Graine d’utopie : Journal libre élevé en plein air, sans colorants ni conservateurs ! - La politique expliquée à ma grand-mère : les sensibilités politiques
dimanche 7 juin 2015 à 20:48Le bazar du petit panda roux. 07/06/2015
^^
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Liens des pleutres 08/06/2015
Copie de mon commentaire :
« Je trouve l'analogie entre l'État et la salle des fêtes assez bancale…
Et j'aurai plutôt divisé les choses ainsi :
Et en ce qui concerne la "stratégie d'action" : révolutionnaires VS réformistes : pour un même objectif, il est possible que les avis divergent sur la manière d'y parvenir. Les réformistes penseront que l'objectif pourra être atteint sans changer le cadre actuel, les révolutionnaires penseront que l'objectif ne sera jamais atteint si on ne change pas le cadre (ou si on ne menace pas profondément de le faire).
En ce qui concerne "l'objectif poursuivi" : j'allais proposer "progressistes VS conservateurs VS réactionnaires" pour rester dans les catégories proposée dans l'article, mais ça ne me convainc qu'à moitié.
Car peut-on vraiment dire que la droite française (on peut mettre le PS dans le lot ici) "prône un statu quo" ? Les réformes libérales qu'elle entreprend, les lois de surveillance, les cures d'austérité : plutôt qu'un immobilisme, je dirai qu'il s'agit d'une poursuite bien réelle vers une certaine direction. Cependant, le terme "conservatisme" reste adapté si on le prend dans le sens d'une "conservation des classes sociales".
Également, peut-on mettre côte à côte, dans la catégorie "réactionnaire", un militant d'extrême-droite catholique et un anarcho-écologiste (cf. http://fra.anarchopedia.org/%C3%A9cologisme_libertaire) ? Car le second formule une critique anti-industrielle qui peut effectivement se composer en partie d'une forme de « retour en arrière », mais il ne partage à peu près rien avec le premier… »
Via http://shaarli.pandouillaroux.fr/?MCYFTQ
− Yvain
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« Je trouve l'analogie entre l'État et la salle des fêtes assez bancale…
Et j'aurai plutôt divisé les choses ainsi :
Et en ce qui concerne la "stratégie d'action" : révolutionnaires VS réformistes : pour un même objectif, il est possible que les avis divergent sur la manière d'y parvenir. Les réformistes penseront que l'objectif pourra être atteint sans changer le cadre actuel, les révolutionnaires penseront que l'objectif ne sera jamais atteint si on ne change pas le cadre (ou si on ne menace pas profondément de le faire).
En ce qui concerne "l'objectif poursuivi" : j'allais proposer "progressistes VS conservateurs VS réactionnaires" pour rester dans les catégories proposée dans l'article, mais ça ne me convainc qu'à moitié.
Car peut-on vraiment dire que la droite française (on peut mettre le PS dans le lot ici) "prône un statu quo" ? Les réformes libérales qu'elle entreprend, les lois de surveillance, les cures d'austérité : plutôt qu'un immobilisme, je dirai qu'il s'agit d'une poursuite bien réelle vers une certaine direction. Cependant, le terme "conservatisme" reste adapté si on le prend dans le sens d'une "conservation des classes sociales".
Également, peut-on mettre côte à côte, dans la catégorie "réactionnaire", un militant d'extrême-droite catholique et un anarcho-écologiste (cf. http://fra.anarchopedia.org/%C3%A9cologisme_libertaire) ? Car le second formule une critique anti-industrielle qui peut effectivement se composer en partie d'une forme de « retour en arrière », mais il ne partage à peu près rien avec le premier… »
Via http://shaarli.pandouillaroux.fr/?MCYFTQ
− Yvain
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