Portrait du migrant calaisien, par-delà les idées reçues
jeudi 16 avril 2015 à 18:12Choses vues, sur le web et ailleurs 16/04/2015
"Sous les barbes d’une semaine et la crasse d’une vie sans douche se cache Abasou l’enseignant, Sam l’ingénieur ou Abdelatif le banquier. Le Secours catholique, une des associations les plus présentes à Calais (Pas-de-Calais), a voulu faire savoir qui sont les 2 000 migrants stationnés dans cette ville. Les humanitaires ont mené 54 entretiens approfondis qui rappellent que 48 % des migrants appartenaient aux classes sociales supérieures de leur société d’origine, et 20 % aux classes moyennes."
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"Sous les barbes d’une semaine et la crasse d’une vie sans douche se cache Abasou l’enseignant, Sam l’ingénieur ou Abdelatif le banquier. Le Secours catholique, une des associations les plus présentes à Calais (Pas-de-Calais), a voulu faire savoir qui sont les 2 000 migrants stationnés dans cette ville. Les humanitaires ont mené 54 entretiens approfondis qui rappellent que 48 % des migrants appartenaient aux classes sociales supérieures de leur société d’origine, et 20 % aux classes moyennes."
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