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C’est une idée que je trouve géniale ! Utiliser des petits écrans à encre électronique sur chaque touche d’un clavier, pour permettre d’afficher ce que l’on souhaite sur ces touches et les modifier à volonté.

Ce concept de clavier designé par un duo de designers Maxim Mezentsev et Aleksander Suhih permet d’adapter le visuel de chaque touche du clavier en fonction du logiciel lancé. Sur l’exemple ci-dessous, on peut apercevoir les différents raccourcis claviers changer en fonction des logiciels lancés (Clavier normal, Photoshhop, Word…) directement imprimés sur les touches. La mémorisation des raccourcis est alors bien plus simple !

On peut également imaginer changer la « langue » du clavier à la volée, et passer d’un azerty à un qwerty ou encore à un qwertz, ou encore l’adapter à certain jeux vidéos.

Ce clavier utilise donc des petits écrans à encre électronique (aussi appelé e-ink), tels que ceux utilisés dans les liseuse qui font fureur actuellement (Kindle, Kobo, etc…) Ces écran on l’avantage d’être plus résistants que les écrans classiques, et de ne consommer aucune énergie, tant que l’on ne modifie pas ce qui est affiché.

 

Il me semble qu’un clavier similaire existe déjà, mais avec des touches de couleur, ou du moins avec des petits écrans de type LCD qui doivent donc consommer pas mal d’énergie en plus d’être bien plus fragiles que ce concept.

Sources [Tom’s Guide] et [Yanko Design]

Petit incident technique chez mon hébergeur. Mais le serveur est de retour… ouf !

Suite à la chute de la météorite en Russie qui a fait grand bruit (hum… désolé…), voici une carte regroupant tous les impacts de météorites recensés depuis l’an 2300 avant JC.

Ça en fait des impacts !

Edition du 11/03/2013 :
Microsoft fait machine arrière !

Edition du 15/02/2013 :
PCInpact confirme !

Microsoft a dévoilé le mode de licence de la prochaine version de sa suite bureautique bien connue. Office 2013 aura une licence utilisateur liée à une machine… A vie !

Qu’est-ce que cela signifie ? Tout simplement que lorsque vous installerez votre version d’Office 2013 sur votre ordinateur, cette dernière sera tout simplement liée définitivement et irrémédiablement à votre ordinateur. Il ne vous sera alors plus possible de l’installer sur une autre machine. Vous n’aurez donc plus la possibilité de changer votre ordinateur, et de conserver vos logiciels. Vous devrez racheter complètement la suite Office 2013.

Mais il y a encore pire ! Si par malheur, un pièce de votre ordinateur vient à tomber en panne (carte mère, disque dur, mémoire RAM, etc…), alors le remplacement de la pièce défectueuse sera détectée comme un changement d’ordinateur, et donc vous l’aurez compris, votre licence Office 2013 ne sera plus valide. On rachète !

Ce nouveau mode de licenciement d’Office 2013 est une véritable aberration. Qui a envie de racheter un nouveau logiciel à chaque nouvelle machine ? Ou encore pire, à chaque fois qu’une pièce est défectueuse dans son ordinateur ?

Mais attendez ! Microsoft a bien une solution à ce problème !

Pour éviter ces « légers » inconvénients, ils nous proposent de nous abonner à Office365. C’est la version web d’Office 2013, qui ne fonctionne que sur Internet (un peu comme Google Documents). Et bien sûr  cet abonnement sera à renouveler annuellement…

Et dans ce cas, si vous n’avez pas de connexion internet (coupure accidentelle du réseau, déplacement professionnel, utilisation d’un ordinateur portable en extérieur, ou que sais-je encore ? ),  il vous sera alors impossible de taper un document Word, impossible de remplir une feuille Excel, impossible de préparer un Power Point…

Encore une fois, les seuls utilisateurs qui ne seront pas embêtés par des problèmes de licences trop restrictives, ou par des problèmes d’accès à leur logiciel hors connexion, seront les utilisateurs ayant une version piratée du logiciel… Bravo !

Source : [Geek.com] & [SebSauvage]

On les retrouve régulièrement dans les histoires de science fiction. Les voitures autonomes, capables de vous conduire d’un point A à un point B sans aucune intervention humaine et en toute sécurité, n’ont jamais été aussi proche de la réalité. N’en déplaise à la science fiction !

En effet, Google a annoncé en 2010 travailler sur une voiture entièrement autonome se basant sur un GPS, un lidar (une sorte de radar utilisant un laser plutôt qu’une onde) disposé sur le toit, une caméra, un radar et toute une série de capteurs. Ces voitures sont capables de réagir correctement à plus ou moins toutes les situations de conduites habituelles. Par exemple, actuellement, une des limitations du système est son incapacité à répondre aux sollicitations des forces de l’ordre (demande d’arrêt, ou faisant la circulation).

Depuis le début du projet, les vidéos et les reportages sur le sujet se multiplient. Une des plus marquantes est celle d’une voiture parcourant un circuit de plot sur un parking en « mode sport ». Je met le « mode sport » en guillemets, car la voiture reste une Prius. On a vu mieux pour faire du sport automobile !

Google croit en son projet (et moi aussi), et essaye de faire homologuer ses voitures de test. En effet, la loi leur interdit de faire rouler une voiture sans conducteur humain pour le moment. Les testeurs, pour faire rouler leurs voitures, ont donc du faire appel aux forces de l’ordre pour leur ouvrir la route sur près de 200 000 km. Mais en 2012, les états de Californie, du Nevada et de la Floride ont autorisé la circulation des voitures autonomes de Google.

Actuellement, ce sont près de 500 000 km en entière autonomie qu’ont parcourus ces voitures. Et sans aucun accident ! Et pour faire un peu de promotion, le premier conducteur « civil » a été une personne déficiente visuelle à 95% du nom de Steve Mahan.

Dernièrement, Google a annoncé qu’ils espéraient finaliser leur technologie d’ici trois à cinq ans. Quand ils parlent de finalisation, ils ne parlent pas forcément d’une voiture finie. Ils ne savent pas encore à quoi va ressembler leur produit fini. Est-ce que ce sera une voiture ? Un kit à installer sur certaines voitures (comme les Prius testées) ? Ou est-ce que ce sera un logiciel et du matériel qui sera revendu aux constructeurs automobiles ?

Dans tous les cas, les plus gros problème qui restent à régler sont l’homologation de ces véhicules partout dans le mode, et les problèmes de responsabilité en cas de problème.

La technologie sera peut être prête, mais pour le reste… C’est pas gagné….

Vivement !

Sources : [The Verge] [Wikipedia]