Android, Replicant, Mer, Ubuntu, Sailfish… ou n’importe quelle distribution libre, seraient installables de la sorte, pour peu qu’elles puissent intégrer les piles nécessaires à son fonctionnement sur ce type de matériel, intégration d’autant plus simple de par l’ouverture inhérente de cet idéal que je nourris.

Ce vue d’esprit n’est évidemment réalisable qu’à la condition d’une ouverture de la part des constructeurs et des développeurs, avec un matériel ouvert, une publication automatique des firmwares et des drivers, qui pourront de la sorte être intégrés automatiquement aux différents systèmes installables, en toute transparence. Même, par souci de légèreté, les pilotes pourraient être à part, intégrés à la volée, semi-automatiquement, lors de la création d’une image spécifique au terminal considéré (parce que dans mon rêve, il en existe une foule de modèles différents), les modules et pilotes nécessaires au périphérique étant scannés par l’outil et sélectionnés parmi ceux librement disponibles.

Dans mon rêve, l’utilisateur pourra enfin être maître de son terminal de poche, et j’espère que le Fairphone pourra montrer la voie.

flattr this!

Opera 15

mardi 28 mai 2013 à 18:28

La 15ème mouture du navigateur Opera est sortie en première version Release Candidate, basée sur le futur moteur de rendu de Chromium (Blink), et bien que je me targue d’être un libriste convaincu et que je n’ai encore trouvé aucune version pour GNU/Linux, j’aimerais traiter un peu de ce sujet en fonction de ce que j’en ai lu çà et là (même si je suis curieux de ce que l’expert ès Opera de la blogosphère francophone pourra exprimer à ce sujet).

Opera est le navigateur qui m’a accompagné le plus longtemps de ma vie d’internaute après Firefox, qui a pu donner un second souffle à ma navigation sur des machines poussives qui ne pouvaient supporter aucun autre navigateur sans plier le genou. Exemple-même du navigateur propriétaire intégrant les standards majeurs du web et diffusant des versions pour le plus grand nombre de systèmes d’exploitation (GNU/Linux, FreeBSD Mac OS, Windows, …), j’ai aimé utiliser cet enfant terrible qu’était Opera.

Même si je répugne Blink, par trop rattaché à Google dont je conspue la politique de développement autoritaire, et si Presto est un moteur mature et performant, je suis pour ma part convaincu par la rationalisation technique du projet ; le temps des suites à la Seamonkey semble révolu pour le commun des internautes, selon une GNU’fication en règle : un programme par fonction, donc exit le côté bordélique qu’Opera avait parfois, par surabondance de fonctions dont l’utilité n’apparaîtrait qu’aux initiés, alourdissant le programme pour ceux qui ne s’en servent pas.

Par là, le navigateur se sépare en droit de la partie mail / agrégateur RSS / client de messagerie, avec un parallélisme structurel similaire aux fonctions réparties entre Firefox et Thunderbird, que je ne me vois pas blâmer. Le but me semble clair : alléger encore plus le navigateur, diminuer l’impact sur les performances de la machine, en le séparant de fonctionnalités chargées par défaut mais inutilisées, mû par une volonté d’offrir une navigation fluide même sur un matériel vieillissant.

L’épure de l’interface semble suivre légitimement les évolutions progressives du navigateur : la barre d’adresse permettait déjà de faire des recherches, à l’instar des principes d’omnibar présents déjà présents dans Chrome et Safari, à moitié sous Firefox. Dans cette optique, la duplication des barres est idiote si l’une des deux recouvre les fonctions de la seconde ; d’ailleurs j’ai toujours désactivé le champ de recherche pour n’utiliser que la barre multifonctions.

Je suis bien plus mitigé quant au remaniement du Speed Dial, mais je comprends comment il s’inscrit dans l’évolution et la fusion des fonctionnalités similaires du navigateur qui étaient visuellement séparées : le démarrage rapide sont en quelques sortes des favoris, la population automatique de l’écran de démarrage rapide n’étant pas sans me rappeler about:newtab sous Firefox (qui manque de souplesse quand à lui).

La fonction Calepin, quant à elle, est une fonctionnalité que j’apprécie beaucoup et me semble-t-il en droite ligne de la teneur du projet, qui intègre localement des fonctionnalités communément dévolues à des services web devenant par là inutiles : comme l’agrégateur de flux (en passant parmi les meilleurs agrégateurs locaux qu’il m’ait été donné d’utiliser avant de jeter mon dévolu sur Selfoss) ou, maintenant, un service à la Poche. Ne manque plus que le tout soit traversé de synchronisation pour avoir des copies conformes pour ceux qui utilisent plusieurs postes et désirent voir leurs listes de lecture et l’état de leur agrégateur dupliqué d’une machine à l’autre.

Le sort réservé aux extensions existantes est, quant à lui, lamentable, ou du moins flou : certaines devront tout simplement être réécrites. Cette négligence laisse un goût amer en bouche, comme la disparition de la barre transversale ou la position désormais fixe des onglets, à peine compensé par l’ouverture facilitée aux extensions déjà réalisées pour Chrome.

C’est la modularité et la customisation du navigateur aux préférences de chacun, en fait, qui en pâtit le plus, avec une personnalisation en deçà de ce que laissaient faire les précédentes versions. Plusieurs questions demeurent cependant : quid d’about:opera dans les futures versions, on ne peut exclure des extensions qui communiqueront avec les préférences qu’il renferme bien qu’il s’agit d’un pis-aller, d’urlfilter.ini, … ? Il en va aussi du support au long terme du client mail / agrégateur RSS / client de messagerie, cette séparation ayant in fine tout l’air d’une mise sur une voie de garage progressive pour ne pas s’attirer les foudres des utilisateurs les plus fervents (qui de toutes façons se plaindront s’ils veulent le faire).

Wait and see.

flattr this!