L'exemple de la privatisations ratée des chemins de fer britanniques.

Il apparaît que faire un service orienté vers le public et avec une obligation de service même si celui là vient à manquer (en gros : garder une gare ouverte même s'il n'y a qu'un seul passager), n'est pas viable économiquement, donc ne peut pas fonctionner dans le privée.

En France, on est parti pour faire la même erreur.

En fait, le train c'est comme les routes, le courrier, etc. : des trucs basiques qui doivent rester dans le secteur public.

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