Comment Aurélie Filippetti et l'exception culturelle ont envoyé Netflix au Luxembourg
mardi 22 avril 2014 à 09:09 hoa, le 22/04/2014 à 08:11
Ah le ministère de la culture... Les années filent, les têtes changent, mais rien ne change.
J'aime beaucoup la conclusion, qui résume les mentalités : "Loin de s’avouer vaincue ou de reconnaître ses torts, Aurélie Filippetti affirme maintenant rechercher des moyens “d’obliger Netflix à s’installer en France”.".
(Permalink)
Creposuke, le 22/04/2014 à 09:09
et même en sachant ça ils ont voulu venir chez nous : "Au-delà de 10 millions d’euros de chiffre d’affaires annuel, non seulement les services à la demande doivent consacrer 26% dudit CA au financement de productions européennes et 22% à des productions françaises (le tout devant aller aux trois-quarts à des œuvres indépendantes), mais ils doivent également réserver 60% de leur catalogue à des œuvres européennes, et 40% (inclus dans ces 60%, donc) à des œuvres françaises.
Comme si ça ne suffisait pas, les services doivent obligatoirement présenter des œuvres européennes et françaises sur leur page d’accueil — et pas seulement en mentionnant leur titre, s’il vous plaît.
Et comme si ça ne suffisait toujours pas, en cas de chiffre d’affaires supérieur à 50 millions, les seuils de financement vus plus haut doivent porter à 75% sur des contributions avant la fin des prises de vue, c’est-à-dire sur ce qu’on appelle le préfinancement."
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Ah le ministère de la culture... Les années filent, les têtes changent, mais rien ne change.
J'aime beaucoup la conclusion, qui résume les mentalités : "Loin de s’avouer vaincue ou de reconnaître ses torts, Aurélie Filippetti affirme maintenant rechercher des moyens “d’obliger Netflix à s’installer en France”.".
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Creposuke, le 22/04/2014 à 09:09
et même en sachant ça ils ont voulu venir chez nous : "Au-delà de 10 millions d’euros de chiffre d’affaires annuel, non seulement les services à la demande doivent consacrer 26% dudit CA au financement de productions européennes et 22% à des productions françaises (le tout devant aller aux trois-quarts à des œuvres indépendantes), mais ils doivent également réserver 60% de leur catalogue à des œuvres européennes, et 40% (inclus dans ces 60%, donc) à des œuvres françaises.
Comme si ça ne suffisait pas, les services doivent obligatoirement présenter des œuvres européennes et françaises sur leur page d’accueil — et pas seulement en mentionnant leur titre, s’il vous plaît.
Et comme si ça ne suffisait toujours pas, en cas de chiffre d’affaires supérieur à 50 millions, les seuils de financement vus plus haut doivent porter à 75% sur des contributions avant la fin des prises de vue, c’est-à-dire sur ce qu’on appelle le préfinancement."
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