Why racists love the minimum wage laws | New York Post
lundi 30 septembre 2013 à 16:54 pierreghz, le 30/09/2013 à 16:54
Quand on impose un salaire minimum, non seulement on perturbe le marché, mais en plus, on favorise les locaux qui, « culturellement », exigent un salaire plus élevé que d’éventuels immigrants. On le voit avec l’UE et la « libre circulation » dans l’espace Schengen : des Portugais et des Polonais (mais pas seulement) viennent dans des pays plus riches et obtiennent des emplois facilement puisqu’ils coûtent moins cher aux employeurs à cause de lois ultra-restrictives sur la sécurité sociale qui ne s’appliquent pas à eux : en Belgique, un ouvrier de nationalité belge coûte à son patron environ trois fois plus que son salaire horaire brut.
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Quand on impose un salaire minimum, non seulement on perturbe le marché, mais en plus, on favorise les locaux qui, « culturellement », exigent un salaire plus élevé que d’éventuels immigrants. On le voit avec l’UE et la « libre circulation » dans l’espace Schengen : des Portugais et des Polonais (mais pas seulement) viennent dans des pays plus riches et obtiennent des emplois facilement puisqu’ils coûtent moins cher aux employeurs à cause de lois ultra-restrictives sur la sécurité sociale qui ne s’appliquent pas à eux : en Belgique, un ouvrier de nationalité belge coûte à son patron environ trois fois plus que son salaire horaire brut.
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