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Site original : Shaarli - Les discussions de Shaarli du 23/07/2013

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2011 : L'année des pétards mouillés - Merlanfrit

mardi 25 novembre 2014 à 13:16
Choses vues, sur le web et ailleurs 25/11/2014
Un très long article, très documenté comme toujours, sur la violence et les jeux vidéos, et surtout sur les réactions des médias par-rapport à cette violence, réelle ou supposée, et à ses effets. Il semblerait que l'année 2011 ait été un tournant : plus de polémiques d'ampleur, plus de projet d'interdiction. Les joueurs auraient-ils gagnés ?
EDIT : oui, pour le meilleur et pour le pire, les joueurs ont gagné... les éditeurs aussi : "On peut donc affirmer haut et fort que les concepteurs de jeux vidéo [il est question ici des "casual games" et des "socail games", où il faut dégainer la carte bleue de maman pour avancer, NdA] sont des prédateurs d’enfants assoiffés de profits, au point de leur vendre des drogues de plus en plus dures, fabriquées au moyens des techniques les plus sophistiquées... tout le monde s’en fout."

EDIT 2 : j'aime la fin de l'article : "C’est bon, cette fois on peut baisser les armes, sortir de la forteresse qui n’est plus assiégée depuis longtemps, cesser de s’acharner sur ce qui n’est plus qu’un cadavre. Sur le sujet de la violence des jeux vidéo, il n’y a plus de polémique, seulement des "non-polémiques" ou des "polémiquettes" que, le plus souvent, nous nous fabriquons pour nous-mêmes, tout seuls comme des glands. Ce que le rôliste Gary Pellino expliquait il y a quelques années au sujet de ses coreligionnaires : "La source du mythe du préjugé [...] est, au bout du compte, nous-mêmes : nous nous disons opprimés, parce que nous aimons ce sentiment de haine envers l’oppresseur.""
[...]
"Et même si la question de la violence vidéoludique semble has-been, il existe d’autres sujets de controverse, comme le sexisme, ou plus généralement, la place des femmes dans le jeu vidéo. Et l’année 2012 nous a montrés à plusieurs reprises que non seulement c’était la nouvelle pierre d’achoppement, mais qu’on n’avait pas fini d’en parler"
(Permalink)