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Une idée pour améliorer la cryptographie : la part du linguistique

samedi 6 juillet 2013 à 09:32
De nos jours, l'augmentation de la puissance des ordinateurs, permettent de déchiffrer rapidement les messages, réduisant à peau de chagrin le temps de comprendre un message. On peut donc, légitimement se poser la question de savoir si la cryptographie est toujours valable de nos jours. Par cryptographie, j'entends un chiffrement mathématique, à l'aide d'algorithmes complexes.
De tout temps, et surtout en temps de guerre, de cacher un message de l'ennemi.
Par exemple, la Résistance, pendant la seconde guerre mondiale, essaye de cacher des messages par des phrases anodines comme "la tante Michèle à mangé chez Yves, elle a aimé la tarte tatin", signifiant le lancement d'une opération.
Ma grand-mère me racontait, que, pendant la guerre, deux personnes dans son village étaient aviateurs. Pour pas que les messages ne soient compris par l'ennemi, par les japonais, ils parlaient dans leur patois local.
Dans les deux cas, on voit que le message est caché par l'ignorance.
Bien sûr, de nos jours, avec l'analyse sémantique, on risque de déchiffrer ces messages.
Cependant, je pense qu'on pourrait doubler, en plus de la cryptographie traditionnel, joindre nos messages d'allusions connus seulement des deux membres de la communication.
Comme ça, si le chiffrement est "cassé", le message reste incompréhensible. On a donc une double sécurité.
Le seul point faible, c'est qu'il faut que les deux membres de cette communication comprennent et ont le même "bagage" linguistique. Ce bagage doit pas être trop démocratisé, car sinon, en cas de déchiffrement, le message sera compris par ceux qui l'auront intercepté.
Bref, tout un programme.
Ainsi, grâce aux pouvoirs de la langue et des mathématiques, on arrive à une sécurité importante.
Qwerty