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Un New-Yorkais invente le trafic de drogue social

vendredi 16 novembre 2012 à 20:55
« Touché par la détresse de ses voisins, un dealer a décidé de garder un pourcentage de ses bénéfices pour aider les sinistrés de Sandy. Une opération humanitaire... et commerciale. »

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En Europe, l'essor des drogues de synthèse inquiète

vendredi 16 novembre 2012 à 19:54
Alors les drogues de synthèse qu'on peut trouver sur internet, c'est une solution de facilité pour ceux qui ne veulent pas s'emmerder à devoir fréquenter certains milieux pour pouvoir se défoncer safe, et qui voulant se défoncer à tout prix, vont aller prendre n'importe quoi du moment que ça les casse.
La prohibition ça donne aussi ça parfois dans certains lieux : la pénurie qui provoque un excès de demande, et l'apparition de nouveaux produits non réglementés, donc légaux, mais relativement explosifs pour les neurones, bourrés de chimie. A chaque fois qu'un chimiste observe une modification des sens, du ressenti, du à l'absorption d'un alliage de substance, si l'effet est pas trop désagréable et dure plus que quelques secondes, alors ça peut faire une nouvelle drogue et rendre riche notre chimiste... S'il s'avère qu'il sait où se trouvent (sur le net, y en a partout) quelques désespérés prêts à tout pour se défoncer, c'est la mine d'or comme on dit ;) Si en plus sa substance provoque une addiction rapide, il est certain de revoir ses clients, et de pouvoir maintenir une forme de pression sur eux, du prix car il détiendra le monopole tant que la formule n'aura pas été analysée ou connue d'une manière ou d'une autre... Faut quand même avoir peu d'estime pour l'être humain...

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Lors des années collège, "le cannabis, on y goûte tous un jour"

vendredi 16 novembre 2012 à 19:12
Comment peut-on laisser des gens aussi peu pragmatiquement informés aller induire en erreur nos gamins, refuser les débats sur la dépénalisation (qui n'est pas une solution) ou sur la légalisation (à la limite... bon moi je préconiserai plutôt une remise à zéro de toutes les lois, dissolution de tous les partis politiques, de tous les gouvernements, de toutes les institutions, et de l'argent, et on remonte petit à petit des structures démocratiques au sens premier du terme, uniquement SELON LES BESOINS jamais plus, et on se fournit en matières premières autour de nous. mais bon à défaut de tout ça, une petite légalisation je dis pas ;) ) avec ces mêmes gamins ? Laisser la parole aux flics pour parler des drogues, c'est le comble... Comme si c'était les flics qui connaissaient le mieux les produits... Faut arrêter de prendre les élèves pour des cons peut-être, alors vous réussirez à les captiver... Arrêter de tout le temps vouloir leur imposer vos façons de penser comme pensée unique, parce que quand je lis ceci : « L'ambiance est à la rigolade, alors l'un d'eux se lance : "On aura des échantillons ?" "Pourquoi ?", demande l'animatrice de l'Association pour l'écoute et l'accueil en addictologie et toxicomanie (Apleat). L'ado dit vouloir savoir à quoi ça ressemble, le cannabis. Ce n'est pas le lieu. » Je me dis CENSURE et la censure c'est jamais la solution, c'est encore une fois infantiliser l'ado qui le sent et qui échappe à l'adulte... encore et comme d'hab. Leurs petites interventions médiatisées dans des collèges où la consommation n'est pas problématique ("Dans le collège de Châteauneuf-sur-Loire, près d'Orléans, jamais un élève n'a été pris en flagrant délit de consommation de cannabis, encore moins de trafic.") elles servent qu'à rassurer les parents et les élus, les flics et l'administration du lieu, mais ce n'est pas un lieu de débat, l'intervenante a tranché. Alors sortons de là. Nous n'avons rien à y foutre.

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Sur le cannabis, l'éducation nationale "bricole un peu"

vendredi 16 novembre 2012 à 18:40
"Ils nous confient leurs problèmes de sommeil, de concentration, ajoute Béatrice Gaultier, du SNICS-FSU. A nous de saisir la perche et d'élargir le propos aux drogues, sans être dans une posture moralisante ni se laisser enfermer dans le débat sur la dépénalisation, dont ils sont tous très friands." Alors là je ne comprends pas : ils fuient le dialogue, et avouent même que les élèves sont friands du sujet dépénalisation/légalisation du cannabis, mais il faut refuser ce débat ?? Pourquoi ? Par quelle censure ? C'est à cause de J.M. Ayrault et de Peillon ? Les profs doivent aussi, comme leurs ministre, fermer leurs bouches à ce sujet ? Mais qu'est-ce donc que cette censure gouvernementale de meeeeeeerdeeeEEU?? « On peut vouloir faire une politique de prévention avec de hautes ambitions, des associations qui viennent parler des risques du cannabis, des policiers pour expliquer la loi, des avocats pour parler du droit, si cela ne correspond pas aux besoins des élèves, ça ne fonctionne pas." En dépit des efforts, l'éducation nationale fait fausse route, estime le professeur Daniel Bailly, pédopsychiatre. "L'idée qui prévaut, c'est que si l'on informe les jeunes des dangers, ils vont pouvoir développer un état de défense par rapport aux substances. C'est oublier qu'ils en savent souvent plus que les adultes sur le sujet ! » HAhahahaha! et ouais! Paf, prend ça dans ta gueuuuuleeeeeu XD

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DROGUES en Europe: Un marché désormais hors de contrôle?

vendredi 16 novembre 2012 à 15:20
« Le cannabis, une préoccupation majeure : L’Europe est en effet devenue un producteur majeur, les consommations intensives s’intensifient, les saisies d’herbe de cannabis augmentent (régulièrement depuis 2005). 23 millions d’Européens ont consommé du cannabis dans l'année. Parmi les 9 pays affichant une augmentation significative, la France, avec une des plus fortes augmentations relevées, la Lettonie, la Hongrie et la Pologne. 3 millions d'Européens âgés de 15 à 64 ans sont des consommateurs quotidiens. Enfin, près de 25 % des usagers débutant un traitement déclarent que le cannabis est la drogue leur posant le plus de problèmes. » Ouais en gros une bonne partie de ces 25% seront inutilement assistés, car c'est pas 25% qui ont besoin d'une aide concernant leur consommation de cannabis, ça personne me fera croire cette connerie, par contre 25% croient en avoir besoin et seuls quelques uns ont raison et ces quelques uns auraient aussi eu des problèmes en consommant n'importe quelle autre drogue, car ce sont des personnes qui sont prédestines à avoir des problèmes psychologiques facilement, les plus fragiles quoi ce qui pour moi n'est pas une tare, non et faut pas me faire dire ce que je dis pas... beaucoup aussi sont poussés par la "justice" ou leurs parents, forcément flippés par la diabolisation (oui je le répète, les campagnes d'années de diabolisation des drogues, d'infantilisation et de criminalisation des consommateurs, tout ça a bien fonctionné : la plupart des gens font encore les amalgames voulus par ces opérations de propagande mensongère, et l'état pet se justifier d'être tourné vers la répression systématique, plutôt que le dialogue et la compréhension... la prévention un peu, mais pas trop quand même hein??! faut pas déconner non mais!

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