PROJET AUTOBLOG


Shaarli - Les discussions de Shaarli

Archivé

Site original : Shaarli - Les discussions de Shaarli du 23/07/2013

⇐ retour index

Droit des femmes : nouveau cheval de Troie de la censure du Net ? | La Quadrature du Net

mardi 17 septembre 2013 à 12:06
Neros, le 16/09/2013 à 16:01
Ce lundi et mardi 17 septembre, le projet de loi dit « pour l'égalité entre les femmes et les hommes » déposé par Najat Vallaud-Belkacem, sera discuté au Sénat en première lecture. Certaines dispositions de ce texte prévoient de modifier la responsabilité des intermédiaires techniques de l'Internet pour leur confier des missions de contrôle et de censure des communications. Ces dangereuses dispositions, ajoutées en commission des lois par la sénatrice Catherine Tasca, anciennement Ministre de la Culture et présidente d'une filiale du groupe Générale des eaux (futur Vivendi), chargeraient ces acteurs privés de missions de police et de justice. Leur adoption constituerait une dérive inacceptable pour la démocratie et la liberté d'expression.
(Permalink)

Open News, le 16/09/2013 à 18:35
Encore un gros n'importe quoi.
(Permalink)

Sammy Fisher Jr, le 17/09/2013 à 10:43
J'avais laissé passer ça. Alors après les pédophiles, les terroristes et les nazis, la ,nouvelle arme fatale pour censurer internet est arrivée : l'égalité homme-femme. Misère...
via http://neros.fr/links/?JLAJYg

Suite ici : http://www.numerama.com/magazine/26996-lcen-vers-une-extension-des-propos-a-censurer.html Trouvé via http://shaarli.cafai.fr/?OfX4MA
(Permalink)

CAFAI, le 17/09/2013 à 12:06
Ce lundi et mardi 17 septembre, le projet de loi dit « pour l'égalité entre les femmes et les hommes » déposé par Najat Vallaud-Belkacem, sera discuté au Sénat en première lecture. Certaines dispositions de ce texte prévoient de modifier la responsabilité des intermédiaires techniques de l'Internet pour leur confier des missions de contrôle et de censure des communications. Ces dangereuses dispositions, ajoutées en commission des lois par la sénatrice Catherine Tasca, anciennement Ministre de la Culture et présidente d'une filiale du groupe Générale des eaux (futur Vivendi), chargeraient ces acteurs privés de missions de police et de justice. Leur adoption constituerait une dérive inacceptable pour la démocratie et la liberté d'expression.
(Permalink)