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Un lycéen risque la prison pour un outil de communication chiffré - Numerama - Tech - Numerama - Shaarli | Orangina Rouge

jeudi 11 février 2016 à 09:17
À quand la mise en accusation des fabricants d'armes ou d'explosifs. Oh wait ...

Quand on lit l'article, la situation n'est pas claire, mais il est totalement possible que l'individu ne soit inquiété que parce qu'il refuse de fournir des éléments importants à l'enquête alors qu'il dispose de ces éléments (un vendeur de ceinture aurait les mêmes problèmes).

Bref, marre de la désinformation: l'argument du vendeur de couteau est stupide, et désinforme en décrivant la situation de manière trompeuse.
Et marre de la mauvaise foi: les outils de surveillance sont aussi que des outils, qui peuvent être utilisé pour des activités totalement morales. Via le même raisonnement, Amesys est tout aussi innocent.
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