Et après les profs de philo et de français disent « non non, nous ne sommes pas des je-sais-tout, nous analysons le texte, c’est tout ».
Comme la fois où un pote avait cité un faux auteur (dont le nom était un anagramme du nom du pote), et la prof n’a jamais rien vu…

Mouarf.
J’ai toujours pensé que ces matières étaient du gros foutage de gueule…

Oui ok, c’est peut-être vrai qu’il y a des figures de styles dans les textes, et qu’il faut être très doué pour les repérer. Mais dire que l’auteur les y a placé là volontairement avec des raisons cachées dedans, c’est n’importe quoi.

ÉDIT : c’est comme le pinard.
Un gus hollandais a fait un test comme ça, sur une place de marché en France : il avait plusieurs bouteilles de vin différentes (sans étiquettes, sans vin) et y a mis le même pinard bon marché. Il a ensuite fait goûter à tout le monde.
Tout ça pour montrer que le poids de la bouteille (à vide) intervient de façon importante sur la perception du goût. Le résultat était sans appel : une bouteille plus épaisse = un vin perçu comme meilleur. #marketing


ÉDIT : Zorglub me transmet ça :
« Dans son livre d'entretien avec Numa Sadoul (critique de BD entre autre),
je ne sais pas quelle page, Albert Uderzo (dessinateur et créateur
d'Astérix) expliquait que René Goscinny (scénariste d'Astérix) trouvait
idiot toutes les personnes qui tentaient de trouver des interprétations
profondes à Astérix car ils énonçaient des idées auxquelles Goscinny lui
même ne pensait pas, voire à l'opposé de ce qu'il pensait lui.
Une petite anecdote qui illustre bien cet article. »
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