Au Cameroun, le calvaire du « repassage des seins » des ados | Rue89
lundi 25 novembre 2013 à 17:16 Fou à lier, le 18/11/2013 à 12:23
Entendu ce matin cette histoire sur France Info.
Il reste des sauvageries effectuées partout sur la terre. Je ne parle pas de sauvages ; je ne suis pas sûr que ces gens soient en mesure de comprendre vraiment leur geste. Il manque encore beaucoup d'éducation.
C'est dingue comme le monde s'échine depuis toujours à contrôler la sexualité des filles. Comme si leurs corps ne leurs appartenaient pas.
(Permalink)
Serendipity, le 25/11/2013 à 17:16
Quelle horreur... Au Cameroun, cette tradition ancestrale a pour objectif de retarder l'âge du 1er rapport sexuel en supprimant les signes extérieurs de féminité. Le concept : bruler les seins naissants avec des pierres chaudes ou autre objet brulant.
"Dans les zones septentrionales, où la plupart des filles sont mariées dès la puberté, certaines adolescentes s’infligent elles-mêmes ce supplice afin d’échapper à une union précoce et pouvoir continuer leur scolarité."
C'est pour moi le point crucial du problème, qui le rend très différent de l'excision. Ce n'est pas uniquement une barbarie faite par tradition, mais c'est une pratique faite pour en limiter une autre : le mariage précoce (même si l'effet est au final nul d'après l'article).
Entendu à France Info, et via http://foualier.gregory-thibault.com/?kxXQSg
(Permalink)
Entendu ce matin cette histoire sur France Info.
Il reste des sauvageries effectuées partout sur la terre. Je ne parle pas de sauvages ; je ne suis pas sûr que ces gens soient en mesure de comprendre vraiment leur geste. Il manque encore beaucoup d'éducation.
C'est dingue comme le monde s'échine depuis toujours à contrôler la sexualité des filles. Comme si leurs corps ne leurs appartenaient pas.
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Serendipity, le 25/11/2013 à 17:16
Quelle horreur... Au Cameroun, cette tradition ancestrale a pour objectif de retarder l'âge du 1er rapport sexuel en supprimant les signes extérieurs de féminité. Le concept : bruler les seins naissants avec des pierres chaudes ou autre objet brulant.
"Dans les zones septentrionales, où la plupart des filles sont mariées dès la puberté, certaines adolescentes s’infligent elles-mêmes ce supplice afin d’échapper à une union précoce et pouvoir continuer leur scolarité."
C'est pour moi le point crucial du problème, qui le rend très différent de l'excision. Ce n'est pas uniquement une barbarie faite par tradition, mais c'est une pratique faite pour en limiter une autre : le mariage précoce (même si l'effet est au final nul d'après l'article).
Entendu à France Info, et via http://foualier.gregory-thibault.com/?kxXQSg
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