Jair Bolsonaro's Victory in Brazil Carries a Grave Warning for the West - Shaarli de Sam Ganegie
mardi 30 octobre 2018 à 20:37Tu as 3 trains de retard:
– https://www.monde-diplomatique.fr/2018/10/GREENWALD/59162
– https://www.monde-diplomatique.fr/2018/05/VIGNA/58616
– https://www.monde-diplomatique.fr/2017/12/VIGNA/58174
Faut bien comprendre une chose. L’élection n’est pas décisive, ce n’est pas une décision à t=0. La décision a déjà été prise à t=]-n;-1]. C’est une photo. C’est un état cristallisé d’une société à t=0. Quand un facho prend le pouvoir, ce n’est pas le hasard. C’est voulu depuis un moment. Cela a été travaillé. L’opinion de masse, cela se travaille sur plusieurs années pour le permettre.
Et ce n’est pas UN facho que l’on met au pouvoir. C’est une polarisation fasciste de la société que l’on a fait germer et mener a maturité avec des BFNTV-like pendant des années.
C’est dans ce sens-là qu’il faut comprendre ce parallèle simpliste:
Le plastique, c’est la faute des producteurs, et pas exclusivement des consommateurs.
Le fascisme, c’est la faute des producteurs, et pas exclusivement des votants.
Les premiers décident, les derniers actent.
Et les producteurs du fascisme, ils sont bien connus. C’est le système Capitalisme. C’est le système Financier. C’est le système des Banques, de la monnaie dette et l’idéologie de Droite qui lui donne deux jambes pour aller En Marche.
1) justification systématique de l’injustifiable
2) mépris systématique de son prochain
«Le fascisme, c’est le mépris. Inversement, toute forme de mépris, si elle intervient en politique, prépare ou instaure le fascisme.» Albert Camus
Et ici le “politique” cela doit se comprendre comme choix politique, le verre a moitié vide VS. le verre a moitié plein.
Le banquier, il a un nom, il a une adresse!
Le fascisme et le libéralisme économique, est les 2 faces d’une même pièce.
Le Capitalisme et le Fascisme, ce n’est pas une histoire de compatibilité. Mais de comptabilité. Le Capitalisme et le Fascisme, c’est la même chose.
Le Capitalisme, c’est entropique. C’est le nivellement vers le bas continuel.
Une fois que cela à bouffer les 3/4 du gâteau, cela en veut encore plus, toujours plus. Et pour récupérer les derniers 1/4, il faut sortir les chiens, car c’est le seul moyen de prendre le pain à un mort de faim.
Le Fascisme, c’est une phase du Capitalisme. Cela tend au féodalisme et à l’esclavage des un par les autres.
Et c’est un système qui marche d’autan mieux qu’il ne se maintient qu’avec des cons à son sommet.
Au contraire des modèles alternatifs qui pour l’instant se ne sont pensé pour être mené par des gens trop brillants, trop sages.
Relisez Orwell!
Orwell, ce n’est pas BigBrother!!! C’est bien plus que cela!
La version hollywoodienne de 1984 est une version aseptisée, inoffensive de 1984.
Relisez “1984”, où il explique le phénomène de nivellement vers le bas, et le phénomène de destruction-création comme maintient de domination du temps des masses.
Lisez “La Ferme des animaux” d’Orwell, où il montre les mécanismes sociétaux qui mènent au Fascisme.
(Permalink)
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Faut bien comprendre une chose. L’élection n’est pas décisive, ce n’est pas une décision à t=0. La décision a déjà été prise à t=]-n;-1]. C’est une photo. C’est un état cristallisé d’une société à t=0. Quand un facho prend le pouvoir, ce n’est pas le hasard. C’est voulu depuis un moment. Cela a été travaillé. L’opinion de masse, cela se travaille sur plusieurs années pour le permettre.
Et ce n’est pas UN facho que l’on met au pouvoir. C’est une polarisation fasciste de la société que l’on a fait germer et mener a maturité avec des BFNTV-like pendant des années.
C’est dans ce sens-là qu’il faut comprendre ce parallèle simpliste:
Le plastique, c’est la faute des producteurs, et pas exclusivement des consommateurs.
Le fascisme, c’est la faute des producteurs, et pas exclusivement des votants.
Les premiers décident, les derniers actent.
Et les producteurs du fascisme, ils sont bien connus. C’est le système Capitalisme. C’est le système Financier. C’est le système des Banques, de la monnaie dette et l’idéologie de Droite qui lui donne deux jambes pour aller En Marche.
1) justification systématique de l’injustifiable
2) mépris systématique de son prochain
«Le fascisme, c’est le mépris. Inversement, toute forme de mépris, si elle intervient en politique, prépare ou instaure le fascisme.» Albert Camus
Et ici le “politique” cela doit se comprendre comme choix politique, le verre a moitié vide VS. le verre a moitié plein.
Le banquier, il a un nom, il a une adresse!
Le fascisme et le libéralisme économique, est les 2 faces d’une même pièce.
Le Capitalisme et le Fascisme, ce n’est pas une histoire de compatibilité. Mais de comptabilité. Le Capitalisme et le Fascisme, c’est la même chose.
Le Capitalisme, c’est entropique. C’est le nivellement vers le bas continuel.
Une fois que cela à bouffer les 3/4 du gâteau, cela en veut encore plus, toujours plus. Et pour récupérer les derniers 1/4, il faut sortir les chiens, car c’est le seul moyen de prendre le pain à un mort de faim.
Le Fascisme, c’est une phase du Capitalisme. Cela tend au féodalisme et à l’esclavage des un par les autres.
Et c’est un système qui marche d’autan mieux qu’il ne se maintient qu’avec des cons à son sommet.
Au contraire des modèles alternatifs qui pour l’instant se ne sont pensé pour être mené par des gens trop brillants, trop sages.
Relisez Orwell!
Orwell, ce n’est pas BigBrother!!! C’est bien plus que cela!
La version hollywoodienne de 1984 est une version aseptisée, inoffensive de 1984.
Relisez “1984”, où il explique le phénomène de nivellement vers le bas, et le phénomène de destruction-création comme maintient de domination du temps des masses.
Lisez “La Ferme des animaux” d’Orwell, où il montre les mécanismes sociétaux qui mènent au Fascisme.
(Permalink)