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Shaarli - Les discussions de Shaarli

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Site original : Shaarli - Les discussions de Shaarli du 23/07/2013

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Actualité |Des journalistes influents du jeu vidéo accusés de connivence, de corruption et de censure

samedi 20 septembre 2014 à 18:15
Kevin Vuilleumier, le 20/09/2014 à 18:15
Ben tiens, comme par hasard. Et j'imagine que ce n'est pas mieux du côté des médias spécialisés français...

En tout cas, le ton de l'article est violent, les mots sont durs, mais c'est à raison, je trouve.
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Kevin Merigot, le 20/09/2014 à 18:41
"Cela pourrait sembler anodin, mais cela devient dégueulasse lorsque les journalistes en question veulent censurer des sujets tels que le sexisme et le harcèlement sexuel dans les jeux vidéos."

Pas étonnant, étant donné que dans le monde des journalistes ça marche comme ça (on en parle de la vedette du JT de France 2 qui dine au Siècle ?). Faudrait tout réformer et couper des têtes.

(via keicho)
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Riff > Kevin Merigot, le 21/09/2014 à 11:09
Euh, Kevin, va lire la source de l'info un peu plus attentivement, parce que je crois que maniacgeek a merdé à la traduction, et je ne suis pas sur que tu  souhaite soutenir ce genre de trucs : http://www.breitbart.com/Breitbart-London/2014/09/17/Exposed-the-secret-mailing-list-of-the-gaming-journalism-elite

En gros Breitbart à trouvé une mailing-list ou des journalistes pros discutent de leur travail, et il en a sortis quelques extraits de discussion notamment autour du délire "gamersgate/quinnspiracy"

Dans ces extraits, des journalistes de Kotaku, Polygone, ArsTecnica et etc déclarent qu'ils ne relayeront pas les accusations à l'encontre de Quinn, par ce que cela constituerai une atteinte à sa vie privée, et parce que cela légitimerai le comportement des harceleurs de Quinn. Ils déclarent aussi ne pas croire au prétexte d'un "manquement à l'éthique journalistique" utilisé par les "gamergaters". Ils suggèrent aussi que dans ce cas, les journalistes devraient appuyer Quinn et les personnes harcelées, pas les harceleurs.

Ce que leur reproche breitbart ce n'est pas d'avoir "conspiré pour censurer les sujets tels que le  sexisme et le harcèlement sexuel dans les jeux vidéos", c'est plutôt exactement l'inverse, d'avoir refuser de donner foi à la version "conspiration féministe-bien-pensante pour détruire notre jeux vidéo à nous"...

Après qu'il y ait des problèmes d'éthique dans le journalisme, je dit pas, mais dans ce cas la, il me semble justement qu'ils aient été plus que correct sur ce plan la en refusant de relayer une campagne de harcèlement.
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Kevin Merigot > Riff, le 21/09/2014 à 14:59
Effectivement, ce qui est reproché par le mec qui a écrit l'article que j'ai partagé c'est de ne pas avoir défendu les harceleurs. Bon point pour eux donc, et pan sur le bec pour moi.

Cela ne retire en revanche rien à l'élitisme du journalisme en général.
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