Les 10 raisons pour lesquelles les cyclistes commettent des infractions au code de la route | L'interconnexion n'est plus assurée
lundi 24 novembre 2014 à 15:56alexis j : : web 24/11/2014
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Shaarli | Orangina Rouge 24/11/2014
Très intéressante analyse de la situation des cyclistes face aux autres usagers de la route.
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Liens d'un Parigot-Manchot 25/11/2014
Des précisions sur des idées reçues concernant des comportements cyclistes.
Je note :
- le port du casque semble inutile
- la circulation à vélo étant plus fluide qu'en voiture, les feux de circulation ne servent à rien dans certains cas (mal exprimé mais je me comprends)
Via : shaarli.fr
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le hollandais volant 25/11/2014
Comme le dot Gilles, les feux sont là seulement pour éviter de passer sous les voitures.
Tout est fait pour les voitures : les sens interdits aussi (aucune rue n'est trop étroite pour se faire croiser des voitures). Quant au casque et au gilet, même chose : c'est pour se faire voir des automobilistes.
Et on a encore jamais vu un cycliste exploser une voiture et tuer son conducteur en le projetant contre un mur après un vol plané.
Faut remettre les choses à leurs places : en vélo je m'estime plus proche d'un piéton que d'une voiture, au niveau de l'encombrement, des vitesses, de la pollution... Ça m'autorise pas à violer le code de la route, mais ça m'autorise à penser que lz code des voitures est parfaitement inadapté à celui des vélos.
— (permalink)
@jeekajoo shaarlinks 25/11/2014
en attendant que les voitures disparaissent des villes (c'est ce qu'il est en train de se passer. pourvu que ça se poursuive... pour le bien commun), il faut des aménagements pour que les piétons et les cyclistes se sentent en sécurité et que les villes redeviennent vivables/respirables/marchables. les motorisés ont déja tout pour eux, on ne va pas les plaindre :)
ça ne sert à rien de cliver et de monter les gens entre eux, car chacun a de "bonnes" raisons.
si vous êtes convaincus que l'avenir c'est les transports doux comme le vélo ou la marche en ville, adoptez les sans plus tarder. nous avons besoin d'atteindre une masse critique. c'est la manière la plus pacifiste pour faire bouger les choses.
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Choses vues, sur le web et ailleurs 25/11/2014
Pour faire court : on utilise la même voie de circulation, et les mêmes règles, pour les véhicules motorisés et pour les vélos. Ce n'est pas l'usage du vélo qui est en cause, c'est la réglementation qui n'a pas évoluée assez vite (en France parce que dans ce domaine comme dans bien d'autres, on est en retard sur ce qui fait ailleurs)
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HowTommy | Liens et actu en vrac 25/11/2014
VOILA. Putain... VOILA pourquoi les vélo commettent des infractions au code de la route. Voilà. Enfin un article qui résume parfaitement le problème.
Mais je sais que je brasse du vent, je sais qu'on vit dans un pays où le seul moyen de déplacement sérieux est motorisé. Je sais qu'on vit dans un pays où dès qu'on se déplace en voiture on devient intolérant.
Vous dites du mal des cyclistes ? Alors le problème... C'est vous. Le problème c'est la ville. Le problème c'est ce système de "code de la route" et de "chaussées séparées" où on sépare les gens en 2 cases, et où les cyclistes n'ont pas leur place.
On râle sur les cyclistes... Mais essayez de vivre en tant que cycliste dans une ville. Ne serait-ce qu'une semaine ou deux... Vous allez pleurer. Et vous allez vous mettre à haïr les voitures et les piétons, car vous n'avez votre place nulle part. Et eux aussi vont vous détester. Peu importe que vous ayez fait le choix de vous déplacer rapidement et sans mettre quiconque en danger, sans polluer, sans dépenser d'argent dans des taxes pour le dépenser ailleurs.
Les automobilistes ont tout et veulent tout. Ils veulent ostraciser les cyclistes, leur faire porter des casques, des gilets, soit disant pour leur sécurité... Non, pour rendre encore plus marginale la pratique du vélo. Pour que la rue n'appartienne plus qu'aux voitures, et les trottoirs aux piétons.
Nous vivons dans un pays qui nous méprise en tant que cyclistes, un pays où tout est fait pour ces véhicules polluants que sont les voitures, un pays où les politiciens et les fabriquants ont décrété que pour se déplacer nous n'allions plus utiliser que des véhicules à moteur. Ces mêmes véhicules qui nous isolent des autres, qui nous tuent, qui nous coutent cher, qui "font marcher l'économie", ...
Tout est fait pour tuer les villes, faire marcher l'économie des copains et isoler les gens. Moins ils communiqueront entre eux, plus il sera facile de les contrôler. Séparer pour mieux régner.
Bref, je m'emporte. Vive les cyclistes qui ont le courage de risquer leur vie chaque jour.
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Httqm's Links 25/11/2014
> Par ailleurs, à bicyclette, on roule à la fois plus lentement que les voitures en pleine lancée mais plus rapidement que les mêmes voitures bloquées dans un bouchon. Les cyclistes circulent naturellement de manière fluide, quel que soit l'état du trafic.
Ben voyons. Si les vélos vont plus vite que les voitures qui sont bloquées par la circulation, c'est uniquement parce que les vélos sont minoritaires. Allez en parler aux Chinois / Indiens / autres qui sont pris dans des embouteillages de vélos.
> Derrière, les automobilistes et les motards n'attendent que le passage du signal au vert pour déclencher une accélération bruyante. Un instant de distraction sera sanctionné par un coup de klaxon péremptoire.
Bonjour le cliché : je résume : cycliste = gentil. Conducteur de véhicule motorisé = danger / malpoli / pressé.
> Un poids-lourd ou un bus constitue un risque encore plus important. Si le chauffeur tourne sans regarder autour de son véhicule, il risque de coincer le cycliste entre son engin et la bordure du trottoir.
Flûte alors : si un cycliste est assez con pour remonter un bus ou un poids-lourd par la droite (malgré les signaux affichés aujourd'hui à l'arrière de ces engins), et qu'il se fait serrer sur le trottoir par le bus ou le poids lourd, c'est la faute du conducteur. J'aime la déresponsabilisation.
> Dès lors, puisque l’emprunt du sens interdit est autorisé dans certaines voies, certains cyclistes ne comprennent pas pourquoi ils ne pourraient pas agir de même ailleurs.
Oui, c'est vrai après tout : on peut rouler à 130 km/h sur autoroute, je ne comprends pas pourquoi je ne pourrais pas faire pareil en ville.
> Rouler sur le trottoir : ce comportement s’explique généralement par la peur de la circulation. On préfère emprunter la voie des piétons plutôt que de s’aventurer sur la chaussée.
Très logique. Et en faisant ça, le cycliste devient une menace pour les piétons, tout en reprochant aux automobilistes d'être une menace pour lui.
> Par ailleurs, dans certaines villes, comme à Strasbourg, des pistes ont été créées sur le trottoir, parce qu’on ne voulait pas empiéter sur la place accordée à la voiture. Cette conception prudente et dépassée fait encore partie des projets du prochain plan vélo de la Ville de Paris.
Oui bien sûr : "dépassée". Alors évidemment, dans un monde idéal, il y aurait la voie des bus, celle des taxis, celles des voitures, celle des motos, un terre-plein de 2m environ avec de la pelouse, des arbres et des fleurs, les pistes cyclables, encore un terre-plein, et le trottoir. Pour ça, il faudrait que toutes les rues fassent 45m de large. Donc, dans le monde réel, il faut bien réussir à partager l'espace existant.
> C’est vrai, les infractions sont rarement sanctionnées.
Les cyclistes et les piétons ne sont pas les seules victimes de toutes ces "petites infractions" : un gugusse qui se gare en double file, c'est une voie bouchée aussitôt. Un conducteur qui ne met pas son clignotant dans un rond-point n'indique pas quand il va en sortir, du coup, ceux qui attendent pour y entrer doivent attendre plus longtemps avant de savoir que la voie est libre. Ceci nuit à la fluidité du trafic.
> De même, le fait de se positionner sur un "sas cyclable", espace dessiné juste derrière un feu tricolore, n’est jamais sanctionné, alors qu’à Londres, il en coûte 100£ (126€) et 3 points de permis de conduire à l’automobiliste.
Concernant les sas cyclables, j'ai appris leur existence grâce à une amie qui travaille dans une auti-école. Mais à part ça, zéro info. Je soupçonne une ECRASANTE majorité de personne de ne même pas savoir que ça existe.
Remarque générale : tant qu'on rangera les personnes dans des boîtes (les gentils cyclistes, les méchants conducteurs de diesel), on n'avancera pas : la rue est un espace A PARTAGER. Un peu de savoir-vivre arrondirait bien des angles dans ce domaine. Je suis, par exemple, navré du peu de piétons qui disent merci lorsqu'on s'arrête pour les laisser traverser (même si on est obligé de le faire, là n'est pas la question).
N'oublions pas non plus qu'on est tous tour à tour piéton, cycliste, automobiliste... Ca ne devrait pas être si compliqué ;-)
(via : https://sammyfisherjr.net/Shaarli/?fPzh1w)
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Shaarli | Orangina Rouge 24/11/2014
Très intéressante analyse de la situation des cyclistes face aux autres usagers de la route.
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Liens d'un Parigot-Manchot 25/11/2014
Des précisions sur des idées reçues concernant des comportements cyclistes.
Je note :
- le port du casque semble inutile
- la circulation à vélo étant plus fluide qu'en voiture, les feux de circulation ne servent à rien dans certains cas (mal exprimé mais je me comprends)
Via : shaarli.fr
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le hollandais volant 25/11/2014
Comme le dot Gilles, les feux sont là seulement pour éviter de passer sous les voitures.
Tout est fait pour les voitures : les sens interdits aussi (aucune rue n'est trop étroite pour se faire croiser des voitures). Quant au casque et au gilet, même chose : c'est pour se faire voir des automobilistes.
Et on a encore jamais vu un cycliste exploser une voiture et tuer son conducteur en le projetant contre un mur après un vol plané.
Faut remettre les choses à leurs places : en vélo je m'estime plus proche d'un piéton que d'une voiture, au niveau de l'encombrement, des vitesses, de la pollution... Ça m'autorise pas à violer le code de la route, mais ça m'autorise à penser que lz code des voitures est parfaitement inadapté à celui des vélos.
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@jeekajoo shaarlinks 25/11/2014
en attendant que les voitures disparaissent des villes (c'est ce qu'il est en train de se passer. pourvu que ça se poursuive... pour le bien commun), il faut des aménagements pour que les piétons et les cyclistes se sentent en sécurité et que les villes redeviennent vivables/respirables/marchables. les motorisés ont déja tout pour eux, on ne va pas les plaindre :)
ça ne sert à rien de cliver et de monter les gens entre eux, car chacun a de "bonnes" raisons.
si vous êtes convaincus que l'avenir c'est les transports doux comme le vélo ou la marche en ville, adoptez les sans plus tarder. nous avons besoin d'atteindre une masse critique. c'est la manière la plus pacifiste pour faire bouger les choses.
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Choses vues, sur le web et ailleurs 25/11/2014
Pour faire court : on utilise la même voie de circulation, et les mêmes règles, pour les véhicules motorisés et pour les vélos. Ce n'est pas l'usage du vélo qui est en cause, c'est la réglementation qui n'a pas évoluée assez vite (en France parce que dans ce domaine comme dans bien d'autres, on est en retard sur ce qui fait ailleurs)
(Permalink)
HowTommy | Liens et actu en vrac 25/11/2014
VOILA. Putain... VOILA pourquoi les vélo commettent des infractions au code de la route. Voilà. Enfin un article qui résume parfaitement le problème.
Mais je sais que je brasse du vent, je sais qu'on vit dans un pays où le seul moyen de déplacement sérieux est motorisé. Je sais qu'on vit dans un pays où dès qu'on se déplace en voiture on devient intolérant.
Vous dites du mal des cyclistes ? Alors le problème... C'est vous. Le problème c'est la ville. Le problème c'est ce système de "code de la route" et de "chaussées séparées" où on sépare les gens en 2 cases, et où les cyclistes n'ont pas leur place.
On râle sur les cyclistes... Mais essayez de vivre en tant que cycliste dans une ville. Ne serait-ce qu'une semaine ou deux... Vous allez pleurer. Et vous allez vous mettre à haïr les voitures et les piétons, car vous n'avez votre place nulle part. Et eux aussi vont vous détester. Peu importe que vous ayez fait le choix de vous déplacer rapidement et sans mettre quiconque en danger, sans polluer, sans dépenser d'argent dans des taxes pour le dépenser ailleurs.
Les automobilistes ont tout et veulent tout. Ils veulent ostraciser les cyclistes, leur faire porter des casques, des gilets, soit disant pour leur sécurité... Non, pour rendre encore plus marginale la pratique du vélo. Pour que la rue n'appartienne plus qu'aux voitures, et les trottoirs aux piétons.
Nous vivons dans un pays qui nous méprise en tant que cyclistes, un pays où tout est fait pour ces véhicules polluants que sont les voitures, un pays où les politiciens et les fabriquants ont décrété que pour se déplacer nous n'allions plus utiliser que des véhicules à moteur. Ces mêmes véhicules qui nous isolent des autres, qui nous tuent, qui nous coutent cher, qui "font marcher l'économie", ...
Tout est fait pour tuer les villes, faire marcher l'économie des copains et isoler les gens. Moins ils communiqueront entre eux, plus il sera facile de les contrôler. Séparer pour mieux régner.
Bref, je m'emporte. Vive les cyclistes qui ont le courage de risquer leur vie chaque jour.
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Httqm's Links 25/11/2014
> Par ailleurs, à bicyclette, on roule à la fois plus lentement que les voitures en pleine lancée mais plus rapidement que les mêmes voitures bloquées dans un bouchon. Les cyclistes circulent naturellement de manière fluide, quel que soit l'état du trafic.
Ben voyons. Si les vélos vont plus vite que les voitures qui sont bloquées par la circulation, c'est uniquement parce que les vélos sont minoritaires. Allez en parler aux Chinois / Indiens / autres qui sont pris dans des embouteillages de vélos.
> Derrière, les automobilistes et les motards n'attendent que le passage du signal au vert pour déclencher une accélération bruyante. Un instant de distraction sera sanctionné par un coup de klaxon péremptoire.
Bonjour le cliché : je résume : cycliste = gentil. Conducteur de véhicule motorisé = danger / malpoli / pressé.
> Un poids-lourd ou un bus constitue un risque encore plus important. Si le chauffeur tourne sans regarder autour de son véhicule, il risque de coincer le cycliste entre son engin et la bordure du trottoir.
Flûte alors : si un cycliste est assez con pour remonter un bus ou un poids-lourd par la droite (malgré les signaux affichés aujourd'hui à l'arrière de ces engins), et qu'il se fait serrer sur le trottoir par le bus ou le poids lourd, c'est la faute du conducteur. J'aime la déresponsabilisation.
> Dès lors, puisque l’emprunt du sens interdit est autorisé dans certaines voies, certains cyclistes ne comprennent pas pourquoi ils ne pourraient pas agir de même ailleurs.
Oui, c'est vrai après tout : on peut rouler à 130 km/h sur autoroute, je ne comprends pas pourquoi je ne pourrais pas faire pareil en ville.
> Rouler sur le trottoir : ce comportement s’explique généralement par la peur de la circulation. On préfère emprunter la voie des piétons plutôt que de s’aventurer sur la chaussée.
Très logique. Et en faisant ça, le cycliste devient une menace pour les piétons, tout en reprochant aux automobilistes d'être une menace pour lui.
> Par ailleurs, dans certaines villes, comme à Strasbourg, des pistes ont été créées sur le trottoir, parce qu’on ne voulait pas empiéter sur la place accordée à la voiture. Cette conception prudente et dépassée fait encore partie des projets du prochain plan vélo de la Ville de Paris.
Oui bien sûr : "dépassée". Alors évidemment, dans un monde idéal, il y aurait la voie des bus, celle des taxis, celles des voitures, celle des motos, un terre-plein de 2m environ avec de la pelouse, des arbres et des fleurs, les pistes cyclables, encore un terre-plein, et le trottoir. Pour ça, il faudrait que toutes les rues fassent 45m de large. Donc, dans le monde réel, il faut bien réussir à partager l'espace existant.
> C’est vrai, les infractions sont rarement sanctionnées.
Les cyclistes et les piétons ne sont pas les seules victimes de toutes ces "petites infractions" : un gugusse qui se gare en double file, c'est une voie bouchée aussitôt. Un conducteur qui ne met pas son clignotant dans un rond-point n'indique pas quand il va en sortir, du coup, ceux qui attendent pour y entrer doivent attendre plus longtemps avant de savoir que la voie est libre. Ceci nuit à la fluidité du trafic.
> De même, le fait de se positionner sur un "sas cyclable", espace dessiné juste derrière un feu tricolore, n’est jamais sanctionné, alors qu’à Londres, il en coûte 100£ (126€) et 3 points de permis de conduire à l’automobiliste.
Concernant les sas cyclables, j'ai appris leur existence grâce à une amie qui travaille dans une auti-école. Mais à part ça, zéro info. Je soupçonne une ECRASANTE majorité de personne de ne même pas savoir que ça existe.
Remarque générale : tant qu'on rangera les personnes dans des boîtes (les gentils cyclistes, les méchants conducteurs de diesel), on n'avancera pas : la rue est un espace A PARTAGER. Un peu de savoir-vivre arrondirait bien des angles dans ce domaine. Je suis, par exemple, navré du peu de piétons qui disent merci lorsqu'on s'arrête pour les laisser traverser (même si on est obligé de le faire, là n'est pas la question).
N'oublions pas non plus qu'on est tous tour à tour piéton, cycliste, automobiliste... Ca ne devrait pas être si compliqué ;-)
(via : https://sammyfisherjr.net/Shaarli/?fPzh1w)
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