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Gender dysphoria in adolescence: current perspectives

dimanche 21 mars 2021 à 09:35

je me suis posé la question des raisons de l'augmentation des enfants et ados qui s'identifient comme étant de l'autre genre que leur genre biologique qui est apparu soudainement au début des années 2000.

est-ce que c'est un phénompne qui était sous-jacent mais réprimé qui est devenu visible suite à une meilleure acceptation sociale et un seuil abaissé d'accès aux traitements transgenres ? est-ce que c'est la récurrence de ce sujet qui attire des jeunes en quête d'identité qui s'identifie pour obtenir la validation sociale et l'appartenance à un groupe ? est-ce que c'est un peu des deux ? complèetement autre chose ?

On a là une étude récente qui nous dit que la grande majorité (85%) des ados qui s'engagent dans une procédure de changement de sexe, changent d'avis et le regrettent après la puberté, mais aussi qu'il n'a pas été trouvé de faisceau d'indices montrant un effet de l' abaissement des seuils d'accès au traitement ou de changement socioculturel. On ne sait pas quelle sont les raisons mais on remarque qu'au moment de cette augmentation la surreprésentation de garçons se présentant pour demander un traitement transgenre s'est inversé et ce sont maintenant les filles qui sont 50 à 90% des cas.
Ce changement soudain et concomitent suggère une influence (pression sociale?) visant particulièrement les filles, en particulier certaines filles plus fragiles, plus sensibles dans une période particulière du développement de l'identite de la prépuberté au début de la puberté.

Il est aussi notable que l'industrie qui propose les traitements ment beaucoup, notamment sur les bloqueurs de puberté qui sont présenté comme une pause permettant d'avoir plus de temps pour réfléchir et choisir alors qu'ils ont des effets irreversibles, notamment d'infertilité. On peut citre le cas médiatisé de keira bell au royaume-uni.
on remarque aussi que les profils psychologiques de la plupart des personnes qui se présentent pour recevoir un traitement se recoupent et ont de nombreuses similarités.
Le point à retenir c'est que la plupart des ados qui s'engagent dans ces traitements, n'y trouve pas l'apaisement psychologique attendu et au contraire voient leur souffrance augmenter.

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