76% des travailleurs détestent travailler en open space - developpez.com
mardi 26 mars 2019 à 20:18«Entendre trop de conversations personnelles (34%)
Ne peut pas se concentrer (29 pour cent)»
Normal, 1/3, c’est le nombre d’introvertie dans une population donnée. Cette minorité _opprimée_ par les extraverties (2/3).
Un extraverti, c’est quoi? C’est un individu qui sens, se sens rechargé par l’activité sociale avec/de ces pairs.
Un introverti, c’est quoi? C’est un individu qui se sens, sens sont énergies social être bouffé par trop d’interaction social, même non localisé sur sa personne.
Pourquoi? parce que leurs cerveaux ne filtrent pas suffisamment les inputs de leurs sens et ils se retrouvent avec une surcharge de travail intellectuel due à l’animation/la joie de vivre de ses comparses.
Bruits, langages, expression corporels, déplacements, sous-entendus social ou culturel, etc, etc, tout ce plain de trucs à analyser constamment dès qu’il y a un être vivant dans son environnement à porter de sens. La vie contemporaine urbaine en est surchargé.
S’ils aiment les lieux calmes et les activités réfléchissent en petit comité, ce n’est pas qu’ils sont insociables, c’est qu’ils ont besoin de calme pour ne pas exploser.
S’ils sont plus pointilleux que la moyenne, c’est justement que leurs cerveaux ne filtrent pas et qu’ils doivent donc classifier à une profondeur supérieur l’information qu’ils reçoivent.
Mais cela, ce n’est pas compréhensible pour les extraverties qui eux s’ils ne sont pas sollicités se fatiguent, s’ennuient et se démotivent.
L’introversion/l’extraversion, c’est un spectre. Chacun est quelques parts sur cet axe. On peut être exclusivement plus ou moins introvertie ou plus ou moins extravertie. Un des deux extrêmes étant l’autiste qui se retrouve à ne plus être en mesure de traité l’information qu’il reçoit.
Pourtant il existerait des solutions à minima intelligentes auquel personne ne pense en conformité avec le paradigme de l’openspace.
Sur l’exemple de ce qui se fait dans les bibliothèques universitaires britanniques. Où il a des openspace classique où tu peux travailler, parler, téléphoner et autre sans exagération, d’autre dit "quite" où l’on peut chuchoter et encore d’autre dit "silence" où le bruit est _totalement_ banni.
Mais comme le modèle de l’openspace n’est au fond là que pour réduire les frais matériels de l’entreprise.
Et comme il y a 2/3 de la population qui n’en auront absolument jamais rien à faire, car ils ne pourront pas concevoir ce problème, ne pouvant le ressentir. On n’avancera malheureusement jamais sur ce sujet.
(Permalink)
Ne peut pas se concentrer (29 pour cent)»
Normal, 1/3, c’est le nombre d’introvertie dans une population donnée. Cette minorité _opprimée_ par les extraverties (2/3).
Un extraverti, c’est quoi? C’est un individu qui sens, se sens rechargé par l’activité sociale avec/de ces pairs.
Un introverti, c’est quoi? C’est un individu qui se sens, sens sont énergies social être bouffé par trop d’interaction social, même non localisé sur sa personne.
Pourquoi? parce que leurs cerveaux ne filtrent pas suffisamment les inputs de leurs sens et ils se retrouvent avec une surcharge de travail intellectuel due à l’animation/la joie de vivre de ses comparses.
Bruits, langages, expression corporels, déplacements, sous-entendus social ou culturel, etc, etc, tout ce plain de trucs à analyser constamment dès qu’il y a un être vivant dans son environnement à porter de sens. La vie contemporaine urbaine en est surchargé.
S’ils aiment les lieux calmes et les activités réfléchissent en petit comité, ce n’est pas qu’ils sont insociables, c’est qu’ils ont besoin de calme pour ne pas exploser.
S’ils sont plus pointilleux que la moyenne, c’est justement que leurs cerveaux ne filtrent pas et qu’ils doivent donc classifier à une profondeur supérieur l’information qu’ils reçoivent.
Mais cela, ce n’est pas compréhensible pour les extraverties qui eux s’ils ne sont pas sollicités se fatiguent, s’ennuient et se démotivent.
L’introversion/l’extraversion, c’est un spectre. Chacun est quelques parts sur cet axe. On peut être exclusivement plus ou moins introvertie ou plus ou moins extravertie. Un des deux extrêmes étant l’autiste qui se retrouve à ne plus être en mesure de traité l’information qu’il reçoit.
Pourtant il existerait des solutions à minima intelligentes auquel personne ne pense en conformité avec le paradigme de l’openspace.
Sur l’exemple de ce qui se fait dans les bibliothèques universitaires britanniques. Où il a des openspace classique où tu peux travailler, parler, téléphoner et autre sans exagération, d’autre dit "quite" où l’on peut chuchoter et encore d’autre dit "silence" où le bruit est _totalement_ banni.
Mais comme le modèle de l’openspace n’est au fond là que pour réduire les frais matériels de l’entreprise.
Et comme il y a 2/3 de la population qui n’en auront absolument jamais rien à faire, car ils ne pourront pas concevoir ce problème, ne pouvant le ressentir. On n’avancera malheureusement jamais sur ce sujet.
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