Machiavel contre le machiavélisme, par Olivier Pironet (Le Monde diplomatique, novembre 2013)
samedi 12 juillet 2014 à 11:13 Sam Ganegie, le 12/07/2014 à 05:00
Dès lors que « les riches seuls et les puissants propos[ent] des lois, bien moins en faveur de la liberté que pour l’accroissement de leur pouvoir », l’Etat est miné à sa racine même, corrompu. C’est ainsi que la République romaine se perdit, comme la République florentine. Que faire alors ? Les citoyens « doivent examiner la force du mal, et, s’ils se sentent capables de le vaincre, l’attaquer sans considération »
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porneia, le 12/07/2014 à 11:13
Extrait : "Au début du XVIe siècle, le philosophe florentin Nicolas Machiavel a ouvert la voie à la pensée politique moderne. On associe souvent son nom à l’action de gouvernants cyniques et manipulateurs. Forgée par ses détracteurs, cette « mauvaise réputation » cache en fait un authentique théoricien de la liberté et du pouvoir populaire." (via http://sameganegie.biz/shaarli/?6nUO7A).
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Dès lors que « les riches seuls et les puissants propos[ent] des lois, bien moins en faveur de la liberté que pour l’accroissement de leur pouvoir », l’Etat est miné à sa racine même, corrompu. C’est ainsi que la République romaine se perdit, comme la République florentine. Que faire alors ? Les citoyens « doivent examiner la force du mal, et, s’ils se sentent capables de le vaincre, l’attaquer sans considération »
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porneia, le 12/07/2014 à 11:13
Extrait : "Au début du XVIe siècle, le philosophe florentin Nicolas Machiavel a ouvert la voie à la pensée politique moderne. On associe souvent son nom à l’action de gouvernants cyniques et manipulateurs. Forgée par ses détracteurs, cette « mauvaise réputation » cache en fait un authentique théoricien de la liberté et du pouvoir populaire." (via http://sameganegie.biz/shaarli/?6nUO7A).
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