Bienvenue dans l'underground | Cyrille BORNE et Associés
lundi 10 mars 2014 à 14:45 Sebsauvage, le 08/03/2014 à 11:01
Merci, je suis flatté :-)
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Sammy Fisher Jr, le 08/03/2014 à 22:32
Encore un article aussi juste que déprimant... :( Internet n'est pas mort, mais il a quand même été vidé de sa substance par les forces du pognon. Le "vrai" internet est devenu underground (thèse aussitôt contredite par l'auteur avec ses exemples : Me Eolas n'est pas vraiment underground, tout le monde le connait...)
via http://sebsauvage.net/links/?W8k44Q
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Neuromancien, le 09/03/2014 à 09:10
Eh ouais...
via http://sebsauvage.net/links/?W8k44Q
(Permalink)
nW44b, le 09/03/2014 à 21:37
"Nous sommes donc dans l’underground et pourtant le mouvement que nous représentons qui ne s’arrête pas qu’au libre, à Linux mais qui pour ma part s’étend à la consommation, au do it yourself, à l’écologie, n’a jamais eu autant besoin de se faire entendre, pour montrer qu’un autre mode de fonctionnement existe."
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SAM7BLOG, le 10/03/2014 à 14:45
Ce que je vais écrire peut sembler paradoxal car on pourrait imaginer qu’on peut tout trouver sur internet, pas de frontière, pas de limite, des moteurs de recherche puissants mais si vous êtes ici, vous n’êtes pas arrivés par hasard, vous avez suivi un de mes collègues, une documentation peut être mais certainement pas le premier moteur de recherche du monde : Google. Je suis en fait depuis mon déclassement quasiment invisible sur internet, puisque je ne suis pas sur Facebook, sur Twitter, ni sur sur Google +. Je ne suis pas le seul, même chez des gens qui veulent être de partout à s’interroger, Presse Citron qui a recommencé à bloguer pour de vrai écrivait que Google n’aimait pas les blogs ou comment le moteur de recherche fait désormais la sélection uniquement dans les gros sites en méprisant les blogueurs, d’autres encore réalisent subitement leur disparition.
L’underground j’y suis, j’y reste et même si c’est valorisant d’être au sommet dans les moteurs de recherche, tant pis si cela doit se faire au détriment de mon intégrité. Car, et on ne me fera pas dire le contraire, être aujourd’hui en première place c’est vendre son âme au diable ou à quelqu’un.
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Merci, je suis flatté :-)
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Sammy Fisher Jr, le 08/03/2014 à 22:32
Encore un article aussi juste que déprimant... :( Internet n'est pas mort, mais il a quand même été vidé de sa substance par les forces du pognon. Le "vrai" internet est devenu underground (thèse aussitôt contredite par l'auteur avec ses exemples : Me Eolas n'est pas vraiment underground, tout le monde le connait...)
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Neuromancien, le 09/03/2014 à 09:10
Eh ouais...
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nW44b, le 09/03/2014 à 21:37
"Nous sommes donc dans l’underground et pourtant le mouvement que nous représentons qui ne s’arrête pas qu’au libre, à Linux mais qui pour ma part s’étend à la consommation, au do it yourself, à l’écologie, n’a jamais eu autant besoin de se faire entendre, pour montrer qu’un autre mode de fonctionnement existe."
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SAM7BLOG, le 10/03/2014 à 14:45
Ce que je vais écrire peut sembler paradoxal car on pourrait imaginer qu’on peut tout trouver sur internet, pas de frontière, pas de limite, des moteurs de recherche puissants mais si vous êtes ici, vous n’êtes pas arrivés par hasard, vous avez suivi un de mes collègues, une documentation peut être mais certainement pas le premier moteur de recherche du monde : Google. Je suis en fait depuis mon déclassement quasiment invisible sur internet, puisque je ne suis pas sur Facebook, sur Twitter, ni sur sur Google +. Je ne suis pas le seul, même chez des gens qui veulent être de partout à s’interroger, Presse Citron qui a recommencé à bloguer pour de vrai écrivait que Google n’aimait pas les blogs ou comment le moteur de recherche fait désormais la sélection uniquement dans les gros sites en méprisant les blogueurs, d’autres encore réalisent subitement leur disparition.
L’underground j’y suis, j’y reste et même si c’est valorisant d’être au sommet dans les moteurs de recherche, tant pis si cela doit se faire au détriment de mon intégrité. Car, et on ne me fera pas dire le contraire, être aujourd’hui en première place c’est vendre son âme au diable ou à quelqu’un.
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