PROJET AUTOBLOG


PostBlue

Site original : PostBlue

⇐ retour index

Quelle distribution GNU/Linux choisir quand on n’y connaît rien ?

dimanche 18 janvier 2015 à 15:48

TL;DR : HandyLinux.

Il n'est pas chose aisée de bien choisir sa distribution Linux quand on n'entrave rien aux arcanes du monde enchanteur des barbu·e·s. La notion-même de distribution peut être source d'angoisses existentielles : pour tenter d'éclairer la chose, il s'agit d'un ensemble cohérent de logiciels assemblés autour d'un « logiciel » particulier, le noyau, appelé Linux. Comprendre : une boîte à outils agencée de façon particulière. Voyez Linux comme un moteur : la distribution est tout ce qu'il faut en plus au seul moteur, qui est central, pour que la voiture puisse rouler.

Bref, quand on n'y touche rien à Linux, quand on en a marre des systèmes qui demandent toujours plus de ressources pour pouvoir tourner, des systèmes qui ne sont plus supportés du jour au lendemain et demandent de mettre sa machine au rebus, quelle distribution choisir ?

Avant tout, il faut pouvoir identifier son « niveau » en informatique : est-on un débutant extrême, à peine retrouve-t-on ses jeunes sous Windows, avec le four à micro-ondes programmable c'est déjà la joie, ou n'est-on pas effrayé à l'idée de lire un peu de documentation ou à faire quelques recherches ?

Ensuite, s'assurer de son entourage : y a-t-il quelqu'un que vous connaissez qui voudrait bien vous aider en cas de problème, ou y a-t-il un Groupe d'utilisateurs de Linux dans votre ville (le BxLUG à Bruxelles) ?

De plus : pouvoir estimer son niveau en anglais. La communauté de certaines distributions sont plus ou moins francophones, si vous n'y entendez rien à la langue de Shakespeare, il sera plus judicieux de se procurer une distribution francophone ou au moins francophile.

Ce n'est seulement qu'en dernier lieu que se posent les traditionnelles questions des prosélytes : quelles sont les spécificités de la machine, quelle charge peut-elle supporter, quelle interface, etc.

Du reste, la distribution qui me semble répondre aux premières injonctions est HandyLinux, avec sa communication en français, sa communauté francophone, son tutoriel de premier démarrage, son interface classique et intuitive, et une base de logiciels fournie.

Quelle distribution GNU/Linux choisir quand on n’y connaît rien ?

dimanche 18 janvier 2015 à 15:48

TL;DR : HandyLinux.

Il n'est pas chose aisée de bien choisir sa distribution Linux quand on n'entrave rien aux arcanes du monde enchanteur des barbu·e·s. La notion-même de distribution peut être source d'angoisses existentielles : pour tenter d'éclairer la chose, il s'agit d'un ensemble cohérent de logiciels assemblés autour d'un « logiciel » particulier, le noyau, appelé Linux. Comprendre : une boîte à outils agencée de façon particulière. Voyez Linux comme un moteur : la distribution est tout ce qu'il faut en plus au seul moteur, qui est central, pour que la voiture puisse rouler.

Bref, quand on n'y touche rien à Linux, quand on en a marre des systèmes qui demandent toujours plus de ressources pour pouvoir tourner, des systèmes qui ne sont plus supportés du jour au lendemain et demandent de mettre sa machine au rebus, quelle distribution choisir ?

Avant tout, il faut pouvoir identifier son « niveau » en informatique : est-on un débutant extrême, à peine retrouve-t-on ses jeunes sous Windows, avec le four à micro-ondes programmable c'est déjà la joie, ou n'est-on pas effrayé à l'idée de lire un peu de documentation ou à faire quelques recherches ?

Ensuite, s'assurer de son entourage : y a-t-il quelqu'un que vous connaissez qui voudrait bien vous aider en cas de problème, ou y a-t-il un Groupe d'utilisateurs de Linux dans votre ville (le BxLUG à Bruxelles) ?

De plus : pouvoir estimer son niveau en anglais. La communauté de certaines distributions sont plus ou moins francophones, si vous n'y entendez rien à la langue de Shakespeare, il sera plus judicieux de se procurer une distribution francophone ou au moins francophile.

Ce n'est seulement qu'en dernier lieu que se posent les traditionnelles questions des prosélytes : quelles sont les spécificités de la machine, quelle charge peut-elle supporter, quelle interface, etc.

Du reste, la distribution qui me semble répondre aux premières injonctions est HandyLinux, avec sa communication en français, sa communauté francophone, son tutoriel de premier démarrage, son interface classique et intuitive, et une base de logiciels fournie.

ULB connectée 1 : mon GeHoL

vendredi 10 octobre 2014 à 11:18

Communication technique pour bien commencer l'année à l'Université Libre de Bruxelles (ULB) ; nous avons plusieurs systèmes et programmes qu'il peut être utile de connaître voire de savoir utiliser.

Le GeHoL nouveau est arrivé !

Pour ceux qui ne connaissent pas GeHoL, nouveau ou ancien, il s'agit de l'outil de « Gestion des Horaires et des Locaux », comprendre : l'outil en ligne où récupérer ses horaires de cours.

Après s'être connecté avec son netid (initiale du prénom accolée aux 7 premières lettres du nom de famille, quand il n'y a pas de conflit) sur Mon horaire, sont affichés uniquement les horaires des cours auxquels un étudiant est inscrit.

Fini d'avoir l'entièreté de l'horaire disponible affichée, toutes options confondues, pour tous les groupes possibles d'une année, …

De plus, il est possible d'ajouter à son horaire des cours supplémentaires (ou de cacher ceux qui sont en excédent ; GeHoL peut être adapté aux horaires les plus lourds ou les plus légers) : dans l'onglet Mes Cours, l'œil accolé aux cours dans la colonne de gauche permet d'en masquer l'horaire quand cliqué, la colonne de droite permet d'ajouter des cours à son horaire global.

Enfin, pour ceux qui sont intéressés, il est possible d'intégrer son horaire GeHoL dans les applications qui le supportent. Depuis l'onglet Mon horaire, il suffit d'exporter celui-ci "en iCal" (Exporter l'horaire au format iCal).

Le lien obtenu doit ressembler à http://mongehol.ulb.ac.be/Controlleurs/ICal.php?cal=[une clef unique]&week=1. Il est dès lors possible d'ajouter l'URL à un agenda, iCal sous Mac OS X par exemple, mais aussi dans Google Calendar : en cliquant dans le menu de gauche sur la flêchette à côté de la catégorie "Autres agendas", il est possible d'en "Ajouter par URL". Attention, pour être sûr d'avoir l'horaire de toute l'année, il faut modifier l'URL pour qu'il se termine par ...&week=141 !

Ceci fait, il est possible de visualiser en temps réel son horaire, par exemple en l'affichant dans les agendas d'un téléphone tournant sous Android. Il suffit d'aller dans l'application Agenda et, dans le menu, ajouter l'agenda mongehol aux agendas synchronisés et affichés.

En espérant que cela serve à quelques uns.

ULB connectée 1 : mon GeHoL

vendredi 10 octobre 2014 à 11:18

Communication technique pour bien commencer l'année à l'Université Libre de Bruxelles (ULB) ; nous avons plusieurs systèmes et programmes qu'il peut être utile de connaître voire de savoir utiliser.

Le GeHoL nouveau est arrivé !

Pour ceux qui ne connaissent pas GeHoL, nouveau ou ancien, il s'agit de l'outil de « Gestion des Horaires et des Locaux », comprendre : l'outil en ligne où récupérer ses horaires de cours.

Après s'être connecté avec son netid (initiale du prénom accolée aux 7 premières lettres du nom de famille, quand il n'y a pas de conflit) sur Mon horaire, sont affichés uniquement les horaires des cours auxquels un étudiant est inscrit.

Fini d'avoir l'entièreté de l'horaire disponible affichée, toutes options confondues, pour tous les groupes possibles d'une année, …

De plus, il est possible d'ajouter à son horaire des cours supplémentaires (ou de cacher ceux qui sont en excédent ; GeHoL peut être adapté aux horaires les plus lourds ou les plus légers) : dans l'onglet Mes Cours, l'œil accolé aux cours dans la colonne de gauche permet d'en masquer l'horaire quand cliqué, la colonne de droite permet d'ajouter des cours à son horaire global.

Enfin, pour ceux qui sont intéressés, il est possible d'intégrer son horaire GeHoL dans les applications qui le supportent. Depuis l'onglet Mon horaire, il suffit d'exporter celui-ci "en iCal" (Exporter l'horaire au format iCal).

Le lien obtenu doit ressembler à http://mongehol.ulb.ac.be/Controlleurs/ICal.php?cal=[une clef unique]&week=1. Il est dès lors possible d'ajouter l'URL à un agenda, iCal sous Mac OS X par exemple, mais aussi dans Google Calendar : en cliquant dans le menu de gauche sur la flêchette à côté de la catégorie "Autres agendas", il est possible d'en "Ajouter par URL". Attention, pour être sûr d'avoir l'horaire de toute l'année, il faut modifier l'URL pour qu'il se termine par ...&week=141 !

Ceci fait, il est possible de visualiser en temps réel son horaire, par exemple en l'affichant dans les agendas d'un téléphone tournant sous Android. Il suffit d'aller dans l'application Agenda et, dans le menu, ajouter l'agenda mongehol aux agendas synchronisés et affichés.

En espérant que cela serve à quelques uns.

LaTeX, précision de page dans la citation d'un volume

samedi 2 août 2014 à 22:09

Je suis pour le moment concerné par la rédaction d'un travail académique en philosophie, en LaTeX bien évidemment, et je me heurte à un problème rédhibitoire. Peut-être un lecteur pourra m'aider.

Habitué à l'utilisation de footcites les modalités de mon travail font que je suis contraint de procéder à la même manipulation mais dans le cadre d'une citation reprise dans un volume précis d'une publication.

\footcites[pré-note][post-note]{clé1}[pré-note][post-note]{clé2}

Dans mon texte, j'ai configuré biblatex de la sorte :

\usepackage[backend=biber,%
citestyle=verbose-trad2,%
bibstyle=verbose,%
sorting=nyvt,%
citepages=omit]{biblatex}

citepages=omit me permet de citer la page d'un article (par exemple) sans afficher l’intervalle où il se situe (information superflue si l'on sait quelle est la page exacte où se trouve la citation, du moins selon l'usage que j'ai des renvois bibliographiques).

Après investigation de la documentation de biblatex (une véritable mine d'or), j'ai appris à me servir de fvolcites à la place de footcites (après quelques tentatives infructueuses, je l'avoue).

\fvolcites(pré-commentaire)(post-commentaire)[pré-note]{volume}[post-note]{clé1}[pré-note]{volume}[post-note]{clé2}

J'ai donc dans ma bibliographie une entrée @mvbook où le nombre de volumes est renseigné. Or, si citepages=omit fonctionne très bien dans l'utilisation de footcites, ce n'est malheureusement pas le cas avec fvolcites : l'intervalle est affiché, ce qui évidemment me déplaît. Dans la même veine, le nombre de volumes de l'ouvrage est également indiqué quand je précise le volume précis d'où est extraite la citation.

Retournant à la documentation de biblatex (version 2.9a, 24/06/2014), j'ai appris l'existence de volcitepages et de volcitevolume, p. 89. J'en ai chichement déduit un usage similaire, modifiant mon appel de biblatex en y ajoutant volcitepages=omit, volcitevolume=omit. La déduction ne fut malheureusement pas bonne, j'étais naïf de croire que ce serait aussi simple.

/usr/share/texmf-dist/tex/latex/biblatex/biblatex2.sty:10902: Package xkeyval Error: `volcitevolume' undefined in families `blx@opt@pre'.
/usr/share/texmf-dist/tex/latex/biblatex/biblatex2.sty:10902: leading text: \blx@processoptions
/usr/share/texmf-dist/tex/latex/biblatex/biblatex2.sty:10902: Package xkeyval Error: `volcitepages' undefined in families `blx@opt@pre'.
/usr/share/texmf-dist/tex/latex/biblatex/biblatex2.sty:10902: leading text: \blx@processoptions

Enfin, il s'agit certainement d'une affaire de conventions et je me trompe dans l'application de celles-ci.

Addendum du 8 août 2014 : j'ai rempli un rapport de bug sur la page de développement de Biblatex, j'en extrait ci-dessous mon exemple minimal et fonctionnel.

First, the mwe.bib.

@mvbook{key1,
  author = {Author One},
  title = {Work One},
  volumes = {2}
}

@article{key2,
 author = {Author Two},
 title = {Work Two},
 journal = {Some journal},
 pages = {1-2}
}

@book{key3,
 author = {Author One},
 title = {Work One},
 volume = {1}
}

Two shots : mwe1.tex (footcites first) and mwe2.tex (fvolcites first), compiled with pdflatex and biber.

\documentclass{article}
\usepackage[T1]{fontenc}
\usepackage[utf8]{inputenc}
\usepackage[english]{babel}
\usepackage[autostyle]{csquotes}
\usepackage[backend=biber,%
citestyle=verbose-trad2,%  
citepages=omit]{biblatex}

\bibliography{mwe}

\begin{document}
Example 1\footcites[][]{key3}[][2]{key2}.  
Example 2\fvolcites()()[]{1}[]{key1}[]{}[2]{key2}.  
\end{document}

MWE1

\documentclass{article}
\usepackage[T1]{fontenc}
\usepackage[utf8]{inputenc}
\usepackage[english]{babel}
\usepackage[autostyle]{csquotes}
\usepackage[backend=biber,%
citestyle=verbose-trad2,%  
citepages=omit]{biblatex}

\bibliography{mwe}

\begin{document}
Example 1\fvolcites()()[]{1}[]{key1}[]{}[2]{key2}.  
Example 2\footcites[][]{key3}[][2]{key2}.  
\end{document}

MWE2

The two first lines are quite obvious : with the footcite, the "1-2" pages are omitted, not with fvolcite.