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FredericBezies

source: FredericBezies

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Confession d’un amateur de musique, épisode 7 : ma découverte du métal industriel avec « Ghosts I-IV » de Nine Inch Nails.

dimanche 11 décembre 2016 à 15:43

J’aime le metal sous de nombreuses formes, et je reviendrai dans d’autres billets sur les autres formes. Mais dans ce billet, j’ai envie de parler de la découverte la plus transversale de découverte en terme de metal… Sa variante dite industrielle  via l’album concept de Trent « NiN » Reznor.

Grand fan des jeux d’id software à partir de Quake jusqu’à Doom 3, NiN ne m’était pas un nom inconnu, même si je n’avais pas fait le rapport avec la musique 😉

Nous sommes en mars 2008. J’entends parler d’un album concept proposé par un musicien que je ne connais pas vraiment alors, Trent Reznor. À l’époque, la DADVSI est une toute jeune loi. C’est l’ancêtre de l’usine à gaz HADOPI.

Les producteurs de galettes plastifiées venaient d’avoir la peau du réseau Kazaa et attendaient avec impatience le procès du site ThePirateBay qui aura lieu en 2009.

Quelques mois auparavant en octobre 2007, Radiohead avait proposé en libre téléchargement son album « In Rainbows ». Autant dire que quand Trent Reznor propose en libre téléchargement le premier quart de son album Ghosts I-IV, je saute sur l’occasion pour récupérer la musique trop content de pouvoir télécharger légalement et gratuitement quelque chose.

C’est quelques mois plus tard que je découvre les autres créations du groupe de metal industriel, et certains albums sont des sacrées claques. Lesquels ? Je vais rester classique, et commencer par le monstre qu’est « The Downward Spiral » avec des titres phares comme « March of The Pigs », « Closer », « Piggy », « Reptile », « Hurt ».

C’est un des rares albums que je considère être sans point faible, modulo « A Warm Place ». Dans les gros albums que j’ai découvert, je dois dire que « Year Zero » frappe encore plus du poing sur la table. J’ai petit à petit récupérer la quasi-totalité des albums de la discographie, mis à part le halo 15 constitué de trois galettes qui sont limites introuvables 🙁

Cela a été mon introduction au metal. J’ai ensuite décidé de me replonger au source du metal, mais ce sera l’occasion d’un autre billet… Qui parlera d’un certain John Michael Osbourne et d’un sabbat noir 🙂