« Il y a certes encore de nombreuses zones d’ombre à éclaircir – ce ne sera possible qu’en rendant publiques toutes les archives de cette époque – et il existe de nombreux faits et comportements qui restent à élucider. Mais il est indéniable, pour tout honnête homme, qu’il y a bien eu là-bas un effroyable nettoyage ethnique ! Indéniable aussi que ce « Plan D » a été mis en œuvre bien avant la décision de l’ONU de partager la terre et que l’explication « ils sont partis de leur plein gré » est un mensonge éhonté. Il est aussi troublant de constater que l’objectif du régime israélien est toujours, visiblement, de nettoyer ce territoire de la présence palestinienne par des mesures de plus en plus oppressantes : mesures d’apartheid, humiliations, blocus, expulsions, créations de colonies, occupations militaires, destructions de maisons… etc. Tout en continuant de discourir sur une solution à deux Etats… Mirage pour les naïfs, Hochet pour les discoureurs ! Ce plan »D » est bien un crime de guerre et un crime contre l’Humanité. Il faut être d’une totale mauvaise foi pour le contester ! … Mais les tribunaux qui jugent ce type de crime étant presque toujours les tribunaux des vainqueurs, il est malheureusement plus que probable que les criminels qui ont élaboré, planifié et perpétré cet odieux programme ne se retrouveront jamais dans le box des accusés. L’Histoire les jugera. Rudi Barnet (Septembre 2012)»

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« Décidé à chercher d’autres avis, il s’empare de ses dossiers médicaux et retourne chez lui. Où il découvre que son IRM et ses scanners sont en format propriétaire… Heureusement, ce virtuose du piratage de logiciel et créateur du collectif Art is Open Source, possède plus d’un tour d’hacker dans son sac. Il craque les fichiers, les publie sur Internet et invite experts médicaux et profanes à réagir. En quelques jours, il commence à recevoir toute sorte de contributions : des mails de bon rétablissement aux suggestions d’articles scientifiques, en passant par les coordonnées de professionnels de santé et des conseils pour les thérapies de pointe. Il y a, bien entendu, de tout et n’importe quoi. Il décide donc de cartographier, trier et analyser ces contributions disparates au moyen d’un outil de datavisualisation de sa création. Mis à jour quotidiennement par ses soins, ce graphe navigable donne accès aux dossiers médicaux et aux informations pertinentes collectées par la communauté de contributeurs Web de La Cura, son “traitement open source”. »

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... et ouais.

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... idem pour l'alcool.

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Infographie en anglais expliquant les problèmes engendrés par l'arbitraire système de paiement des états-unis concernant les appels téléphoniques aux détenus. Les coûts élevés contraignent certains citoyens étasuniens relativement pauvres à raréfier les appels vers leurs proches incarcérés, ou pire, à rompre le contact avec eux. Ces tarifs sont le résultat des barèmes imposés par les opérateurs téléphoniques, le prétexte étant de se couvrir contre les taxes disproportionné des états, en l'absence de régulation de la FCC (Federal Communication Commission). Les opérateurs passent des contrats avec les prisons et détiennent le monopole sur la totalité des appels aux prisonniers, vaches à lait des sociétés avec lesquelles les contrats sont passés. Les pourcentages sur les recettes de ces appels téléphoniques, exigés par les états dans lesquels se trouvent les prisons, sont appelés "rebonds" (kickbacks). Certains états ont des frais de connexion systématiques de 3 dollars ou plus, quelle que soit la durée de l'appel et en addition au tarif de base à la minute. Quelques états ont cessé de recevoir ces "rebonds" sur les appels des prisonniers. La Californie, le Nouveau-Mexique, le Nebraska, le Michigan, le Missouri, le District de Columbia, la Caroline-du-Sud, Rhodes-Island. L'Alaska est le seul état où les prisonniers peuvent appeler localement en PCV sans frais supplémentaires. Une pétition (locale, USA) a été lancée par Martha Wright (vidéo, en anglais) pour demander à la FCC de changer cette situation, qui selon certaines associations dont la NAACP (National Association for the Advancement of Colored People), accentue les risques de récidive, place des obstacles inutiles dans la communication entre les détenus et leurs familles, complique la réintégration... Les prix des appels peuvent atteindre 18 dollars (environ 14 euros) pour une petite conversation de 15 minutes. A ce tarif, pour 1h / semaine, un mois (à 4 semaines) fait 288 dollars, une année (à 52 semaines) revient à 3744 dollars.

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