GPA : luttes utérines
vendredi 18 juillet 2014 à 08:34« La GPA pose indéniablement des questions éthiques, notamment le risque d’exploitation des femmes les plus pauvres. Mais l’interdiction française n’apporte pas de réponses satisfaisantes à ces questions. Elle conforte le recours au marché procréatif international, et conduit les parents à suivre des voies où le risque de marchandisation du corps des femmes n’est pas exclu. »
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