Une interview d’une heure trente, encadrée de façon inédite puisque les participants devaient s’engager à coécrire sur place une version unique des réponses présidentielles, puis à la soumettre à la relecture de l’Élysée avant toute publication du texte validé.

Vous pensiez que Macron c’était un retour en arrière de 50 ans ?

En fait, c’est plutôt 500 ans de retour en arrière, à l’époque où il est interdit de publier quoi que ce soit sans avant validation préalable par l’autorité en place.

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