PROJET AUTOBLOG


FredericBezies

source: FredericBezies

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Un peu d’auto-promotion, ça n’a jamais tué personne… Du moins pas encore, j’espère :)

dimanche 6 novembre 2016 à 07:09

Je ne parle que peu souvent de mes écrits non techniques. Je suis un humble gratteur de papier qui essayent de (se) faire plaisir en racontant des histoires. Je suis loin d’avoir le talent de, en commençant par les représentantes du beau sexe :

Et encore j’ai dû oublier des noms dans cette liste qui donne à l’auto-édition des lettres de noblesse méritées. Je tiens à m’excuser pour les oublis ! Mea culpa ! Ne vous inquiétez pas, j’ai prévu le cilice et le fouet pour me punir de ma mémoire défaillante 😀

Je travaille depuis le début de l’année 2016 sur un projet qui s’appelle « Allez sans rancunes » qui d’un petit projet qui a pris du poids. J’ai déjà publié sur Atramenta les trois premières parties, qui couvre des chroniques cyniques et je l’espère humoristique pour les périodes de Janvier à Mars, Avril à Juin et Juillet à septembre.

Début 2017, je publierai une version regroupée sur Amazon (et Kobo ?) en complément des 4 parties sur mon espace Atramenta. Je pense que je mettrai le tout à 0,99€ au pire. De quoi financer en 4 à 5 millénaires un appartement dans le XVIe à Paris, non ? 🙂

Bref. Mais je me suis dit qu’il serait intéressant que je vous partage sur le blog une des dernières entrées, rédigées à la va-vite en fin de nuit, car mon cerveau faisait des siennes 🙂

Si vous préférez la version en ligne, vous l’aurez aussi à l’adresse suivante : http://www.atramenta.net/lire/allez-sans-rancune–partie-4/61799/10#oeuvre_page

J’aime pas… l’auto-édition.

Je vous vois arriver à triple galop. Quoi ? Il n’aime pas l’auto-édition alors qu’il l’utilise pour publier ses chroniques ? Pourquoi crache-t-il ainsi dans la soupe ? Serait-il un hypocrite, un faux-cul, un Onuphre comme le dépeignait La Bruyère dans ses Caractères ?

Nullement. Je suis juste réaliste. L’auto-édition est le rêve pour nombre de personnes grattant le papier avec plus ou moins de talent et de réussite. D’ailleurs, on y trouve « le meilleur comme le pire. Mais c’est dans le pire qu’elle est la meilleure. » La première personne qui arrivera à trouver l’origine de cette citation y gagnera toute mon estime. C’est mieux que rien, non ?

Pour moi l’auto-édition, c’est comme un étalage où cohabiterait du pâté de campagne premier prix périmé et faisandé avec du foie gras luxueux truffé. Les deux étant vendus au même prix et sous le même emballage. Autant dire que lire de l’auto-édition, c’est un peu comme jouer à la roulette russe en ignorant si le barillet contient une ou six balles.

Je pourrais m’étendre durant des heures sur les dérives de cette noble idée, permettre à tout le monde de pouvoir s’exprimer par l’écrit. Je pourrais aussi m’étaler durant des heures sur les commentaires qui doivent être sans autre forme de procès notés le maximum possible sous peine de subir les foudres des ami(e)s de l’auteur(e) qui font tout pour défendre la production attaquée.

À croire que l’on est en face d’une École des Fans à la taille de la planète, et que les seules notes acceptables sont neuf et dix, même pour la pire des prestations. Je veux bien que la chanteuse Vanessa Paradis y ait fait sa première télévision. Mais combien de personnes auraient mieux fait pour le bonheur des oreilles de l’audience de rester à chanter sous la douche ?

Il y aura toujours des pépites et de la production écrite dont l’orthographe et la grammaire feront penser à une classe de CM2 abusant de substances illicites. Mais tel un chasseur d’or de la ruée de 1848 en Californie, il se peut qu’on soit chanceux dans nos fouilles dans les productions de l’auto-édition. Il suffit de persévérer.

Allez, sans rancune pour cette fois, hein ?

Oui, je sais, je suis très loin d’avoir une superbe plume. Mais je tenais à vous faire partager cette chronique.

Pourquoi ?

Tout simplement, elle tient au fait que certaines personnes que j’ai qualifié d’ami(e)s des auteur(e)s se prennent pour une garde prétorienne et sont capables de tout. Comme de se défouler suite à une critique argumentée, comme j’ai pu en faire les frais sur mon roman gratuit « Un mois d’octobre sans fin ».

Je vous laisse apprécier les captures d’écran ci-après… Et avec l’article du blog correspondant.

fan-001Avec la réponse qui va bien 🙂

fan-002Et la suite :

fan-003Avec de tels ami(e)s, Rose M dont j’ai critiqué la plume n’a pas besoin d’ennemis !

Allez, sans rancune pour cette fois, hein ? 🙂

Ajout à 21h00 : La réponse de la blogueuse a été de me bloquer et de me traiter de tous les noms… Alors qu’elle m’avait légèrement attaqué en traitre…

L’auto-édition rend complètement fou, en voici donc la preuve 🙂