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Dans le monde de la presse drogues, y a les méchants et les gentils. Les méchants ce sont les officiels mafieux et tous ceux qui sont sous eux, jusqu'au consommateur/acheteur des produits que les méchants businessent. Et les gentils, ce sont les flics, le peuple (oui celui qui consomme tantôt il est méchant tantôt il est gentil hein) et des notables moins connus pour leurs affaires illégales que pour celles médiatisées, légales, écrans de fumées... eux feintent de se battre contre les trafics alors que la majorité de ces truands en profitent bien. Et la presse donc raconte ces histoires manichéennes. Débile? Non! Stratégique! C'est pour mieux servir le pouvoir... Et vous asservir, vous et tous ceux qui acceptent de fermer leur gueule en fournissant la vaseline au prix imposé, beaucoup plus cher que sur le marché bien sûr. La presse ajoute de la merde dans les yeux des gens qui croient à ce simplisme... Et ça fait CHIER au final.

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Interview de l'auteur du sondage belge sur la cannabiculture. On dénote un point commun avec énormément de discours pragmatiques au sujet de la guerre aux drogues : « Les politiques répressives ont montré toute leur inefficacité. Surtout, elles ont rendu ce marché totalement incontrôlable, tant au niveau de la qualité des produits que de leur prix. »

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Et ouais, c'est un fait, et la prohibition est la première bonne à leur service! Surtout ne pas stopper la prohibition car les marchés parallèles font gagner trop de tunes à ceux qui feintent de se battre contre les produits prohibés! L'ouroboros. La guerre aux drogues est une immense mascarade. Et les premiers qui en profitent réellement sont des gens violents et sans aucun scrupules, qui n'hésitent pas à trafiquer de l'humain quand la consommation d'héroïne commence à décliner. Voilà la vérité que les porcs au pouvoir et les sous-clebs surarmés qui les protègent connaissent très bien, mais n'avoueront jamais car ce serait avouer leur nuisance pour nous!

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