Site original : PostBlue
Petite liste simple et rapide des extensions ajoutées à mon installation de Firefox, sur une distribution Arch Linux avec le gestionnaire de bureau GNOME.
N'hésitez pas à me conseiller l'une ou l'autre extension que je ne connaitrais pas.
J’utilise le thème Arc sous GNOME1, et donc aussi le thème développé pour le navigateur (parce que j'aime la régularité du style des applications).
Choisir un thème de la collection Arc Firefox Themes sur le site de Modules pour Firefox.
Cette extension permet d’utiliser la carte d’identité électronique belge (eID) dans Firefox.
Installer l'extension eID Belgique depuis le site de Modules pour Firefox.
GNotifier intègre les notifications de Firefox et Thunderbird au système de notification natif de GNOME (mais sensément de tout gestionnaire de bureau sous Linux utilisant libnotify
) et de Windows (8 et 10). Il remplace le gestionnaire de pop-up par défaut dans Firefox pour l'intégrer au bureau, pour :
Installer l'extension GNotifier depuis le site de Modules pour Firefox.
HTitle permet de cacher la barre de titre de Firefox quand la fenêtre est maximisée, et donc de gagner de l'espace vertical pour afficher le plus de contenu possible à l'écran3. Le développement de ce module est malheureusement abandonné, mais il fonctionne encore sans souci sur une installation récente de Firefox.
Installer l'extension HTitle depuis le site de Modules pour Firefox.
uBlock est une extension qui bloque les publicités et les pisteurs, tout simplement et avec légèreté (mémoire et processeur).
Installer l'extension uBlock Origin depuis le site de Modules pour Firefox.
Un gestionnaire de scripts utilisateur pour Firefox, utilisé en mon cas pour le script Anti-Adblock Killer.
Installer l'extension Greasemonkey depuis le site de Modules pour Firefox.
Module issu de la collaboration entre le Tor Project et l'Electronic Frontier Foundation, HTTPS Everywhere (site officiel du projet) active une redirection automatique, côté navigateur, vers le contenu accessible en HTTPS des sites visités, sur base d'une base de donnée locales.
Installer l'extension HTTPS Everywhere depuis le site de Modules pour Firefox.
Privacy Badger (site officiel du projet) bloque (en apprenant, pas tout tout de suite) les scripts espions et les pisteurs.
Installer l'extension Privacy Badger depuis le site de Modules pour Firefox.
Cette extension n'est rien de moins qu'un gestionnaire de mots de passe. Ou plutôt, c'est une extension qui permet à Firefox de dialoguer avec pass
, un password store, directement depuis le navigateur.
pass
est un gestionnaire de mots de passe qui se base sur git
pour collectionner les changements apportés à sa base de données, et GPG pour chiffrer les mots de passe.
Installer l'extension PassFF depuis le site de Modules pour Firefox.
Cette extension supprime des URLs de la barre d'adresse les éléments suivants :
utm_source
, utm_medium
, utm_term
, utm_content
et utm_campaign
, traçage pour Google Analytics ;yclid
, traçage pour Yandex.Metrica ;feature
, pollution de l'URL sur YouTube ;fb_action_ids
, fb_action_types
, fb_ref
, fb_source
, action_object_map
, action_type_map
, action_ref_map
, traçage pour Facebook ;ref
, fref
, hc_location
, pollution de l'URL sur Facebook ;ref_
, pollution de l'URL sur IMDB.Installer l'extension Pure URL depuis le site de Modules pour Firefox.
Decentraleyes protège du pistage lié à l'accès à des contenus centralisés. Du coup, cette extension accélère de nombreuses requêtes en les servant localement, allégeant la charge des sites (qui ne vont plus s'alimenter de celles hébergées sur l'un ou l'autre CDN, dont j'ai déjà dit tout le mal que je pensais). Elle complète les bloqueurs de contenus habituels.
Installer l'extension Decentraleyes depuis le site de Modules pour Firefox.
Plusieurs variantes sont disponibles, dont Dark et Darker qui sont sombres, j’utilise celle qui est « claire ». ↩
Voir la documentation de FreshRSS pour un complément d'information. ↩
Voir le tutoriel Headerbar sur GitHub pour une petite marche à suivre de l'intégration de Firefox au bureau GNOME avec le thème Adwaita. ↩
Attention : je n'ai pris aucune précaution, je ne pourrais être tenu pour responsable de quoique ce soit. Je suis d'ailleurs tout à fait irresponsable.
L'un des VPS que j'administre utilisait upstart
comme système d'initialisation, parce que le noyau OpenVZ n'a longtemps pas supporté systemd
, ou inversément systemd
ne supportait pas les vieux noyaux d'OpenVZ, toujours est-il que la cohabitation était controversée.
Le noyau d'OpenVZ est basé sur Linux 2.6.32. 2009, tout de même ! C'est le noyau qui propulsa à leur époque (2009) Ubuntu 10.04 LTS « Lucid Lynx » et Debian 6.0 « Squeeze ». Or, Debian 8.0 « Jessie », sortie en avril 2015, intégra le noyau Linux 3.16, et passa de sysvinit
à systemd
comme système d'initialisation par défaut.
Donc les services, scripts, etc, sont par défaut écrits pour fonctionner avec systemd
. Et depuis quelques temps, le noyau OpenVZ permet de parler la même langue que systemd
(grosso modo). Et j'avais envie de tester le changement, sachant que j'avais transféré ma machine sur un dédié Kimsufi.
Donc, on se lance.
Dans une session SSH, je lance l'installation par aptitude
, qui intègre un outil de résolution des conflits et offre des solutions de remplacement en cas d'installation problématique.
aptitude install systemd systemd-sysv
aptitude
propose de remplacer upstart
par systemd
: il suffit d'accepter.
Plus qu'à redémarrer. Le système va se plaindre de ne pas pouvoir utiliser l'init
pour lancer la commande reboot
proprement (normal, vu qu'on vient d'en changer).
Pour être au minimum propre (ce que je n'ai pas fait), on peut stopper proprement les services chatouilleux, MySQL & co. Puis redémarrer brutalement :
reboot -f
La connexion est perdue directement. Quelques secondes à attendre avant de relancer une session SSH et tenter de se connecter à la machine.
Connexion établie ? Bravo, tout s'est bien passé ! On peut maintenant balancer systemctl --failed
pour voir s'il y a des services défectueux qui trainent sur la machine.
Connexion impossible ? Too bad! Vous venez de tuer votre machine qui ne démarrera plus en l'état. Contactez votre hébergeur, réinstallez votre machine, faites vous un thé.
Attention : je n'ai pris aucune précaution, je ne pourrais être tenu pour responsable de quoique ce soit. Je suis d'ailleurs tout à fait irresponsable.
L'un des VPS que j'administre utilisait upstart
comme système d'initialisation, parce que le noyau OpenVZ n'a longtemps pas supporté systemd
, ou inversément systemd
ne supportait pas les vieux noyaux d'OpenVZ, toujours est-il que la cohabitation était controversée.
Le noyau d'OpenVZ est basé sur Linux 2.6.32. 2009, tout de même ! C'est le noyau qui propulsa à leur époque (2009) Ubuntu 10.04 LTS « Lucid Lynx » et Debian 6.0 « Squeeze ». Or, Debian 8.0 « Jessie », sortie en avril 2015, intégra le noyau Linux 3.16, et passa de sysvinit
à systemd
comme système d'initialisation par défaut.
Donc les services, scripts, etc, sont par défaut écrits pour fonctionner avec systemd
. Et depuis quelques temps, le noyau OpenVZ permet de parler la même langue que systemd
(grosso modo). Et j'avais envie de tester le changement, sachant que j'avais transféré ma machine sur un dédié Kimsufi.
Donc, on se lance.
Dans une session SSH, je lance l'installation par aptitude
, qui intègre un outil de résolution des conflits et offre des solutions de remplacement en cas d'installation problématique.
aptitude install systemd systemd-sysv
aptitude
propose de remplacer upstart
par systemd
: il suffit d'accepter.
Plus qu'à redémarrer. Le système va se plaindre de ne pas pouvoir utiliser l'init
pour lancer la commande reboot
proprement (normal, vu qu'on vient d'en changer).
Pour être au minimum propre (ce que je n'ai pas fait), on peut stopper proprement les services chatouilleux, MySQL & co. Puis redémarrer brutalement :
reboot -f
La connexion est perdue directement. Quelques secondes à attendre avant de relancer une session SSH et tenter de se connecter à la machine.
Connexion établie ? Bravo, tout s'est bien passé ! On peut maintenant balancer systemctl --failed
pour voir s'il y a des services défectueux qui trainent sur la machine.
Connexion impossible ? Too bad! Vous venez de tuer votre machine qui ne démarrera plus en l'état. Contactez votre hébergeur, réinstallez votre machine, faites vous un thé.
Attention : je n'ai pris aucune précaution, je ne pourrais être tenu pour responsable de quoique ce soit. Je suis d'ailleurs tout à fait irresponsable.
L'un des VPS que j'administre utilisait upstart
comme système d'initialisation, parce que le noyau OpenVZ n'a longtemps pas supporté systemd
, ou inversément systemd
ne supportait pas les vieux noyaux d'OpenVZ, toujours est-il que la cohabitation était controversée.
Le noyau d'OpenVZ est basé sur Linux 2.6.32. 2009, tout de même ! C'est le noyau qui propulsa à leur époque (2009) Ubuntu 10.04 LTS « Lucid Lynx » et Debian 6.0 « Squeeze ». Or, Debian 8.0 « Jessie », sortie en avril 2015, intégra le noyau Linux 3.16, et passa de sysvinit
à systemd
comme système d'initialisation par défaut.
Donc les services, scripts, etc, sont par défaut écrits pour fonctionner avec systemd
. Et depuis quelques temps, le noyau OpenVZ permet de parler la même langue que systemd
(grosso modo). Et j'avais envie de tester le changement, sachant que j'avais transféré ma machine sur un dédié Kimsufi.
Donc, on se lance.
Dans une session SSH, je lance l'installation par aptitude
, qui intègre un outil de résolution des conflits et offre des solutions de remplacement en cas d'installation problématique.
aptitude install systemd systemd-sysv
aptitude
propose de remplacer upstart
par systemd
: il suffit d'accepter.
Plus qu'à redémarrer. Le système va se plaindre de ne pas pouvoir utiliser l'init
pour lancer la commande reboot
proprement (normal, vu qu'on vient d'en changer).
Pour être au minimum propre (ce que je n'ai pas fait), on peut stopper proprement les services chatouilleux, MySQL & co. Puis redémarrer brutalement :
reboot -f
La connexion est perdue directement. Quelques secondes à attendre avant de relancer une session SSH et tenter de se connecter à la machine.
Connexion établie ? Bravo, tout s'est bien passé ! On peut maintenant balancer systemctl --failed
pour voir s'il y a des services défectueux qui trainent sur la machine.
Connexion impossible ? Too bad! Vous venez de tuer votre machine qui ne démarrera plus en l'état. Contactez votre hébergeur, réinstallez votre machine, faites vous un thé.
En train de rédiger votre mémoire et vous cherchez un endroit où tout enregistrer compulsivement, besoin d'échanger vos notes de cours ? L’ULB met à disposition de sa communauté un service de stockage en ligne basé sur ownCloud avec 4GB d'espace disque disponible.
Pourquoi confier ses données à n'importe qui dans le monde avec tous les problèmes de confidentialité que cela entraine et aussi de saturation de notre liaison internet alors que nous disposons en interne d'une solution de stockage cloud ? (« OwnCloud ULB » sur Actus RESULB)
OwnCloud est une solution libre (l’ULB peut modifier le logiciel pour qu'il corresponde à ses besoins) et gratuite (l’ULB n'a pas dû payer de licence) offrant une interface web à un service de stockage très complet.
En somme, l’ULB offre un service ressemblant à Dropbox, mais avec quelques plus :
Pour naviguer entre les différents services, il faut cliquer sur le lien en haut à gauche de la page, à côté du logo d'ownCloud, indiquant dans quelle application l'on se trouve, afin d'afficher une liste. Il suffit de cliquer et d'attendre que la page charge.
Il est possible d'intégrer ownCloud à son navigateur de fichiers, que ce soit sous Windows, Mac OS X ou GNU/Linux, afin de synchroniser ses documents.
Pour installer le client ownCloud, il suffit de télécharger ici l'installateur approprié à son système d'exploitation et de l'installer, puis de le configurer avec les informations suivantes.
Sur Android, plusieurs versions sont disponibles, dont certaines payantes afin de soutenir le projet.
Il existe aussi une version pour BlackBerry, gratuitement disponible sur le BlackBerry World.
Enfin, il existe une application pour iOS (iPhone, etc), disponible dans l'App Store d'Apple pour 0,99€.
Pour ajouter une liste de contacts à une application permettant d'être synchronisée avec CardDav, il faut récupérer l'URL de partage de son ou ses calendriers.
Pour ne sélectionner qu'un seul calendrier, il suffit de copier le lien après avoir cliqué sur l'icône Lien CalDav, la deuxième sur la ligne du calendrier en partant de la gauche.
Pour obtenir l'adresse CalDav principale, il suffit de copier le lien (adresse principale ou adresse pour iOS/OS X, dépendant du système d'exploitation utilisé) obtenu en affichant les préférences des calendriers (roue dentée en bas à gauche de la colonne de gauche).
Le lien CalDav a ce format :
https://owncloud.ulb.ac.be/remote.php/caldav/
https://owncloud.ulb.ac.be/remote.php/caldav/principals/netID/
La manipulation est similaire quant aux contacts. Le lien CardDav a ce format :
https://owncloud.ulb.ac.be/remote.php/carddav/addressbooks/netID/contacts
Il suffit ensuite d'alimenter son application bureautique avec l'un ou l'autre lien obtenu de la sorte, si elle supporte la synchronisation Card/CalDav.
Pour un complément d'information, voir ces listes non-exhaustives des clients CardDav et des clients CalDav . Voici quelques configurations courantes :
Thunderbird (note pour configurer son adresse email de l'ULB dans Thunderbird) avec l'extension Lightning (calendrier), SOGo Connector (contacts) et ownCloud for Filelink (utilisation d'ownCloud pour l'envoi de pièces jointes volumineuses).
DAVdroid (disponible gratuitement sur FDroid, pour 3,33 € sur le Play Store) pour un smartphone Android : se connecter avec une URL (https://owncloud.ulb.ac.be), et un nom d'utilisateur (le netID). Sélectionner les carnets d'adresses et les agendas à synchroniser, et la liste des tâches si un gestionnaire de tâches est installé.
If you want to use task synchronization, please install the OpenTasks app [F-Droid, Play Store] before installing/upgrading DAVdroid.
Otherwise, DAVdroid won't get permission to access the OpenTasks app. In some cases you may have to reboot your phone after installing the tasks app.
Il ne manquerait plus que les contacts enregistrés puissent être partagés avec le Carnet d'adresses de Roundcube.