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Les terroristes de Charlie Hebdo ont changé de véhicule devant un local utilisé par l’armée israélienne !

dimanche 1 février 2015 à 14:47
 i24 (chaine d'infos en continu israélienne) sort sa campagne d'affichage en France le 7/01 au matin, pub placardée sur les murs parisiens et de banlieue. C'est aussi i24 qui annonce dès 14h que les auteurs sont franco-alégriens et qu'ils se nomment Kouachi

i24 (chaine d'infos en continu israélienne) sort sa campagne d'affichage en France le 7/01 au matin, pub placardée sur les murs parisiens et de banlieue. C'est aussi i24 qui annonce dès 14h que les auteurs sont franco-alégriens et qu'ils se nomment Kouachi

Lors de leur fuite, les auteurs de l'attentat du 7 janvier auraient volé une voiture devant un commerce lié au ministère israélien de la Défense. Révélations.

 

C'est l'une des séquences les plus mystérieuses de la journée du 7 janvier : que s'est-il exactement passé, autour de midi, dans la rue de Meaux? 

Voici ce qu'en disait -le jour même- François Molins, procureur de la République de Paris et conférencier de la mouvance sioniste hexagonale : 

Les mis en cause -au nombre de trois, selon le témoignage d'une personne avec laquelle ils allaient avoir un accident- poursuivaient leur route vers le nord de Paris et percutaient violemment un véhicule Volkswagen Touran, place du colonel Fabien, dans le XIXème arrondissement, blessant la conductrice. 

Ils tentaient alors de poursuivre leur route mais devaient finalement abandonner précipitamment leur voiture au niveau de la rue de Meaux et braquer alors le conducteur d'un véhicule de marque Clio. Ils s'emparaient du véhicule et… prenaient la fuite avec celui-ci.

 

 

La  radio fondée par le Franco-Israélien Jean Frydman omet de rapporter un détail intriguant. L'homme qui s'est retrouvé accidentellement derrière les terroristes voyait chaque matin deux de leurs victimes : les caricaturistes Cabu et Wolinksi auprès desquels il exerçait sa profession de vendeur des journaux. Mieux encore : il était leur "ami" si l'on en croit son entretien -également diffusé deux jours après l'attentat- avec l'hebdomadaire Paris-Match.

Autre élément curieux : ce sexagénaire y laisse entendre que son altercation se serait déroulée "à l’angle de la rue Simon Bolivar et de l’avenue Mathurin Moreau".  Confusion géographique du témoin ou mauvaise audition du journaliste? Le lieu indiqué ne correspond pas à la zone du 45, rue de Meaux où fut retrouvée la voiture des terroristes. 

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Seule la consultation de la video-surveillance capturée depuis une caméra précisément située à cet angle permettrait de dissiper le quiproquo.

Une chose est cependant certaine : emprunter l'avenue Mathurin Moreau (en venant de la place du colonel Fabien) puis l'avenue Simon Bolivar pour s'engouffrer dans la rue Sadi-Lecointe permet de déboucher directement au 45, rue de Meaux où se trouve, juste à droite le Patistory, juste à gauche le -discret- passage de la Brie.

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Angle de la rue Sadi-Lecointe et de l'avenue Simon Bolivar

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Le 45, rue de Meaux, faisant face à la rue Sadi-Lecointe

Avantage rare de ce secteur parisien : l'absence totale -en dépit d'une forte densité de population- de toute caméra de vidéo-surveillance.

Pour conclure cet article, tentons de résumer ce singulier imbroglio : des djihadistes-terroristes-antisémites présumés prennent la fuite en direction du quartier où vit la plus importante communauté juive de France, abandonnent leur véhicule devant un commerce cacher tenu par un couple ultra-sioniste collaborant avec le ministère israélien de la Défense et volent à visage découvert -selon des témoins anonymes- la voiture d'un marchand de journaux non identifié et lié à deux de leurs victimes.

Signalons enfin un point subsidiaire mais qui laisse songeur : AUCUN média traditionnel n'a rapporté le témoignage des gérants de Patistory. Une telle lacune médiatique est proprement stupéfiante : voici un restaurant -nécessairement fréquenté par des clients en cette heure du déjeuner- qui fut aux premières loges d'une séquence historique (la seconde fuite des terroristes deCharlie Hebdo) mais dont l'expérience originale est totalement passée sous silence par les journalistes audiovisuels. Contrairement à la pratique récurrente dans des cas similaires, ces derniers n'ont pas jugé utile d'aller, caméra à l'épaule, recueillir le point de vue des restaurateurs et de leurs clients, pourtant témoins-clés de la scène.

Cerise sur le gâteau : cet étrange profil bas est également adopté par les premiers concernés. Sur la page Facebook de Patistory, nulle mention de l'incident survenu le 7 janvier. Seule une publication de soutien à Charlie a été mise en ligne.

La sombre affaire Charlie Hebdo n'a vraisemblablement pas dit son dernier mot.

À vous, lecteur et citoyen, de briser la double omerta française des affairesFredou et Patistory.

Plus que jamais, ne vous laissez pas intimider par la nouvelle pensée uniquequi se manifeste dans les procès délirants -intentés par des apprentis censeurs et leurs idiots utiles- en sorcellerie "complotiste".

Faites passer l'info.

 

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